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Billet de blog 30 septembre 2014

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Ânerie indécente: Léonbitch Kengo, Nzanga Mobutu et Modeste Mutinga Mutuishayi sont-ils devenus des opposants à alias Joseph Kabila ?

Par Freddy Mulongo, mardi 30 septembre 2014  Radio Réveil FM International 

Ba Ndoki ya République démocratique du Congo: Antoine Gizenga faux nationaliste, alias Joseph Kabila, l'incapacitaire de Kingakati et Joseph Nzanga Mobutu, un nullard au carré

Ânerie indécente, les Congolais souffrent-ils tous de l'amnésie collective ? Un peuple sans mémoire est perdu à jamais ! Lorsque historiens et les journalistes ne jouent plus leurs rôles, c'est la catastrophe. Les congolais ont la mémoire courte? On voit aujourd’hui les mêmes faux-opposants sous le règne de Mobutu revêtir les mêmes parures de transvestis sous alias Joseph Kabila. Comment des mangéristes à tous les râteliers, des mangecrates patentés, des girouettes politicailleurs sans vergogne et apparatchiks d'un régime tortionnaire, illégitime et d'usurpation, peuvent-ils se réveiller un beau matin après avoir contribué à renforcer la dictature totalitaire qui sévit en République démocratique du Congo, clamés et trompetés qu'ils sont opposants et personne ne dis rien ? Léonbitch Kengo wa Dondo, le célèbre "Edenté de la Gare du Nord", le "Grand Lézard", "L'opposant Chauve-souris" est-il un vraiment un opposant au régime d'alias Joseph Kabila ? Où bien, c'est parce qu'il sait qu'il ne sera jamais nommé Premier ministre, poste qu'il a convoité à l'issue des Concertations nationales du Palais du peuple ? Fourbe, roublard, grand requin, Modeste Mutinga Mutuishayi, l'homme qui a privé les Congolais d'un débat démocratique entre alias Joseph Kabila-Jean-Pierre Bemba lors de l'élection Louis Michel 2006, est-il devenu un opposant ? N'est-ce pas alias Joseph Kabila qui a fait de Modeste Mutinga Mutuishayi ce qui l'a sorti de Ngaba où il était habitué à boire le "Mayi ya mobulu". N'est-ce pas alias Joseph Kabila qui avait fait de lui Président de la fameuse "Haute Autorité des Médias", puis sans transition l'a fait nommer "Rapporteur au Sénat" ? Nzanga Mobutu, inconstant et nullard est-il devenu un opposant au régime d'alias Joseph Kabila ?

Léonbitch Kengo wa Dondo, le célèbre édénté de la gare du Nord, surnommé le "Grand Lézard" est-il un opposant ?

Politicailleur chauve-souris, Léonbitch Kengo wa Dondo, le célèbre édenté de la Gare du Nord, est aussi surnommé le "Grand Lézard"

Aucun Congolais n'est à mesure de définir la personnalité de Léonbitch Kengo wa Dondo. On ne connait pas réellement sa couleur politique ni pour qui il roule. Dans la mémoire collective Léonbitch Kengo wa Dondo demeurera un politicailleur impopulaire qui n'a jamais été élu, ni gagné une petite élection mais qui occupera les hautes fonctions au Congo. Comment un homme aussi impopulaire de Léonbitch kengo wa Dongo, qui n'avait pas un parti politique ni une majorité au Sénat a-t-il pu être élu Président de la Chambre basse en République démocratique du Congo ? Paul Kagamé, l'Hitler africain avec ses lobbyistes tutsi rwandais avaient tout fait pour faire élire Léonbitch Kengo wa Dondo au détriment de Léonard Shé Okitundu qui pourtant avait la majorité. She Okitundu est au garage-poli, au Sénat, dont on connait comment la carte à été jouée pour l’écarter en faveur de Léonbitch Kengo. "Le triomphe-surprise de Léonbitch Kengo wa Dondo au Sénat en 2007 est aussi le début de lune de miel entre alias Joseph Kabila et Kengo kengo avec Augustin Katumba Mwanké "dieu le père", Antoine Ghonda Mangalibi. Pour mieux comprendre le rôle assigné à Léonbitch Kengo wa Dondo en faveur d'alias Joseph Kabila, il faut remonter aux tractations qui ont conduit à son retour en République démocratique du Congo. Pour la petite histoire, le retour de Léonbitch Kengo wa Dondo en République démocratique du Congo fut facilité par l’ancien et défunt conseiller spécial d'alias Joseph Kabila en matière de sécurité, feu Samba Kaputo. Ce dossier concernait également le retour de Seti Yale. Pour rassurer Léonbitch Kengo wa Dondo, une délégation conduite par feu Augustin Katumba Mwanke "dieu le père" et Antoine Ghonda Mangalibi, l’ambassadeur itinérant d'alias Joseph Kabila, qui furent le déplacement à Bruxelles pour négocier discrètement avec les deux intéressés. Une initiative qui avait également la bénédiction de Paul Kagamé et des autorités rwandaises qui soutenaient alias Joseph Kabila et espéraient jouer sur la fibre ethnique Tutsi des origines maternelles de Léonbitch Kengo wa Dondo pour s’en servir comme un berger et parrain politique d'alias Joseph Kabila en République démocratique du Congo en attirant à cette cause plusieurs mobutistes fauchés en quelques années d’exil. Dans les clauses de son retour, il était stipulé noir sur blanc que Samba Kaputo se servirait discrètement de la plate-forme présidentielle "l’ex-Alliance de la Majorité Présidentielle" et des mobutistes pour soutenir la candidature de Léonbitch Kengo à la présidence du Sénat. C’est ce qui fut fait au moment venu au détriment de l’infortuné She Okitundu et plusieurs cadres désabusés du PPRD. qui, dans un triomphalisme exubérant, jubilaient avant d’avoir abattu la peau du léopard Kengo. Une leçon du real politik made in Kigali !" Léonbitch Keng wa Dondo est un allié d'alias Joseph Kabila.

