La France s'effondre économiquement avec la destruction de notre appareil productif et du pouvoir du peuple…
De plus en plus de cerveaux quittent la France pour causes de discriminations sociales, d'origines religieuses, d'état de dictature, d'autoritarisme, de totalitarisme et maintenant de tyrannie. Même nos prix Nobel vivent dans d'autres nations maintenant…
Pour la fuite des cerveaux, cela n'est pas qu'un problème de convictions religieuses ou de réussite internationale, trop facile. Mais c'est bien l'origine de classe sociale, de culture ou de pays qui en est la cause.
Même si les musulmans, les femmes sont sous les projecteurs, les étranger, les pauvres, les lanceurs d'alertes, les syndicalistes, les écologistes, les gauchistes, et bien d'autres commencent aussi à être bien discriminés.
Comme le sont tous ceux qui luttent :
- pour une meilleure répartition des richesses vers ceux qui les produisent réellement avec leur travail,
- pour une utilisation plus sociale de cette richesse,
- ou pour l'urgence sanitaire et environnementale, notre survie à tous.
Ces discriminations ont envahi le paysage médiatique «mainstream» :
- sur ces maghrébins et étrangers exploités dans leurs clandestinités et leurs croyances qu'il faut expulser et qui sont des terroristes,
- sur les demandeurs d'emploi qui doivent obligatoirement rapidement trouver un emploi et travailler plus pour bien moins, qui ne doivent même pas toucher l'assurance qu'ils ont payé,
- sur ces syndicalistes qui défendent une meilleure rémunération des salariés et qui sont des fainéants planqués ou des extrémistes politiques,
- sur les salariés, ces fainéants qui coûtent trop cher, ont trop de vacances et ne travaillent jamais assez,
- sur la protection sociale des salariés trop importante avec des charges pharaoniques aux employeurs,
- sur ces gauchistes qui défendent le travail et sont hors réalités économiques et extrémistes utopiques (islamo gauchistes maintenant),
- sur ces écologistes de l'entreprise responsable qui vivent sur la lune,
- sur ces féministes de l'égalité professionnelle qui n'ont que des visions d'enfant gâté sur leur sexualité et émancipation personnelle,
- etc.
Sur tout ce qui concerne la répartition plus équitable de la richesse produite par les travailleurs dans le pays (artisans, ingénieurs, techniciens, ouvriers), et qui est tabou dans les débats «mainstream» ou à l'assemblé du parlement…
Le système capitaliste qui, pour détourner de ses effet d'accaparation de la plus valu (les richesses produites par les travailleurs), nous divise au travers des discriminations dans le plus pur déni de l'économie réelle et de la démocratie.
Le problème est donc bien la répartition de la richesse avec les travailleurs, avec ces avantagés sur cette répartition (le monde du placement financier = la bourgeoisie) qui n'ont d'autres procédés que de discriminer et de choisir des boucs émissaires pour cacher l'effondrement de leur politique, l'idéologie libérale.
Cela nous divise et leur permet de garder le pouvoir tout en haut de la pyramide d'aristocratie sociale de leur système.
En plus d'être des privilégiés du système c'est eux :
- qui détruisent le tissu économique de la France,
- qui ne contribuent pas de façon équitable à l'impôt,
- qui fraudent,
- et qui s'accaparent les bijoux de famille des biens collectifs à prix cadeau (parasites inutiles) ou pour des multinationales étrangères (Des traîtres à la nation)…
Tout ceci fait que pour le peuple non bourgeois, les impôts de contribution sociale (état), et d'enrichissement par possessions (rentes du placement), deviennent de plus en plus insupportables avec un pouvoir d'achat et un niveau de vie en dessous de la dignité humaine.
Les Français qualifiés et diplômés immigrés ou de parents étrangers fuient la France à cause de ces problèmes de discriminations et d'ambiances xénophobes dans nos entreprises établissements. Ils sont Français mais ne sont pas traité comme tel. Français quand on est installé à l'étranger, mais étranger quand on est dans l'entreprise/établissement…
«Je ne me suis jamais autant senti musulman aujourd'hui sans vraiment l'être, sans être pratiquant, du fait d'être en permanence renvoyé à cette identité là… Alors que je ne suis moi même pas réellement croyant ou pratiquant !»
