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Billet de blog 3 avril 2014

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VIDEO. Pour Valls, il n'y a pas de "rupture", mais une "continuité" avec Ayrault

Par Freddy Mulongo, jeudi 3 avril 2014  Radio Réveil FM International 

Le nouveau Premier ministre était l'invité de TF1 mercredi soir, au soir de la nomination de son équipe.

Le Premier ministre, Manuel Valls, a assuré mercredi 2 avril que son gouvernement, nommé dans la matinée, ne représentait "pas une rupture, pas une révolution" avec celui de Jean-Marc Ayrault. "Il ne s'agit pas d'une alternance. Dans bien des domaines, nous allons nous situer dans la continuité du travail engagé par Jean-Marc Ayrault", a-t-il dit sur TF1, alors qu'on lui faisait remarquer que son équipe n'avait pas été fondamentalement changée par rapport à celle de l'ancien Premier ministre.

"Il est normal de trouver des hommes, des femmes d'expérience, parfois aux mêmes responsabilités, parfois à d'autres", a ajouté Manuel Valls. Le chef du gouvernement a cité les entrées de Ségolène Royal et François Rebsamen, "femme et homme de très grande expérience qui seront, je crois, très utiles à ce gouvernement". Il a aussi jugé que "l'entraîneur" d'une équipe était "important (...) pour permettre de mieux jouer de manière collective".

Les membres du gouvernement, "tous hollandais"

Le Premier ministre a aussi déclaré que les membres du gouvernement, à commencer par lui, étaient "tous des hollandais", répondant à une question sur la manière dont les ministres avaient été choisis. "Encore une fois, c'est le président de la République qui fixe le cap. Il l'a fait lundi [en décidant d'un remaniement]. C'est lui qui a reçu la légitimité des Français en étant élu président de la République. Il m'a confié cette responsabilité", a ajouté l'ancien député-maire d'Evry (Essonne).

"Réduire les déficits, il n'y a pas d'autre choix, c'est une question de crédibilité pour la France. Notre dette, nous devons la maîtriser, sinon nous perdons notre souveraineté nationale", a aussi estimé Manuel Valls. Il a précisé qu'il fallait, "en même temps", "préserver ces services publics qui sont indispensables à la solidarité, à la cohésion de notre pays".

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