Alors qu'une démarche scientifique authentique est une démarche de doute, d'essais, d'erreurs et de questions qui s'ouvrent au fur et à mesure de son avancée, Bill Gates ne doute apparemment de rien et surtout pas de l'intérêt de vacciner la terre entière dans les plus brefs délais.
Ce faisant, Bill Gates et ses acolytes méconnaissent gravement que la biologie est un domaine vaste et complexe en lien avec d'autres domaines comme l'écologie, le droit et l'éthique notamment. Pour toutes ces raisons, de nombreux problèmes de santé n'ont ni une seule approche, ni une seule solution.
Au contraire sauf urgences, plusieurs options peuvent et doivent souvent être envisagées. De fait, plus un problème est complexe, plus la détermination du meilleur traitement nécessite des recherches, de la réflexion, s'inscrit dans le temps long et dans le contradictoire.
Qui plus est, plusieurs essais successifs de traitements différents sont parfois nécessaires, d'autant plus que soignants, patients, propriétaires d'animaux, consommateurs et légistes ont aussi leur mot à dire. Normalement rien ne peut ni ne doit en effet se faire sans le consentement - responsable et éclairé - de tous les acteurs.
En effet de nombreux traitements biologiques/chimiques ne sont pas anodins. Ils ont souvent des effets secondaires plus ou moins indésirables voire délétères, comme le montre la iatrogénie. Pour ces raisons, la balance bénéfices/risques est à connaitre impartialement et des précautions doivent être prises pour utiliser ces traitements de manière sécure.
La mise au point de #vaccins en particulier nécessite beaucoup de temps et d'étapes sur le plan scientifique et légal. Le cas des "vaccins" expérimentaux à ARNm utilisés en population générale contre le Covid alors même qu'ils étaient en phase 3 et n'avaient donc pas franchi toutes les étapes nécessaires à leur validation et à leur mise sur le marché, est en soi extrêmement révélateur de la manière dont des mensonges et manipulations peuvent être utilisés pour détourner les politiques publiques du bon chemin.
En effet l'obtention d'une AMM provisoire pour ces produits au motif qu'il n'y avait pas d'autre traitement, alors même que l'IHU de Marseille mondialement connu déployait un protocole HCQ-AZI et que de nombreux spécialistes internationaux - dont Robert Malone lui-même, l'inventeur de la technologie ARNm - dénonçaient l'imprudence, les risques et les dangers liés à ces "vaccins" utilisés de manière irréfléchie car très prématurée, restera à jamais gravée dans les mémoires de ceux qui furent injustement traités d'antivax, complotistes etc., par les ignorants ou demi-ignorants empressés de connaitre la solution, confondant vitesse et précipitation et/ou succombant aux sirènes de l'administration et des médias mainstream acquis d'emblée et d'avance à la cause de BigPharma pour cause d'actionnariat.
Au reste, la multiplication à tout va des vaccins tant pour les enfants que pour les adultes et les animaux interroge sur les risques liés non pas simplement à tel ou tel vaccin mais à leur accumulation dans le corps, à leurs interactions, à leur impact sur le système immunitaire, aux limites d'assimilation de ce système, et enfin au devenir des métabolites de ces produits, tant dans le corps que dans la nature.
Voilà en bref les raisons pour lesquelles il faut aller doucement, se poser et poser les bonnes questions. Ne pas croire en particulier que les choses sont ou doivent être toujours claires et univoques. S'interdire de se poser en détenteurs de vérités uniques ou dernières car dans le domaine de la connaissance, la vérité ne se détient pas, elle se cherche...