Jean-luc Mélenchon et ses petits camarades de jeu développent un goût immodéré pour les régimes politiques les plus dominateurs. Cette fascination, déjà ancienne, est partagée par le pan le plus hébété et le plus bêlant de FI et cela qu'il s'agisse de la Russie despotique, népotique et impérialiste de Poutine ou de la Chine communiste totalitaire de XI Jinping ; c'est toujours de manière très spontanée que leur cause est soutenue.
De l'agression militaire de l'Ukraine, des pratiques génocidaires à l'encontre de la population ouïghour ou aujourd'hui des rodomontades militaristes contre Taïwan, Mélenchon est toujours en première ligne pour apporter son soutien aux pratiques les plus condamnables, puis ceux qui lui redevables de tout lui emboîte le pas.
Les alliés minoritaires de la NUPES ont commencé à se démarquer de la tendance dominatrice de sa composante caudilliste mais comptent-ils vraiment ? Quel crédit peuvent encore avoir un Faure et un Bayou qui il y a quelques semaines encore jouaient les petits chiens opinant du chef sur la plage carrière du carrosse de la mélenchonie.
Dès que l'affaire tournera au vinaigre nous assisterons sans doute à de nouveaux numéros de contorsionnistes et de rétropédalage spectaculaires et d'un cynisme que plus grand monde n'accepte mais qui est la seconde nature de la Nébuleuse. Leur figure rhétorique préférée sera une fois de plus de tenter de faire croire que décidément nous n'avons rien compris à la pensée profonde et subtile du Maître.