Cours du vendredi : Female Rage: une révolution pop à l'écran, par Marion Olité, journaliste et autrice
Vendredi 24 octobre à 18h30
Dans la continuité du phénomène girl power, le female rage est un contre-pouvoir pop, que se réapproprient les showrunneuses et réalisatrices contemporaines, au sein d’une industrie toujours dominée par le regard masculin.
Projections
Aquarius, de Kleber Mendonça Filho
Mercredi 22 octobre à 19h
Clara continue de vivre dans son immeuble déserté de Recife et, seule, résiste aux tentatives d'un promoteur immobilier pour la déloger.

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Promising Young Woman, d'Emerald Fennell
Vendredi 24 octobre à 21h
Cassie, une ancienne étudiante en médecine, travaille dans un coffee shop. Mais sa vie ne ressemble pas aux apparences. La nuit tombée, la trentenaire mène une double vie.
Oscar du meilleur scénario en 2021.

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Les Petites Marguerites, de Vera Chytilova
Samedi 25 octobre à 20h
Prague, années 1960. Deux adorables pestes à l'insolence revigorante mordent la vie à pleines dents, souvent littéralement, en se faisant inviter au restaurant par de vieux messieurs qu’elles tournent en dérision.

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Norma Rae, de Martin Ritt
Dimanche 26 octobre à 16h30
Une jeune mère de famille, ouvrière dans une usine de textile du sud des États-Unis, tient tête à ses patrons, malgré l’hostilité de ses collègues. Elle sera aidée par un syndicaliste érudit.
Oscar de la Meilleure actrice et Prix d'interprétation féminine pour Sally Field, Festival de Cannes 1979.

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Le Procès de Viviane Amsalem, de Ronit et Shlomi Elkabetz
Dimanche 26 octobre à 19h
En Israël, seuls les rabbins peuvent prononcer la dissolution d'un mariage, qui nécessite le consentement du mari. Viviane Amsalem demande le divorce depuis trois ans. Son mari le lui refuse.

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Rosa Luxemburg, de Margarethe von Trotta
Samedi 1er novembre à 19h
Un portrait de Rosa Luxemburg, socialiste révolutionnaire allemande, juive d’origine polonaise, assassinée à Berlin en 1919. « Elle fut la première victime du nazisme. Ses meurtriers se sont, plus tard, ralliés à Hitler », a dit la réalisatrice de son héroïne incarnée avec fougue par Barbara Sukowa.
Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes 1986.

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