Un internaute, pourtant de son électorat comme il le sous entend, s'est scandalisé du fait que monsieur Ruffin aurait pu trouver une cafetière française à 90€ plutôt que 344€ !
C'est quand même de l'agent public, donc notre argent (il ne précise pas s'il parle de nos impôts, ou de la création monétaire ?).
Déjà là, l'achat ce n'est pas pour un individu, mais c'est pour un groupe de collaborateurs.
On voit que la personne qui s'exprime sur ce prix de cafetière n'a pas l’habitude de gérer des équipes de travailleurs.
Dans le monde réel et de l'entreprise, et non comptable capitaliste, il faut une machine plus robuste et adaptée (volumes, sécurités, normes collectives françaises, etc.), c'est plus cher.
Quand on voit des artisans ou des libéraux qui se payent des cafetières de 500€ à plus de 1000€, là cela ne choque personne, et surtout pas les comptables…
En plus souvent les taux d'amortissements réel (pas les inventés financiers pour augmenter notre consumérisme dans les entreprises établissements) sont d'autant plus grands que la qualité est au rendez-vous !
Qui n'a jamais travaillé avec un téléphone Nokia qui dure 10 ans alors qu'il est amorti en 3 ans ?
…
Mais en plus ici, l'argent des contribuables dépensé, c'est pour acheter une fabrication FRANÇAISE !
Cela a pour conséquence de faire TRAVAILLER directement nos entreprises françaises productives et de conserver nos emplois dans ce système capitaliste.
Cotisations sociales et impôts sur les revenus en produits dérivés, le vrai ruissellement vers le bas comme aiment à la dire ces libéraux…
Personnellement dans mon activité professionnelle, quand j'étais à l'Unédic (début 2000), nous avions des achats directement dans nos entreprises françaises de productions, par exemple des cassettes DAT pour des sauvegardes de serveurs. C'était un budget de 300 000€ pour des emplois en France.
C'est même une contribution à l'économie française, comme fait M. Ruffin et son équipe, en faisant circuler l'argent de nos impôts, et cotisations sociales.
Faut arrêter de se faire embobiner avec la propagande libérale de l'économe, de la bonne gestion comptable (libérale) et de son méritant…
Ce qui pose problème à nos libéraux, c'est que cette façon de faire n'enrichi bien sûr pas un intermédiaire marchand, la banque des placements…
Je rappelle que l'idéologie libérale est l'émanation de la classe sociale des marchands depuis la mondialisation économique entreprise par les royalistes occidentaux au 15ème siècle. Tout cela pour lutter contre la reconstitution de l'empire romain au travers de l'empire Ottoman.
Et que leurs manipulations de conditionnements sociaux comme le décrit Orwell ou, Noam Chomsky et Edward Herman sont la conséquence dans la démarche politique libérale de leur penseur Bernard MANDEVILLE avec «la fable des abeilles» dont vont s'inspirer tous leurs idéologues.
Les milliardaires ne sont jamais devenu riches parce qu'ils faisaient des économies ou parce qu'ils travaillaient comme des dingues !
Mais bien parce qu'ils ont des privilèges et possèdent des biens à rentes d'impôts privés non redistributifs sur les travailleurs et l'état.
C'est-à-dire qu'ils pompent l'argent de la création monétaire du crédit et des états pour l'injecter dans la prise de possessions de biens, l'économie virtuelle, pour encore plus prélever d'impôts sur les travailleurs.
Tous ces investissements contribuent à la marge à l'économie réelle !
Possessions qui sont devenues inflationnistes avec la financiarisation de tout :
- Du privé avec le productif et l'immobilier/foncier.
- De l'état avec les intérêts sur la création monétaire et sa gestion économique opérationnelle (fonctionnement).
- Et les biens communs gratuits des populations…
C'est ce que l'on appelle la banque de placements…
Depuis 1973, grâce à Valéry Giscard d'Estaing et Georges Pompidou, c'est la fin de la vision de droite honnête et royaliste du Gaullisme, cette banque des placements commence à prélever gratuitement un impôt privé sur la population avec la création monétaire d'état, l'argent public d'investissements.
Elle commence alors à décider de l'offre et de la demande économique !
Puisqu'elle contrôle les trésoreries des productions d'état des banques centrales, celles privées de leurs propres systèmes du placement, plus celles des consommations par le crédit des banques de dépôts avec les règles d’attributions.
C'est le début pour ces gens de privilèges économiques leur permettant de pomper l'argent public et de l'économie réelle. Manne financière qu'ils vont investir dans l'économie virtuelle, la banque de placements en rachetant les biens de productions privés pour construire des monopôles privés (merci patron 😉)…
C'est le début de l'impôt privé non redistributif pour ces futurs milliardaires.
Le risque 1981, et l'infiltration bancaire des politiques, preuve que nous sommes dans les candidats politiques de la ploutocratie…
C'est la période où la menace populaire cours sur les nationalisations des systèmes bancaires, la fin du capitalisme financier, pression communiste et syndicale oblige (les communistes ayant encore bonne presse dans la mémoire populaire, les Russes ayant libéré l'Europe, et les Américains ayant retardé de deux ans cette libération en fournissant le pétrole à Hitler pour qu'il ne perde pas en 1943 !
