RDC: Bakolo Kongo-Bana Elonga "Ni dialogues ni négociations avec des Ventriotes"!
Freddy Mulongo Mukena, Réveil FM International

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Précurseur de la Résistance Patriotique Kongo, le réquisitoire de Mbuta Ikala Songa Nzila Ya Kimbangu Diantungunua est sans appel: "Ni pardons ni négociations ni dialogues avec des politiciens véreux et corrompus qui ont trahi le pays, hypothéqués l'avenir de tout un peuple pour leurs intérêts individuels". L'homme de la Fatwa Anti-Concerts à Londres qui aujourd'hui est partagé par toute la diaspora ne tourne pas autour du pot: Des politiciens sont ennemis du Kongo. Ils sont tous des coopérants qui n'ont rien à avoir avec les souffrances et préoccupations de notre peuple !

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1. Plus des sociétés brassicoles en RDC, elles seront fermées définitivement !
Mafieuses, les sociétés brassicoles contribuent à endormir le peuple Kongo ! Elles soutiennent des régimes tyranniques. De 35.000 bouteilles de bière par mois en 1926, la Bralima produit actuellement environ 12 millions de bouteilles de bière par mois dans ses diverses usines. Bralima mène des campagnes mensongères sur les vertus de ses boissons, corrompt les médias locaux et tend à exagérer l'impact de son engagement. Ses messages publicitaires sont diffusés à travers les différents médias kinois. La télévision, la radio, l’internet, les affiches ont diffusé et diffusent même les publicités de la Bralima avec des slogans « Primus, Pelisa ngwasama », « Primus, Fungola Masolo » qui visent à valoriser la bière Primus. Elle prétend ainsi soutenir 1,6 million d'emplois et apporter chaque année l'équivalent de 2,8 milliards d'euros aux économies locales. Chiffres à coup sûr excessifs. De nos jours, Heineken participe souvent de sa propre initiative à des programmes de prévention de l'alcoolisme ; mettant alors l'accent sur la notion de responsabilité individuelle du buveur. Or, toute la littérature scientifique montre qu'une telle approche ne réduit en rien la consommation. Contre l'abus, seuls opèrent la disponibilité des produits, leur prix ou encore les horaires d'ouverture des débits de boisson.

En 1921, Mvuluzi Kimbangu Diantungunua est arbitrairement arrêté par des colons, coloniaux et esclavagistes belges. En République Démocratique du Congo, le groupe Heineken a acheté en 1922, la Compagnie Industrielle des Boissons (CIB) qu’il a fusionné avec la Bralima "Brasserie, Limonaderie et Malterie". La BRALIMA voit le jour, le 23 octobre 1923. Un groupe d'industriels Belges entreprennent d'installer avec l'aide de la Banque de Bruxelles, une brasserie à Léopoldville afin soit-disant de combattre l'alcool distillé communément appelé « lotoko », et fermenté dans des conditions d'hygiène douteuse. La Brasserie de Léopoldville née avec un capital social de 4.000.000 de Francs Congolais . Elle est une société par actions à responsabilité limitée (SARL) dont les actionnaires (70 % le groupe HEINEKEN et le reste est reparti entre l'Etat Congolais et les particuliers) sont regroupés dans un Conseil d'Administration. Avec l’accord du gouvernement général et la bénédiction des missionnaires de l’époque, la Bralima a été installée à Léopoldville. Elle a servi sa première bouteille de bière le 27 décembre 1926. L’effectif des travailleurs s’élève alors à 35 employés et sa production moyenne est de 35.000 bouteilles par mois.

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Si tu aimes le Congo, tu aimes la Primus". Tel est le slogan de cette publicité affichée à Bukavu, dans l'Est de l'ex-Zaïre, pour cette bière du groupe Heineken.
En RDC, pays exsangue à l'histoire tourmentée, on la vénère avec la ferveur due à la "mousse sacrée". Sur le continent noir, la bière dope les soudards et anesthésie les peuples, tandis que son commerce enrichit des brasseurs occidentaux enclins à sceller de douteux pactes avec des pouvoirs tyranniques. Dans un essai intitulé "Heineken en Afrique, Une multinationale décomplexée", publié aux éditions Rue de l'échiquier, le journaliste néerlandais Olivier van Beemen dévoile les coulisses d'une emprise postcoloniale moins légère que le breuvage blond ou ambré jailli des tireuses, des bouteilles ou des cannettes.

