Walid Ben Selim, une poésie mystique portée par un chant de rage et la harpe de cristal de Marie-Marguerite Cano. Un public debout, suffocant, en ouverture, lundi 11 juillet, de la 27e édition du festival Les Suds à Arles.
Une image en hommage à l'ami disparu René Robert, Maria Terremoto, fille de et fidèle à l'éruptif caractère de la famille. Acte II des Suds, à Arles, Cour de l’Archevêché, le 12 juillet.
Zé Luis Nascimiento. Ce gars a plus que le rythme, il est le rythme. Avec énergie et tendresse ses frappes saturent l'air et s'emparent de votre être. Un magicien venu du Brésil. Acte III des Suds, à Arles, La Croisière, le 13 juillet. Concert de l'argentin Ignacio Maria Gómez.
Justin Adams et Mauro Durante en duo cela fait lever un public, au coeur de la nuit, secoué d'une transe d'inspiration "rocko-salento". Vivifiant... Acte IV des Suds, à Arles, La Croisière, le 14 juillet.
Oumou Sangaré la diva du Mali livre, avec Timbuktu, un combat en musique face aux dangers qui parcourent son pays. Acte V des Suds, à Arles, Théâtre Antique, le 15 juillet.
Et hop, les Suds c'est fini ! Mais toujours en rythme à l'image de la troupe d'Aboubacar Gigla Sylla alias " Bobzi record ". Acte VI des Suds, à Arles, Place de la République, restitution de fin de stage de danses africaines, le 16 juillet.
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