Ce sont généralement des départs à regrets, et des personnes qui voudraient vivre en France. On ne quitte pas sa famille et ses amis comme cela. Et puis il faut des moyens pour s'expatrier, ce que beaucoup ignorent ou oublient…
C'est la même chose pour ces autres Français qualifiés de classes sociales moyennes ou pauvres. Ils n'ont plus vraiment les moyens de vivre dignement de leurs rémunérations et de payer le train de vie de nos milliardaires et du placement financier (locations, énergies, achats de la vie courante, etc.). Pire ils doivent s'endetter et travailler pour faire leurs études… Ces travailleurs qualifiés manquent de reconnaissance sociale et professionnelle avec un salaire et un traitement digne. Ils sont ceux qui produisent les riches présentes et futures.
Tout cela pour favoriser des personnes qui ne travaillent pas (ils ne produisent aucune richesse réelle), héritent leurs biens de leurs parents et leur richesse des autres, les travailleurs… Afin de payer ces fainéants de la république, ces riches possédants de biens à rentes (banques, assurances, immobilier, foncier, etc.)
Et pour faire accepter au peuple leurs privilèges, par la fabrique du consentement des capitalistes (placements financiers des médias et de l'éducation) c'est l'assignation identitaire et de classes. Tout cela est le résultat de leur impérialisme et du détournement de leurs responsabilités sociales et économiques idéologique :
- Sur la radicalisation identitaire à cause du mauvais traitement social et économique sur de faibles revenus du travail, sur de l'exclusion et de la stigmatisation des étrangers pour éviter leur regroupement syndical avec les autres salariés.
- Sur les demandeurs d'emploi fainéants afin de cacher les salaires indignes, les employeurs escrocs, ou de mal traitance au travail.
- Sur le faux pouvoir des syndicalistes de salariés qui décident (alors qu'ils n'ont qu'un pouvoir de contrôle), l'invisibilisation des syndicats d'employeurs pour faire porter leurs magouilles sur ceux des salariés, et sur la stigmatisation des revendicatifs qui seraient extrémistes et la mise en avant des corrompus qui serait responsables.
- Sur les salariés qui vivent dans une entreprise bisounours, qui sont mal payé parce qu'ils ne travaillent pas assez. Alors que la quantité de travail fait la rémunération de l'employeur parce que la force de travail appartient à l'employeur (on est loué sur un temps donné). Sur les suicidés au travail, les burn-out ou bore-out, qui ne seraient la conséquence que de problèmes personnels psychologiques, et pas du tout de l'administration romaine des 12 traveaux d'astérix, des organisations de harcèlements, des mises au placards des lanceurs d'alertes, des syndicalistes…
- Sur les déficits de la protection sociale des salariés organisés par ces rentiers du capital en gestion du système de la protection sociale. Sur le fait que ces gérants ne payent rien et détournent à max les budgets à leur avantage.
- Sur les vrais gauchistes que l'on censure actuellement, ou que l'on noie dans la masse des libéraux de la social démocratie que l'on fait passer pour des socialistes, de écologistes. De vrais faux gauchistes quoi…
- Sur l'écologie que l'on réduit au nucléaire et à la protection animale pour en oublier le pétrole et la pétrochimie des poisons et pesticides.
- Sur les féministes de l'égalité professionnelle que l'on réduit au droit commun du viol et de l'abus sexuel pour en oublier les classifications et le plafond de verre dans l'entreprise/établissement.
Tout cela pour la bataille, que les possédants ont gagné, sur la répartition de la plus valu (richesse produite par les travailleurs) entre travailleurs et possédants de biens à rentes… Mais la fin de leur monde, et peut-être de l'humanité si on se réveille trop tard, se profile avec les changements climatiques et l'épuisement des ressources mondiales.
Plus nous tardons (parce que ces capitalistes nous mettent des bâtons dans les roue) à imposer par la révolution un vrai modèle d'économie socialiste, plus ces parasites de la finance jouent avec leur vie en basculant dans le crime contre l'humanité (comme ils ont fait avec les nazis). Et plus cette transition se fera dans la violence lors de la révolution et dans la rudesse lors de la transition économique.
Violence qui naît du mauvais traitement social réglementaire (des arbitrages) et de l'impunité des dominants capitaliste de l'idéologie libérale…