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Billet de blog 10 juillet 2017

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Glossaire des Suds

Cette année encore, nous avons essayé de décrypter pour vous les termes que nous utilisons régulièrement aux Suds, parfois un peu difficiles à comprendre... Association de mots aussi mystérieux qu’improbables tel que le “noisy-punk” ou encore les “beats psyché-tropicalistes"… Kézakô? Ne vous prenez plus le chou ! Membres de l’équipe des Suds l’ont fait pour vous.

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Cette année encore, nous avons essayé de décrypter pour vous les termes que nous utilisons régulièrement aux Suds, parfois un peu difficiles à comprendre...

Association de mots aussi mystérieux qu’improbables tel que le “noisy-punk” ou encore les “beats psyché-tropicalistes"… Kézakô? Ne vous prenez plus le chou ! Membres de l’équipe des Suds, hardis dans la musique comme profanes, l’ont fait pour vous.

Krautrock (Niño de Elche le 11 juillet Cour de l’Archevêché)

  1. « Ça sonne allemand. » Laura (Responsable de la communication)
  2. « J’imagine des musiciens grands avec des cheveux longs et blonds. » Julie (Radio des Suds)
  3. « rock allemand assaisonné à la bière et aux carottes. » Sylvie (Relations publiques)
  4. « Choucroute rock vocodérisée. » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse D : Les Anglais l'ont appelé « Krautrock », c'est à dire "rock choucroute ", ces Allemands de Kraftwerk ou Tangerine Dream faisant de la "neue Pop-Musik ".

Mélismes orientaux (Gaye Su Akyol le 13 juillet aux Forges)

  1. « Une maladie qui fait apparaître des tâches ? » Julie (Radio des Suds)
  2. « C’est pas des mélangeurs ? » Chantal (Membre du Conseil d’Administration)
  3. « Confiture de pétales de rose au miel. » Sylvie (Relations publiques)
  4. « Roucoulades loukoums. » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse C et D : Chant mélodique modulé

Beats psyché-tropicalistes (Romperayo le 14 juillet aux Forges )

  1. « Il y a du pétard là-dedans ! » Sylvie (Relations publiques)
  2. « Ça chaloupe avec des bananes. » Julie (Radio des Suds)
  3. « Certainement des rythmes tropicaux délirants. » Marie José (Directrice du Festival)
  4. « Battements hallucinogènes néo-brésiliens. » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse C : la Directrice a gagné !

Post-rock onirique (Black String le 15 juillet Cour de l’Archevêché)

  1. « Là, il y a 2 pétards ! » Sylvie (Relations publiques)
  2. « Du rock qui fait pop pour faire rêver les gens. » Laura (Responsable de la communication)
  3. « D’en parler, j’ai le cerveau à l’envers. » Chantal (Membre du Conseil d’Administration)
  4. « Ça plane pour moi … » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse B : de la pop de laboratoire et une musique rock bien présente, du rêve dans le rêve.

Esprit tradi-moderne du hiplife (King Ayisoba le 15 juillet aux Forges)

  1. « C’est la vie des gens joyeux… » Laura (Responsable de la communication)
  2. « Le cul entre deux chaises ? » Julie (Radio des Suds)
  3. « Très évocateur. Ce n’est pas du highlife en tout cas. » Marie José (Directrice du Festival)
  4. « Break dancing en sabot » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse : Né à la fin des années 1980/début 1990 au Ghana, le Hiplife est un courant musical tiré du highlife et brassé au hip-hop, au funk et au dance hall. Pas de vainqueur.

Noisy-punk (The Ex le 15 juillet aux Forges)

  1. « Noisette avec une crête sur la tête. » Laura (Responsable de la communication)
  2. « Une source aride dans le désert. » Julie (Radio des Suds)
  3. «  Ce n’est pas de la musique que je fréquente tous les jours. » Marie José (Directrice du Festival)
  4. « Club de rock dans un garage à Noisy le Sec. » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse : Bruit et punkitude. Pas de réel vainqueur.

Musique d’Oc augmentée (Henri Maquet le 10 juillet à l’Ecole Supérieure de la Photographie)

  1. « Carlotti prend du poids ou Théron arrête le régime ? » Sylvie (Relations publiques)
  2. « La musique occitane contemporaine. » Nadège (Responsable de l’accueil du public au Théâtre)
  3. « Musique des Pays d’Oc augmentée par la technologie. » Marie José (Directrice du Festival)
  4. « Henri Maquet doit être un peu plus cher chaque année, non ? » Lou ravi (bénévole et bon public)

Réponse B et C.

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Déliane Bernard

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