« On ne peut s’empêcher de relever un premier paradoxe : alors que les femmes entrent très tôt dans le journalisme, elles sont très tôt à des places importantes et des positions de premier plan, le cinéma les cantonne longtemps à des rôles mineurs, à des rôles de secrétaires, à des rôles de « sob sisters » (les « préposées aux larmes »). Elles sont reléguées à ces places là, on ne parle pas d’elles, ni des positions qu’elles ont occupé effectivement dans l’histoire de la presse. »
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
« On ne peut s’empêcher de relever un premier paradoxe : alors que les femmes entrent très tôt dans le journalisme, elles sont très tôt à des places importantes et des positions de premier plan, le cinéma les cantonne longtemps à des rôles mineurs, à des rôles de secrétaires, à des rôles de « sob sisters » (les « préposées aux larmes »). Elles sont reléguées à ces places là, on ne parle pas d’elles, ni des positions qu’elles ont occupé effectivement dans l’histoire de la presse. »
La table ronde "Le pouvoir médiatique au féminin", animée par la sociologue et philosophe Sonia Dayan-Herzbrun, a eu lieu le 2 octobre 2013 au Forum des Images à Paris, dans le cadre du cycle de films « Qui fait l’info ? ».
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