Ici, on prélève de force les cellules nasales des malheureux incarcérés dans les CRA pour des tests PCR excessivement amplifiés.
Là, dans de probables clusters, on refuse les tests aux étrangers malades arbitrairement placés en rétention.
Dans les EPHAD, des vieillards sont menacés d'être enfermés dans leurs chambres s'ils refusent la thérapie génique devenue soudainement outil de prophylaxie.
L'administration d'un ARN messager, autrefois réservé à la lutte contre les cancers et quelques rares maladies, est devenue la voie de sortie du tunnel, car dans l'année, toutes les vieilles molécules se sont révélées extraordinairement inutiles contre le détonnant virus. Des scientifiques affranchis de toute conscience se frottent les mains des cobayes à étudier par milliards que l'Etat autoritaire leur rabat.
Le principe de précaution, dont on nous a longtemps rebattu les oreilles pour nous distinguer des Amerlocs, est porté disparu.
Aux oubliettes aussi le groupe contrôle des fameuses études en double aveugle initialement montées au pinacle. Des collégiens malentendants ont dû renoncer à suivre les cours dans une école jadis dite inclusive. En primaire, des gosses de six ans ne supportant pas le masque sont renvoyés à leurs parents.
La liberté de circuler, désormais soumise à l'incrémentation du PIB. L'expression populaire, en régression comme peau de chagrin dans la rue et sur la toile. Aux écrans, la ribambelle des éditocrates autoritaires s'alarme du peu d'entrain des médecins généralistes à répéter le mot d'ordre. C'est la lueur d'espoir. Qu'il reste suffisamment de sagesse à partager, suffisamment d'orgueil pour nous sauver. Je ne souhaite pas d'un retour à l'anormale, comme un brillant taggeur l'a écrit, mais que nous mettions à terre la pseudo-élite dirigiste et illettrée qui gouverne.