RDC: Il faut plaquer au sol Tshilombo Tshintuntu ses Fakwa, Balados et Angwalima !
Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International

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Humiliations à l'extrême, Tshilombo Tshintuntu Muana Mboka Ya Moyibi est une calamité pour la RDC. Le fameux fils d'Etienne Tshisekedi tourne les Congolais en bourrique et fait de la RDC, la risée du monde.
Les Congolais meurent tous les jours à l'Est malgré l'état de siège made in Tshilombo et ses prolongations fantaisistes. Tshilombo a dépensé plus de 300 millions pour ses 117 voyages inutiles. C'est l'argent du trésor public donc du peuple congolais. Il escroque avec le RAM. 27 millions de Congolais sont affamés. Il est incapable de donner l'eau et l'électricité à notre peuple. Tout est délabré. Tshilombo Tshintuntu, ancien pizzaïolo est le seul Congolais qui a grossi. Ses joues joufflues ont doublé du volume !
Nos confrères de Beni-Lubero sont plus explicites: Etat de siège, Kadima, M23 et accélération de la balkanisation. Au moment où on polémique à Kinshasa sur les succès ou non de l’état de siège, la réalité sur terrain, et dans les milieux sécuritaires de la région, est celle d’une accélération des agendas militaires et une emprise des forces rwandaises sur les territoires des provinces sous état de siège. Le risque qui se profile est celui d’une confrontation avec l’Ouganda dont la sécurité intérieure commence à être directement affectée par l’activisme des milices et des groupes armés parrainés par le Rwanda, de l’autre côté de la frontière, en RDC. Dans une précédente publication, nous avions fait état de la satisfaction du pouvoir rwandais qui considère que ses objectifs stratégique au Congo avancent rapidement et sont à plus de 50% grâce à Tshisekedi et à l’état de siège. Nos sources au sein du pouvoir rwandais nous ont apporté de nouvelles révélations que nous allons partager avec vous au fil de ces lignes.
1. Les différents déploiements militaires rwandais
Sous couvert du phénomène ADF, le Rwanda consolide son contrôle militaire sur les territoires de Beni et d’Irumu avec des centres de commandement dans la zone entre Mantumbi et Komanda. Ces centres de commandement sont dirigés par un colonel rwandais du nom de « Mugabo », selon nos sources. Le Rwanda a toutefois besoin de beaucoup d’effectifs suite aux défections et aux décès dans les rangs des combattants qui affluent du Rwanda. Trois stratégies ont été mise en place pour renforcer les effectifs des ADF.
La première a consisté à démobiliser les combattants des groupes armés dans ce qu’on appelle « le Petit Nord » (territoires de Rutshuru, Masisi, Walikale) sous prétexte du programme DDRR. Les combattants ainsi démobilisés et regroupés à Mubambiro sont par la suite acheminés en masse dans le Grand Nord (territoires de Beni et de Lubero), ainsi qu’en Ituri. Nos sources nous indiquent que la plupart de ces combattants sont issus des milices Nyatura et des NDC.
La deuxième stratégie consiste à recruter directement parmi la jeunesse désœuvrée locale. Les recrutements par la force (kidnapping) ne suffisent plus face à l’accélération des agendas. Les nouvelles recrues reçoivent ainsi un salaire de 300 $ pour rejoindre les différentes unités des ADF dans les zones où le Rwanda et ses alliés dans les FARDC consolident leur emprise territoriale.
La troisième stratégie, toujours selon nos sources, consiste à un déploiement direct des régiments de l’armée rwandaise. Ces régiments sont en cours de déploiement vers trois destinations : le parc national des Virunga, l’agglomération de Kanyabayonga (territoire de Lubero) et dans le secteur de Bibwe dans le Masisi. Nos sources nous renseignent que la localité d’Ihuka, à Bibwe, est le lieu de première implantation des parents de l’actuel ambassadeur du Rwanda en RDC, Vincent Karega. C’est une zone où furent implantés des milliers de familles rwandaises dans les années 50 et 60, et que de nombreux rwandais ont toujours considérée comme une extension du territoire du Rwanda au Congo. Vincent Karega serait très impliqué dans cette opération consistant à implanter une brigade des RDF (armée rwandaise) dans cette zone du Masisi afin de servir d’appui aux forces rwandaises déployées vers le nord (Kanyabayonga, parc des Virunga, Beni, Ituri).
