Pourquoi ces financiers ont-ils délocalisé nos industries, nos techniciens et nos ingénieurs dans des pays extérieurs comme la chine ou l'inde ?
Faut jamais oublier que les ingénieurs, les vrais, ceux qui conçoivent ou gèrent la production (pas les chefs de projets qui ne sont que des ingénieurs d'infrastructures comme nos directeurs), savent faire des systèmes utiles à la population, plus économes, plus écologiques, moins cher, maintenables et durables.
Ils produisent par leur travail les richesses de l'entreprise comme les techniciens (les autres travailleurs de la production).
Ces deux familles de métiers de la production sont l'éclatement de l'artisan pour des raisons de productions d'échelle. Celle de sa partie créatrice et experte réparatrice ou d'amélioration, avec celle de la réalisation.
Mais lorsqu'ils proposent leurs solutions, ils se heurtent au mur du marketing, ou même celui des services financiers...
Cela fini même au placard pour certaines de leurs inventions, créations ou corrections... ou directement pour eux pour les plus grandes gueules.
Et s'ils veulent se lancer individuellement sur le marché des entreprises ou de l'artisanat, c'est le barrage des trésoreries, avec les coûts de la finance (crédits, et actionnariat), des monopôles des marchés, etc. le système capitaliste quoi...
Exemple de la ruine de Mandriva Linux...
Les RH, à l'image de nos médias mainstream et du dévoiement des religions dans notre société, sont alors les métiers dans l'entreprise qui nous font passer la pilule avec de la médiation sociale (gardiens de la paix des ingénieurs de la médiation sociale).
Ou en force avec le juridique et le managérial (ingénieurs des forces de l'ordre, les réactionnaires de l'ordre dominant monarchique et règlementaire), avec des menaces sur le contrat de travail ou nos libertés.
N'oublions pas que ce ne sont pas les ingénieurs créateurs ou ceux qui font l'exploitation, les vrais, les techniciens, les fameux méritants de leurs systèmes aristocratiques d'entreprises, qui dirigent les entreprises...
Mais ceux de la gestion logistique, de la médiation sociale et des services financiers des moyens.
C'est, comme par hasard, là où on retrouve le plus de nos fils à papa de nos rentiers et du système des écoles de commerces et de managements !
On comprend alors que les possédants de ces métiers que sont la gestion des moyens, la logistique d'entreprise et celle de la médiation sociale sont les nerfs de la guerre professionnelle de la domination monarchique par le monde extérieur financier.
Et par extension avec son volume social, celle de l'économie et du politique du pays.
On peut aussi constater par effet de bords bureaucratique, que c'est aussi celle de la destruction de nos entreprises...
C'est bien une infiltration sectaire de nos entreprises par le monde de la finance qui fait notre effondrement économique, que l'on constate :
- avec la destruction règlementaire des contres pouvoirs salariaux du droit du travail. Comme avec la loi travail, dit "Orwelliennement" d'amélioration du dialogue social, qu'ils confondent volontairement dans la communication avec de la monarchie despotique sociale,
- avec le secret des affaires sur la gestion, qui a pour conséquence le harcèlement juridique des lanceurs d'alertes et des journalistes,
- avec la pression sociale sectaire RH de positivisme, et l'individualisation psychologique des problèmes d'organisations. Système de morale sociale qui nous rend fou, et qui pousse les plus faibles d'entre nous aux burn-out et aux suicides, et les plus forts aux placards professionnels...
Ceux qui sont témoins dans leur chair de cette démolition sont les ingénieurs de la conception et de l'exploitation de la production, et les plus avisés de la technique.
Ceux de l’ingénierie de gestion des moyens, de la logistique et de la médiation sociale qui ouvrent les yeux, sortent de la caverne de Platon libérale et réactionnaire installée dans nos entreprise par ces sectes. C'est dans ces catégories là que nous avons le plus de lanceurs d'alertes (comptables, informaticiens et managers/RH)
Ce sont eux qui dans leurs révoltes régulent les dérives destructives économiques financières de l'entreprise et des métiers... de l'emploi !
Ces résistances sociales sont certainement aussi une des explications de la délocalisation de ces emplois vitaux pour l'entreprise en chine, en inde, etc.
Et maintenant dans nos Intelligences artificielles !
C'est donc une des causes de notre désindustrialisation.
Tout cela pour que la démocratie, le socialisme, ne s'exprime pas en entreprise.
- Avec la régulation contre les abus de nos dominants de la gestion. À l'image économique du monde marchand avec l'arnaque des producteurs et l'escroquerie des acheteurs.
- Avec la logistique ou de la force sociale employeur. À l'image organisationnelle de la bureaucratie d’appareils !
- Avec une répartition plus équitable pour les travailleurs de la richesse d'argent capté dans le système marchand capitaliste par l'entreprise. À l'image de l'abus de position dominante, le fameux hubris...
Rébellion salariale qui est alors dans l'intérêt général des travailleurs et même celui de la pérennité économique de la boite et du pays...
Une autre explication des délocalisations, est le jeux de la communauté sociale des moyens avec la différence marchande des monnaies pour enrichir nos possédants financiers.
Tout en reportant les coûts de la perte des emplois sûr les autres salariés (mutualisme de la protection sociale), ou l'État (aides sociales et impôts).
Ils font ainsi financer ces pertes d'emplois avec les assurances cotisations sociales des salariés et des travailleurs indépendants, ou avec les cotisations sociales de biens communs (impôts) de la population !
Donc notre mutualisme social d'entreprise et de société est détourné pour un vrai impôt au bénéfice des possédants de biens d'exploitations des autres.
Pire ce mutualisme des travailleurs finance aussi leurs formations d'entreprises, et même totalement des emplois ou d'autres à bas coûts...
Donc on constate économiquement que :
- c'est un enrichissements financiers au détriment de nos productions et de nos entreprises,
- c'est une augmentation des demandeurs d'emplois,
- que les coûts sociaux c'est eux,
- et enfin que la ruine de l'État, c'est encore eux !
En conclusion, c'est bien pour des raisons idéologiques d'accumulations personnelles (40 000 personnes en France environ sur une population de 67 000 000), et non économiques, contrairement à ce que nous vend la presse "mainstream" de propagande libérale et réactionnaire...