Non brouettée, Armand Mavinga Tsafunenga réclame la Transition Exceptionnelle pour le Kongo !
Précurseur et visionnaire, depuis des années, Armand Mavinga Tsafunenga n'a jamais changé le fond de sa pensée. Il est pour une Transition Exceptionnelle.
Pour lui, l'élection présidentielle au Kongo est une chimère. Comment le président de la CENI, en occurrence, Denis Kadima, un seul individu, peut-il prendre une décision, qui engage 100. 000.000 d'habitants ? La décision d'un individu peut basculer le destin de tout un peuple.
Les 910 partis politiques au Kongo sont des foyers de dissensions, bagarres et guerres politiques. Alors même que la culture bantu , la nôtre est celle du consensus. Les bantous n'ont jamais été antinomiques, comme maintenant. Ils sont conventuels. Si à 100.000.000 d'habitants, les Kongo peuvent se battre et faire de guerres pour accéder à la magistrature suprême. Que dire lorsque la population Kongo aura doublé, triplé ou quadruple ?
Depuis l'élection Louis Michel 2006, qui a donné Joseph Kabila vainqueur, aux élections présidentielles "boutiquées", il n'y a jamais des élections locales au Kongo. Or ce sont les élections mères, qui commentent la "Bantucratie" dans notre pays. Tout le monde croit que l'élection présidentielle est importante, puisque un seul individu, en occurrence, le président de la CENI, decide frauduleusement et en toute impunité, qui sera le président de la République. Et impose le nommé électoral à tout le pays.
Les élections locales permettent à chacun de voter localement. Prise en compte, l'élection du quartier dans la commune, peut influer sur celle du président. C'est la démocratie participative par le bas, qui influe sur celle corruptible d'en haut.
La Transition classique est opportuniste. Puisque c'est le régime tyrannique en place, qui choisit ses délégués corruptibles et corrompus. Tandis que la Transition Exceptionnelle, c'est Tata Kimbangu, qui crée une situation exceptionnelle, pour cette dernière. Personne ne contrôle jamais personne ni les événements. Les Bana Bilika reconnaissent celui qui a des propositions concrètes et s'allignent derrière lui.
Cela fait des années, qu'Armand Tsafunenga parle et peaufine ses propositions pour la Transition Exceptionnelle. Il n'a pas besoin d'être choisi et désigné par le régime usurpé en place.
Armand Mavinga Tsafunenga est un grand homme de culture et érudit. Homme de foi, de conviction et d’action, il est le premier Kongo dans une interview sur Réveil FM International en 2009, avoir clamé , déjà la transition sans Kabila en RDC.
Joseph Kabila a été désactivé par des puissances mondiales, il n'a pas pû être candidat à l'élection présidentielle du 30 décembre 2018. Pour se venger du peuple Kongo qui l'a honni, il s'est choisi un pantin, avec qui il a fait un odieux deal, qui est bénéficiaire d'une nomination électorale.
Armand Mavinga Tsafunenga n'est pas complexé à l'égard de ceux que la communauté internationale pousse dans une brouette.
Sans la participation de la diaspora “Bana Bilaka”, Kongo continuera à tourner en rond.
Des "traîtres" et "collabos" pour maintenir le régime d’imposture, c’est au sein de la diaspora que l’on retrouve encore des hommes et femmes dignes qui ne sont pas à se vendre pour des miettes.
Enseignant, chercheur, écrivain engagé, expert et consultant, entrepreneur et Pasteur, il a une formation multidisciplinaire et est titulaire de plusieurs titres.
En 1973, il a été le plus jeune diplômé d’Etat de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre) ; en 1977, le plus jeune licencié et agrégé du pays.
À son retour de Kinshasa, Armand Mavinga Tsafunenga s'était confié à Réveil FM International. Aujourd'hui, rebelote, Mavinga Tsafunenga clame, la défragation des diverses crises enchevêtrées au Kongo, selon le défunt patriote résistant, Jean Kalama-Ilunga. Pour ce dernier, seule une révolution peut nous faire sortir de ces crises enchevêtrées.
Armand Mavinga Tsafunenga de réaffirmer la Transition Exceptionnelle au Kongo, puisqu'il n'aura pas des élections.
Freddy Mulongo Mukena
Réveil FM International