Macron, désavoué, persiste dans le chaos et ouvre la voie à l'extrême droite

Macron et ses rouflaquettes se voyait hier pilote de Mirage en Ukraine seul face à Poutine, il se prend un missile explosif aux élections européennes, c'était balistique. Au lieu de démissionner tant il est désavoué, ce pisse-froid persiste dans son hubris délétère. Il applique une fois encore sa stratégie brutale du chaos permanent, entraîné par son profond rejet du peuple et de ses aspirations à l'égalité et à la justice sociale. Il dissout l'Assemblée nationale au pire moment de désunion politique et sans offrir de répit à la nécessaire éducation populaire dans une période aussi difficile. À l'arrivée de l'été et des vacances, juste avant les jeux olympiques, il impose un rythme électoral endiablé. Croyant pouvoir se poser de nouveau comme l'ultime rempart, il offre en réalité un boulevard à l'extrême-droite qui déjà s'en régale. Son avion présidentiel sous la grêle ne va pas tarder à émettre « mayday, mayday », la prophétie du vieillard nazi Le Pen se réalisant « Les Français préfèrent l'original à la copie », il n'y aura alors pas grand monde pour sauver le pilote du démon qui l'a saisi.
En digne représentant du patronat le plus dur, il préfère ainsi, mais qui aurait cru le contraire ?,  « Hitler au Front populaire », moi ou encore pire que moi.
Le combat contre cette monstruosité passe par l'union populaire, la clarté déterminée de ses propositions politiques et un engagement sans précédent des forces vives de ce pays, cette nouvelle France qui doit désormais croire en elle-même.