La Fondation Copernic regroupe des militant-e-s associatifs, syndicaux, politiques, des praticiens et des chercheurs de la gauche anti-libérale et écologiste. Elle s’adresse à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral
La Fondation Copernic regroupe des militant-e-s associatifs, syndicaux, politiques, des praticiens et des chercheurs de la gauche anti-libérale et écologiste. Elle s’adresse à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral
La Fondation Copernic regroupe des militant-e-s associatifs, syndicaux, politiques, des praticiens et des chercheurs de la gauche anti-libérale et écologiste. Elle s’adresse à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Le sommet des peuples s'est tenu à Rio au mois de juin dernier, vingt ans après le premier sommet de la terre. Comment s’est-il déroulé, qui y est intervenu, quelle fut la place des acteurs de la société civile, des collectivités locales ? Quel bilan peut-on en tirer aujourd’hui ? Quels défis doit-on relever pour mettre l’économie au service des peuples et de la planète ? La Fondation Copernic en débat.
Avec Lucas Chancel, chercheur en économie du développement durable à l’IDDRI, dont le travail porte sur les inégalités et plus largement sur l’économie du changement climatique, les liens entre modes de consommation et environnement, transition énergétique et emploi, et les déséquilibres macroéconomiques.
Et Gilles Pansu, membre de la commission "Ecologie et société" d'Attac (voir ici et là) et qui a participé au sommet "Rio+20".