Heineken ne fait pas seulement de bonnes affaires sur le continent, mais a réussi à projeter, via ses publicités ou le parrainage d'événements sportifs et culturels, une image pour le moins flatteuse de ses activités. Tout comme de sa contribution au développement de l'Afrique, notamment de son agriculture.
Avec, s'agissant des petites nations meurtries de l'Afrique des Grands lacs, ce raccourci glaçant : les cadavres de trois chefs d'Etat assassinés entre octobre 1993 et 1994, Melchior Ndadaye, Cyprien Ntaryamira et Juvénal Habyarimana, ont été conservés un temps dans la chambre froide d'une Heineken filiale locale.

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2. Ni dialogues ni négociations avec des politiciens, politicailleurs, ventriotes et ventripotents !
Pendant les campagnes électorales, il n’est pas rare d’entendre un homme (ou une femme) politique dénoncer avec vigueur les tares de la société ou les carences de ceux qui sont en place. Et quand il (ou elle) enchaîne en dépeignant la société que son programme magnifique fera advenir, la certitude de tenir là l’homme (ou la femme) providentiel s’impose à beaucoup.
Et cela arrive que des tels hérauts soient élus. Hélas, il n’est pas rare que leur propre gouvernance n’apporte son lot de désillusions et de déceptions. Il y a d’abord ceux qui mentent sciemment pour séduire les futurs électeurs et ceux qui privilégient des positions idéologiques au détriment de mesures avec des impacts efficaces, au détriment de la réalité donc. On commence par dire « ce pouvoir je dois l’exercer parce qu’il n’y a que je peux sauver ce peuple ». Ensuite on dire « Il n’y a que moi qui puisse sauver le peuple. Je dois rester au pouvoir ». Et plus tard on dira juste « le pouvoir, c’est moi ». Les trois obstacles qui empêchent l’émergence du bon leader politique sont:
- Le manque de direction, sans laquelle on ne peut avancer vers le bon objectif, changeant de sens au gré du vent…
- Le manque de volonté, sans laquelle on ne peut affronter les obstacles et résister aux tentations.
- Le manque de discernement, ou de jugement, sans lequel on ne comprend pas la complexité pour mieux la contourner.

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Les politicailleurs adorent être au chaudron de la mangeoire. Ils n'ont pas des convictions politiques et ne font de la politique que pour le ventre. Versatiles, fourbes, roublards, grands requins, les politicailleurs ont pris en otage le peuple congolais. En bons troubadours, ils troubadourisent la politique. La classe politique congolaise est la plus corrompue et pourrie de l'Afrique !
D'ailleurs en République démocratique du Congo, des imposteurs et médiocres pour cacher leurs insuffisances se font appeler "Excellence" ! Franco Lwambo Makiadi avait raison dans sa chanson "Bakalaka Basundola Mayele". "Biso To Ko nommer Mutu té. Bo Nzambe d'abord ! Kimbangu Diantungunua Ye Nzambe Ya Kongo. Nzambe Mosusu azali Té ! Il faut Ko Mela Mbondo Ke Oko Trahir Kongo Té" !
Un Moyibicrate de surcroît Zobacrate qui a été un dinosaure Mobutiste patenté, qui est devenu un Mammouth Joséphiste notoire, puis Tshilomboïstes déclare sans rire :" Tshilombo est "président" ya RDC jusqu'au retour de Jésus sur terre". Moto na Libandi qui fait cette fameuse déclaration alambiquée s'est autoproclamé "Professeur", les Talibans et Tribalo-Ethnique qui relaient cette fumisterie sont des écervelés courtisans et applaudisseurs inconscients. D'ailleurs en République démocratique du Congo, des imposteurs et médiocres pour cacher leurs insuffisances se font appeler "Excellence" ! Franco Lwambo Makiadi avait raison dans sa chanson "Bakalaka Basundola Mayele".
En Afrique et dans le monde: la classe politique congolaise est la plus corrompue et la plus pourrie. A se poser la question, s'il y a vraiment une classe politique en République démocratique du Congo, pays de Lumumba ? Des chiffonniers qui se battent pour des miettes que l'on leurs jettent sous la table ! Des troubadours habitués à crier très fort le jour et dans la nuit, comme Nicodème aller récupérer des cartons d'argent.
Des roublards et fourbes prêtent à faire avaler n'importe quoi au peuple qu'ils sont sensés défendre. Des caméléons politiques sans convictions qui au lieu de défendre le peuple, changent et épousent les propositions du régime pour mieux satisfaire leurs instincts bestiaux. Des girouettes politiques qui tournent au gré du vent et sont prêts à tout pour un maroquin ministériel. Des traverseurs de rue qui ne cessent de faire des allers-retours entre le pouvoir et la prétendue opposition.
Lorsque les enfants des autres sortent dans la rue pour défendre la démocratie, protéger la Constitution...Sans sommation, ils sont canardés comme des lapins par les mercenaires de Tshilombo ! Froussards, Ces politicailleurs sont chez eux cachés sous des lits et ne sortent que pour compter des morts et s'approprier la lutte des autres ! Incapable de diriger le pays, il ne reste à l'UDPS, parti familial des Bena Mpuka et Talibans que mesquineries, escroqueries, faussetés, coups-bas, procès, poursuites, complaisances... jérémiades inutiles de partisans de l'UDPS, ces nullards sont pouvoir mais se comportent comme s'ils sont dans l'opposition.
Un Président Américain n'a qu'un mandat de 4 ans. C'est ridicule que les Udpsiens continuent à parler de Mobutu plusieurs années après sa mort pour justifier leur incompétence. Mobutu au moins avait abattu un grand travail et ses réalisations parlent. Il avait unifié ce pays et toutes les infrastructures sont de l'époque Mobutu. Le discours de se référer à l'homme de Kawele est une simple distraction car ceux qui sont venus après Mobutu n'ont fait que piller et s'enrichir au détriment du peuple qu'ils sont censés servir. Une attitude irresponsable de se plaindre éternellement et de cacher les incompétences sur le dos de Mobutu. Alors même qu'ils sont au pouvoir, des Kinois applaudissent Alias Kabila ! Cela ne leur dit rien !
Les politicailleurs ventriotes continuent d’accumuler des fautes et des erreurs pour sortir de la crise que traverse notre pays la République Démocratique du Congo après la guerre dite d'occupation, masquée en guerre de libération de 1997 qui a fait tomber le régime dictatorial de Mobutu Sese Seko.