2. La réaction de l’Ouganda
L’Ouganda se prépare à intervenir militairement dans l’est du Congo pour combattre les ADF. Selon nos sources, les discours répétés de Tshisekedi qui parle de terroristes islamistes dans son pays et qui appelle la communauté internationale à l’aide, ont fini par amené les partenaires extérieurs à donner le quitus à l’Ouganda pour intervenir. Nos sources en Ouganda nous renseignent que les discussions entre les autorités ougandaises et leurs homologues en RDC sont déjà au point, mais les Congolais se dérobent à chaque fois à cause de fortes pressions du Rwanda qui est fermement hostile à toute intervention militaire ougandaise dans cette partie de la RDC, que les Rwandais considèrent comme étant leur espace conquis. Nos sources indiquent que le scénario militaire qui se profile est que l’intervention militaire ougandaise aboutira à la neutralisation des milices ADF et d’autres milices pilotées par le Rwanda en Ituri et dans les territoires de Beni et de Lubero, mais qu’il y a un risque de résistance militaire entre les armées des deux pays au vu des déploiements des forces rwandaises dans le Sud-Lubero, le Masisi et le parc national des Virunga. Un autre déploiement des forces rwandaises nous a été signalé sur l’axe Kisangani. Le conflit pourrait aboutir à un isolement de l’Ituri et du Grand-Nord (Beni-Lubero) sous influence ougandaise tandis que le Rwanda consoliderait son emprise sur la partie sud de la province du Nord-Kivu. Cette province a déjà été divisée au cours de la Deuxième Guerre du Congo (1998-2003), ce qui risque de se produire à nouveau.
3. Kadima et le chaos qui s’annonce
Alors que les Congolais ont les yeux rivés sur l’année 2023, à la fin de laquelle des élections sont annoncées, les agendas militaires dans les deux provinces sous état de siège sont menés en tenant compte des mises en place au niveau de la Commission électorale nationale indépendante. Nos sources au Rwanda nous ont appris que le pouvoir de Kigali a soutenu la candidature de Denis Kadima et même poussé Félix Tshisekedi à le nommer rapidement. Pour le Rwanda, Kadima est la garantie du maintien de Félix Tshisekedi au pouvoir au-delà de 2023, avec ou sans élections. La CENI sous Kadima est aussi la garantie que les milliers de sujets que le Rwanda est en train d’implanter en Ituri et dans le Nord-Kivu vont obtenir des cartes d’électeurs et ainsi s’octroyer une nationalité congolaise collective sans démarche administrative individuelle de naturalisation. On nous apprend que ceux qui sont déjà entrés au Congo se verront octroyer des cartes d’électeur automatiquement. Nos sources indiquent que cette opération peut provoquer des réactions du côté des Congolais, mais que le Rwanda a déjà anticipé ces réactions. Denis Kadima, comme son prédécesseur Corneille Nangaa, utilisera ces protestations des Congolais comme prétexte pour annuler la tenue des élections dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.
Selon nos sources, Félix Tshisekedi et ses proches savent qu’ils n’ont aucune chance de gagner les élections au Nord-Kivu, en particulier dans les territoires de Beni et de Lubero. Le Nord-Kivu est, après Kinshasa, la province n° 1 en termes de nombre d’électeurs. En déstabilisant le Nord-Kivu ou en l’écartant des prochaines élections, Félix Tshisekedi se met à l’abri d’un vote sanction qui pourrait lui être fatal.
