...des précaires pour faire la classe. Master enseignement non obligatoire, bien entendu...
J'ai la nausée.
Comment les parents pourront-ils accepter cela à l'heure où il y a une "inflation" dans l'investissement scolaire ? A l'heure où, plus que jamais, nous avons besoin de réponses ciblées pour faire face à la difficulté scolaire, comment accepter cela ?
Quelle est la considération pour ce métier quand on réduit la "tâche" aux heures de classes ? (Dans l'offre de Nîmes seules les heures de présence en classe sont payées, pas de préparation, de correction, de concertation en equipe ou avec les professionnels...) Quand on ne demande aucune expérience ? Quand on complète le temps partiel d'une collègue enseignante ?
J'ai la nausée.