Education populaire (science et techniques), luttes diverses et variées (celles ci qui imposent de "commencer à penser contre soi même") et musiques bruitistes de toutes origines
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On a cité Internet, yahoo, Facebook, Tweeter comme "nouveaux" moyens pour la jeunesse arabe pour exprimer son dégout (et sa rage) et on a oublié le rap. C'est bien dommage, parce que le "CNN des bas quartiers" (selon l'expression du rappeur de Public Ennemy) a bien contribué a diffuser un peu partout ce mélange de colère et de détermination qui nous vaut ce beau "printemps arabe" où les "hommes forts" de sinistre mémoire tremblent sur leur piedestal assis sur le lingot d'or de toutes leur concussion.
J'ai découvert Igrek, pseudonyme de Yalhane Melici, le fils de l'oposant Ali Mélici (assassiné par la sécurité algérienne à paris, avec la complicité passive de la france) qui nous livre dans "90%" (qui rapelle les scores truqués de l'election du président Bouteflika) un portrait à charge de cette mafia militaire qui préside (malheureusement) aux destinées de l'Algérie
Ecoutez, et savourez...
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