Ce qui eu des conséquences terribles dans l'extinction massive de la population juive et son début de la solution finale industrielle en décembre 1941…) la banque de placements doit impérativement infiltrer le mouvement pour mieux le dévoyer une fois au pouvoir.
Le monde financier va alors mettre en place des trafics d'influences sur les représentants de l'état (élus) inhérent aux systèmes aristocratiques représentatifs des candidats de la ploutocratie, que l'on nomme suivant la propagande libérale avec l'oxymore «démocratie représentative».
Cela sera le rôle des faux socialistes, infiltrés libéraux de la banque de placements, dont on verra tout le jeux en 1983 avec le virage économique bien expliqué avec la bande dessinée «le choix du chômage».
C'est la casse de nos industries…
Leur but, récupérer sur des politiques d'achats dans l'économie réelle des biens productifs, d'état et de biens communs afin de prélever plus d'impôt non redistributif pour cette banque des placements.
C'est le début des privatisations des entreprises d'état !
Et le début du chômage de masse par raréfaction des emplois (diminution des emplois directs et de la sous traitance pour la rente d'impôt du placement)…
Dans leur pratique de la gestion de risque de comptables gagnant/gagnant, en plus de la compromission des politiques, ils vont mettre en pratique l'infiltration d'une bureaucratie à leurs ordres.
C'est bien joli tout cela, mais une fois que l'on a récupéré sous la banque du placement ces entreprises d'état, comment on fait pour continuer notre gloutonnerie capitaliste pour ne pas effondrer le système financier de l'économie virtuelle ?
Ils vont alors pratiquer dans le priver à but non lucratif (protection sociale) et le public un lobbying culturel pour changer ces pratiques keynésienne. À la Ruffin, de gestion des états redistributifs de l'argent stocké pour qu'il circule et permette l'économie, le remboursement des dettes (là où cet argent est détruit) !
La destruction de l'argent crédit évitant l'inflation par quantité d'argent monétaire en circulation.
Comme il n'est plus possible de détruire cet argent de création monétaire qui ne circule plus dans l'économie réelle, les dettes privées, puis publiques deviennent inflationnistes.
Années 90, début 2000 ces libéraux vont transformer réglementairement parlant les politiques d'achats de l'état français, ces façons de faire à la Ruffin, avec des appels d'offres au niveau des états pour imposer de passer par des marchands.
C'est l’instauration des centrales d'achats.
Quel intérêt pour notre banque de placements ?
Cette forme de gestion va casser l'économie locale française de la sous-traitance et la redistribution directe de l'état et la protection sociale providence (propagande libérale pour ne pas dire de stabilisation économique).
Vécu personnellement dans la protection sociale du domaine de l'assurance perte emploi, par exemple sur les achats de casques téléphoniques en Assédic tout en profitant du flou du passage à l'euro, nous sommes passé d'un achat direct à l'entreprise de production vers un grossiste d'achats.
Tout ceci fait que nous sommes passé d'un achat de 150 francs le casque bas de gamme, à 150 € !
Vives les économies avec la centralisation des achats…
Et je ne parle même pas des magouilles internes de remontées d'informations marchés de trafics d'influences pour ces monopôles de ventes de la banque de placements pour qu'ils fassent pressions en sous-traitance sur la concurrence locale (sous-traitance locale n'ayant pas les moyens financiers pour assurer une activité nationale).
C'est ce système de centralisation des achats qui va mettre en marche les délocalisations dans des pays en voie de développement de nos productions pour que ces marchands gagnent encore plus de rentes.
Tout cela pour s'en mettre encore plus dans les poches, sur le dos des travailleurs en explosant leurs précarités et notre économie réelle, tout en rendant dépendant de multinationales, du système international de la banque de placements, l'état et le monde de la protection sociale (leur propagande sur la mondialisation et l'Europe inéluctable) !
C'est cela qui fout tout le monde au chômage.
Et ils se permettent alors de traiter ces travailleurs de fainéants avec leurs propagandes libérale.
Et c'est justement leurs prélèvements de l'argent non redistributif dans l'économie réelle pour l'économie virtuelle qui fait les dettes privées, publiques, la pauvreté et la crise de l'emploi.
Et les non remboursements et l'inflation des dettes publiques et privés sont la résultante de leur non paiement de l'impôt d'état redistributif.
Tout cela pour la circulation de l'argent et que l'économie capitaliste perdure (keynésianisme) !
Le keynésianisme devait éviter les impérialismes, les guerres, les révoltes populaires, l'effondrements de pays et la pauvreté…
C'est pourtant la connerie libérale qui est responsable de tout cela.
C'est cette expérience personnelle française qui me fait penser que les systèmes aristocratiques représentatifs ou intronisés, avec ses extrémistes ploutocrates les bonapartistes (idéologie d'extrême droite libérale, que l'on nous fait passer pour des centristes dans la propagande libérale), et les extrémistes réactionnaires royalistes du droit du sang (extrêmes droites racistes et autoritaires), sont les responsables de la destruction humaine, des vrais démocraties, du social, de notre environnement et de la nature…
Ils sont le crime contre l'humanité et la vie !