De ce que l'on peut voir sur le net, Arnaud Montbourg, rencontre Jean-Luc Mélechon pour les cantonales sur Lyon.
Les deux hommes se retouvent pour fonder un nouveau créneau dans la cacophonie, les arrangements sans grande ampleur du petit monde politique.
Arnaud Montbourg a échangé sans doute souvent à pas feutrés, avec son ami de gauche, de gauche, oui de gauche pur sucre.
Les deux hommes se savent un destin commun, les phrases laissent pantois, quand Mélenchon signe à la pointe de l'épée Martine Aubry, on sent que la caravane passe, et les chiens n'aboient plus. C'est le début sans doute de rencontre épistolaire entre les deux hommes.
Montbourg connait parfaitement la langue française, mais aussi Jean Luc Mélenchon, quand chez Public Sénat, il est analysé par un psychologue, il ferme la boite, se replit sur un domaine où personne ne peut entrer. Exposer un mot, n'est en aucune relation avec le moi intime de l'être. Faire de la politique, ce n'est pas .....ceci, ou celà, c'est autre chose a semble-t-il dû vouloir dire à ce psychologue freudien.
Les deux hommes se savent, comme aurait dit un certain des destinées communes, entre Marseilles, Paris et Lyon, capitale des gaulles.
Un à zéro.......la balle est au centre......Aubry restistera jusqu'à la fin.
Le reste de l'entretien, ne m'a pas été reporté, donc gardons le fin du fin pour la suite.