3. La fin des perruques, faux cils, faux ongles et produits décapants la peau...au Kongo !
Les femmes Kongo seront respectées, encouragées et soutenues dans leurs initiatives. Plus des perruques, mèches, faux oncles, faux cils...et produits décapants de la peau noire. Les femmes Kongo sont belles naturellement. Elles n'ont pas à se décaper la peau pour devenir belle. Les produits décapants n'entreront plus dans Mbanza Nzambi Kongo Dia Ntotila. Aujourd’hui, les femmes congolaises aux cheveux afro naturels, c’est-à-dire non traités avec des produits chimiques, sont tout ce qu’il y a de plus désirable, contrairement aux idées reçues.

Lorsque vous gardez vos cheveux naturels, vous êtes libre ; vos cheveux sont sauvages ; vous pouvez arborer une nouvelle coiffure tous les jours ; vous rayonnez ; vous êtes majestueux. Autant de choses qui sont hors de portée de la plupart des gens, ce qui les rend malheureux.

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4. Protection des animaux de compagnie: chiens, chats, perroquets, pigeon ...!
Au Mbanza Nzambi Kongo Dia Ntotila, chiens, chats et autres animaux de compagnie seront protégés, sous peine de servitude pénale. Restaurants et malewa de mangeurs de chien et chat seront fermés. Manger un chien cela se faisait en cachette. La viande de chien était réservée au chef et sa cour. Les femmes n'y avaient pas droit. Ce sont des hommes qui cuisaient cette viande . La famine aidant dans cette présidence usurpée de Tshilombo, des femmes se mettent à manger de la viande canine. À notre époque, à Kinshasa, chaque grande villa avait un ou des chiens reconnaissables par leurs aboiements. A trop manger de la viande canine, on fait un deal avec l'ennemi du peuple congolais, on accepte d'être un pantin-marionnette, on est protocolaire, des Congolais crèvent on est silencieux, des conseillers tombent comme des mouches à la présidence usurpée... On est comme le chien on regarde ailleurs.

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Un chien qui n'aboie plus en est-il encore un ? Attention chien méchant ! Attention Mbua Mabe est une époque révolue. Angwalima Tshilombo est un chien couchant ! Il est ennemi de notre peuple. Il est voleur du destin du peuple congolais. Des mangeurs de chiens font la loi avec la présidence usurpée de Tshilombo.