A moins d’avoir le pouvoir de se dédoubler, et encore à deux corps on ne couvrirait pas tout, il est impossible de ne rien rater.
De mon côté, accaparé par les préparatifs d’une performance pour un radio crochet lancé par Henri Maquet, qui m’y avait convoqué, j’ai du renoncer à mon statut de reporter. Heureusement, les excellents photographes de l’équipe du festival : Stéphane Barbier, Yann Etienne et Florent Gardin ont bien voulu me prêter leurs regards affutés pour constituer cette galerie photos. Je les en remercie chaleureusement.

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A l’issue du repas de quartier, judicieusement situé cette année Place Voltaire, les stagiaires des différents master class qui se sont déroulés durant cette semaine magique, ont donné leur restitution. Ici un frénétique aperçu de celle du stage Danses et Chants Ivoiriens mené par Evelyne Mambo. Photo : Stéphane Barbier.

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Radio Crochet, place Paul Doumer devant les locaux éphémères de la Radio des Suds, qui a tout enregistré. De gauche à droite Henri Maquet, cachée derrière lui Zoé Durand, Audrey Peinado, Guylaine Renaud, B.M., Daniel Malavergne, Lise Séraphine, Françoise Degeorges et Emmanuelle Aymés. Il y avait des candidats très (plus) sérieux et, comme chez Jacques Martin autrefois, tout le monde à gagner. Photo : Céline Salvetat.

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Au même moment dans la cour de l’Archevêché, la voix ultra émouvante de Rosemary Standley, découverte au cœur du groupe d’americana, Moriarty, présentait son projet de musique baroque Love I Obey avec de gauche à droite : Martin Bauer (viole de gambe), Rosemary Standley chant et « devine qui c’est ? », Elisabeth Geiger (clavecin), Bruno Helstroffer (théorbe, guitare et direction musicale). Visiblement ils se sont aussi bien amusés. Photo : Florent Gardin.

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Ce samedi tout se passe aux Forges . C’est la Nuit de l’Amour ,alors de gentilles personnes ont distribué des ballons en forme de cœur. Photo : Stéphane Barbier.

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Nuit de l’Amour tonique avec un Yom en pleine forme et ses Wonder Rabbis Duracell. Heavy Klezmer n’Roll: Photo : Stéphane Barbier.

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Photo 6 : Nuit de l’Amour dévorant avec Cannibale et leur pétillante New Wave.3 revival 80s. Photo : Yann Etienne.

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Nuit de l’Amour libre à l’Arlésienne, avec Puta Puta, les locaux locos et leur mix élastique et sans œillères, qui ont fait durer le plaisir jusqu’au bout de la nuit. Photo : Florent Gardin.

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Photo 8 : Et pendant ce temps, en douceur, des couples se forment, dont par pudeur nous ne montrerons que les pieds. Photo : Benjamin MiNiMuM
Dimanche 15 Juillet

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Le lendemain matin, il était tout à fait judicieux d’aller seul ou avec son amour naissant ou fleurissant, à Salins de Giraud en Camargue rejoindre les festivaliers pour la Journée Buissonnière. Une dernière étape toujours pleine d’heures surprises.
A peine éveillés les festivalier ont le droit à une ration supplémentaire de rêves orchestrés par l’Albanaise Elina Dunni. Photo : Florent Gardin.

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La charge de finir le réveil du corps et de l’esprit a été confiée à la fanfare Mudanza. Ne vous méprenez pas le 5ème musicien en partant de la gauche n’est pas Yom, s’il partage avec lui coiffure, stature et lunettes noires, regardez bien il a en main un saxophone et non pas une clarinette. Photo : Florent Gardin.

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La finale de la Coupe du Monde de football s’invite aux Suds et franchement il n’y avait pas pour y assister de meilleur endroit au monde que le Café des Sports de Salin de Giraud. Photo : Florent Gardin.

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Ensuite chacun fait ce qui lui plaît, mais franchement à mon avis, après un petit bain de mer, un retour par la Camargue au coucher du soleil est de loin la plus merveilleuse des options. Photo : Benjamin MiNiMuM
À l’année prochaine.
Texte : Benjamin MiNiMuM