Telles sont les informations recueillies de nos source, et que nous tenions à partager avec vous. La situation risque d’évoluer rapidement dans le sens de la dégradation de la crise sécuritaire. Lorsque nous avions recueilli ces informations, nous sources nous avaient alerté sur les risques de troubles dans l’espace entre Bunagana, à la frontière ougandaise, et Goma. Quelques jours plus tard, on apprendra que les combattants du M23, en provenance du Rwanda, ont occupé plusieurs localités du territoire de Rutshuru et contraint les habitants de Bunagana à se réfugier en Ouganda, de l’autre côté de la frontière. En réalité, il s’agit d’un vaste plan militaire qui doit aboutir à un déploiement massif des brigades de l’armée rwandaise dans cette partie de la RDC frontalière avec l’Ouganda.
Les unités de l’armée rwandaise qui se déploient et qui vont continuer de se déployer dans le parc national des Virunga, au Sud-Lubero et dans le Masisi, sont décrites comme étant très bien formées puisqu’il s’agit des troupes qui ont participé aux missions à l’étranger, notamment au Darfour et en Centrafrique. Elles ont la formation, l’expertise militaire et les équipements face auxquels les soldats loyalistes des FARDC ne seront pas en mesure de faire face.

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L'Ouganda condamné par la Cour internationale de justice de la Haye, à payer 10 milliards de dollars pour la guerre de six jours, qui est une succession d’affrontements meurtriers entre l'armée ougandaise et rwandaise, deux armées d'occupation, à Kisangani du lundi 5 au 10 juin 2000 en République démocratique du Congo. Et l'Ouganda veut construire des routes au Congo, sans payer les 10 milliards de $ ? L'ougandais Yoweri Museveni et Tshilombo Tshintuntu ont procédé mercredi 16 juin dernier, à la pose de la première pierre des travaux d’un important réseau routier censé permettre à l'Ouganda de mieux piller les ressources du Congo. C’est le poste frontalier de Mpondwe-Kasindi qui a servi de point de rencontre pour la matérialisation de ce vaste chantier qui couvrira 223 km de routes à réhabiliter ou à construire entre l’Ouganda et la République démocratique du Congo (RDC). Celui-ci comprend trois principaux axes : Mpondwe-Kasindi-Beni (80 km) ; Bunagana-Rutshuru-Goma (89 km) et Beni-Butembo (54 km). Tshilombo vend le Congo pour ses intérêts personnels. Pour construire les routes, la RDC a besoin que l'Ouganda, pays envahisseur puisse le faire à sa place ? Ce que Tshilombo Tshintuntu ne dit pas, ces trois axes routier, c'est pour faciliter la sortie des matières premières du Congo pour l'Ouganda.

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Le Rwanda, pays agresseur, pillard et receleur des ressources de la RDC se propose de construire des villes sur le sol congolais. Paul Kagame, Hitler Noir, bourreau du peuple congolais, s’est engagé auprès du chef de l'Etat, Félix Tshisekedi, de donner une aide spéciale aux sinistrés de la récente éruption volcanique du Nyiragongo au Nord-Kivu en leur construisant un village modèle. Evalué à environ 30 millions de dollars pour une durée de 12 mois, ce projet vise non seulement à offrir des logements à ces déplacés, mais aussi une école et un hôpital modernes. Des sites d’activités agricoles et pastorales doivent également être aménagés.
La faute à Tshilombo Tshintuntu, un incapacitaire et voleur de destin de tout un peuple, qui pousse les agresseurs de la RDC, d'humilier davantage les Congolais, il n'y a pas mille solutions. Il faut le plaquer au sol, lui et ses Fakwa, Balados et Angwalima. Il faut arracher à Tshilombo Tshintuntu le livret parcellaire de la RDC. Le mafieux vit des "COOPS". Le mafieux margoulin est prêt à tout vendre du pays. Il faut dégager Tshilombo Tshintuntu et sa bande des chekuleurs, Fakwa, Balados et Angwalima. Ils seront dégager de manière pérenne, populaire et patriotique.