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Journaliste congolais vivant à Paris, défenseur de la liberté d'expression. Fondateur de Réveil FM International.Créée en 1999 à Kinshasa, Réveil FM est devenu Réveil FM International depuis 2007 à Paris.

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Billet de blog 15 octobre 2021

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Madagascar: Plus de 300 journalistes internationaux au XVI ème Sommet de l'OIF !

Le droit à l’information est un droit individuel. Le journaliste est avant tout un témoin qui rapporte le plus fidèlement possible les faits importants de la vie de notre société. Il est responsable d’une bonne partie de l’information de ses concitoyens et en ce sens il joue un rôle très important dans une démocratie. Les journalistes francophones sont témoins de la vitalité de la francophonie.

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Madagascar: Plus de 300 journalistes internationaux au XVI ème Sommet de l'OIF!

Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International

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Freddy Mulongo-Réveil FM International, au Sommet de la Francophonie à Antananarivo

Avec plus de 6500 participants, dont 20 chefs d’État et de gouvernement, plus de 2500 délégués et des représentants de différentes organisations internationales partenaires, dont l’Organisation des Nations Unies, l’Union Européenne, l’Union Africaine et la Banque Africaine de Développement, le Sommet de Madagascar a été un succès. Il s’est achevé sur l’adoption de la Déclaration d'Antananarivo, qui place le développement durable au cœur des nouveaux enjeux de la Francophonie et rappelle le rôle important de la culture comme pilier du développement durable. Treize résolutions ont également été adoptées, dont la Résolution sur la promotion du dialogue des cultures en tant que facteur de développement durable qui vise notamment à favoriser “une plus grande coopération culturelle entre les pays de l’espace francophone, dans l’objectif d’un développement solidaire, complémentaire et inclusif”.

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Les journalistes francophones dans la salle de presse au XVI ème Sommet de la Francophonie. Freddy Mulongo-Réveil FM International  

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XVI ème Sommet de la Francophonie à Madagascar, Freddy Mulongo et Phillippe Couillard, 31e premier ministre du Québec, fonction qu'il a occupé du 23 avril 2014 au 18 octobre 2018 .

"Ceux qui n'ont pas pu venir avaient de bonnes raisons, a justifié Michaëlle Jean, en clôture du Sommet. Et ceux qui sont venus l'ont fait en plein possession de leurs moyens."

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Une première aussi pour la Secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, élue lors du dernier Sommet de Dakar, en 2014. Elle a voulu accorder plus de place aux femmes (sous-représentées, par ailleurs, parmi les chefs d'Etat francophones) et aux jeunes dans la Francophonie.

Une présence-absence remarquée de Mohamed VI, roi du Maroc, pourtant présent à Madagascar. Le chérifien n’a pas assisté à la cérémonie d’ouverture et n’a pas prononcé le discours d'ouverture prévu.
Et pourtant, le Maroc n'avait pas lésiné sur les moyens, en établissant 22 stands au Village de la Francophonie et en déplaçant une délégation de près de 500 personnes. Il faut dire que la famille royale marocaine a un lien particulier avec la Grande Île : le grand-père du roi et sa famille avaient séjourné en exil à Antsirabé pendant deux ans.  Mais le roi du Maroc n'était pas le seul absent de ce Sommet. Contrairement à l'édition 2014 à Dakar, peu de chefs d'Etat africains se sont déplacés.

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Plusieurs dirigeants annoncés n’ont, en réalité, pas fait le déplacement. C’est notamment le cas du président ivoirien, Alassane Ouattara - pour raisons familiales, du Béninois Patrice Talon, du Guinéen Alpha Condé ou encore du Togolais Faure Gnassingbé. Le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, reparti déçu du précédent sommet à Dakar en 2014 non plus.

Le Camerounais Paul Biya et le Malien Ibrahim Boubacar Keïta n’étaient pas présents. Le président de RD Congo, Joseph Kabila, dont le nouveau gouvernement n’a toujours pas été nommé et qui a été l’objet de vives critiques de la part de Paris ces dernières semaines, n’est pas venu.

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