Le problème de la connaissance des autres, c'est que quand ils sont, ce que l'on nomme dans nos sociétés aristocratiques (classes sociales), des petites gens on découvre des simplicités merveilleuses et de la chaleur humaine pour un esprit HPI…
Et on est heureux en tant que HPI avec eux…
Par contre quand ils sont hiérarchiquement (ploutocratiquement) au sommet de cette hiérarchie sociale, ces soit disant méritants (qui ont tout hérité des crimes humains de leurs parents)…
Ils sont surtout les meilleurs de ce système économique de discriminations sociales qu'ils ont généralisé depuis le 18ème.
Ils sont les plus adaptés au système économique mondialisé que les noblesses (militaires et dominants fonciers/immobiliers) aristocratiques ont mis en marche au 15ème siècle pour lutter contre la reconstitution de l'empire romain avec le monde musulman.
Et tout cela fait qu'ils sont les meilleurs psychopathes, pervers narcissiques, dominateurs, manipulateurs sociaux, conséquence de leur spécialisation du marchand a valeurs (impôt privé) et de l'escroquerie.
Qu'ils sont depuis 300 ans, à la suite des 5000 ans du patriarcat militaire aristocratique (avec qui ils ont fusionné et dont ils sont l'évolution sur l'exécutif d'une société aristocratique), nos destructeurs de l'humanité, de notre société, de notre économie humaine et du travail, de notre social et familial, de la nature et de la vie…
Et là on comprend que travailler dans un chantier isolé, comme dans l'extrait, et surtout ignorant de tout cela, fait que l'on réussit mieux son «émancipement» personnel, sa relation familiale personnelle, son professionnel et son existence sociale en tant que HPI non psychopathe !
Même dans ces analyses du film, il y a le mythe libéral de propagande de l'idéologie capitaliste. Celle sur la réussite personnelle et de l’émancipation par le mérite personnel dans nos sociétés…
Et qui fait que quand on est réellement HPI on déprime et on se renferme sur soit même, sur une tendance autiste avec les autres avec l'age…
Comme je le dis toujours, mieux vaut un bonheur factice (vivre dans une vision utopique de l'humanité) qu'un malheur réel (être dans le système capitaliste, et souffrir de la conscience de notre autodestruction par ces parasites sociaux, qui nous sont en plus totalement inutiles pour notre survie)…