Pour comprendre davantage pourquoi Léonbitch Kengo wa Dondo demeure un allié stratégique d'alias Joseph Kabila, malgré les apparences fallacieuses:

1. Léonbitch Kengo wa Dondo a parrainé la modification constitutionnelle qui a permis à alias Joseph Kabila Kabila d’être réélu en faveur d’un scrutin à tour unique. Après avoir tripatouillé la Constitution pour ramener l'élection présidentielle à un tour, Léonbitch Kengo wa Dondo, président du Sénat, a été candidat à l'élection présidentielle de novembre 2011. Léonbitch Kengo a été candidat-taupe du régime des joséphistes pour diviser l’opposition et réduire l’impact d'Etienne Tshisekedi à l’ouest de la République. Face au découpage des circonscriptions électorales opéré par le ministre de l’Intérieur et décentralisation Adolphe Lumanu et le pasteur Ngoyi Mulunda dans un stratagème visant favoriser la réélection de Joseph Kabila tout en lui facilitant une majorité parlementaire confortable au parlement. Election frauduleuse que l'incapacitaire de Kingakati a été proclamé vainqueur. L'impopulaire politicailleur n'aurait obtenu que 4%. Léonbitch Kengo wa Dondo a été le premier à féliciter alias Joseph kabila pour sa fameuse réélection. Après avoir été battu électoralement, Léonbitch Kengo wa Dondo, le "Grand Lézard" a retrouvé son fauteuil de perchoir comme président du Sénat comme si de rien n'était. Fort heureusement tous les congolais ne sont pas dupes. Sur Réveil FM International, Paul Kahumbu du Front Civil de Résistance Populaire avait vivement réagi lors de la rencontre Léonbitch Kengo et Etienne Tshisekedi à Bruxelles, avant l'élection présidentielle de novembre 2011.

2. Lorsqu'on sait la manière dont la Majorité Présidentielle (MP)-Parti-Etat a pesé de tout son poids pour gagner toutes les batailles électorales, notamment les provinciales dans les fiefs où mathématiquement et rationnellement elle était perdante : Kinshasa (2007) et Equateur (2007 et 2013) des provinces acquises au MLC. Si pour les provinciales, le régime d'alias Joseph Kabila est prêt à tout, ce n’est pas au poste ultra stratégique de la présidence du Sénat, deuxième personnalité constitutionnelle de l’Etat devant suppléer au chef de l’Etat en cas de la vacance présidentielle, que le régime tortionnaire avec ses soutiens rwandais va laisser à un véritable opposant ou un digne patriote congolais occuper ce poste. La dynamique de maillage des institutions de la République démocratique du Congo par des agents à la solde du régime monoethnique rwandais n'est pas une vue d'esprit.

3. Le tandem alias Joseph Kabila-Léonbitch Kengo voulue par la nébuleuse communauté internationale. La stratégie de débauchage du triple ancien Premier ministre de Mobutu, Léonbitch Kengo wa Dondo par des Mammouths joséphistes, allait dans le sens du soutien de la communauté internationale, notamment la Belgique, au tandem Kabila-Kengo est que le triple ancien Premier ministre de Mobutu, qui a été inculpé à Bruxelles pour blanchiment d’argent en juin 2003, n’a plus été poursuivi par la justice belge. Pourtant, «La Libre Belgique» du 25 juin 2003 a rapporté que « Le juge d’instruction Michel Claise a décidé d’inculper M. Kengo Wa Dondo pour blanchiment d’argent », pour une affaire qui était en relation avec des « faits de corruption ».

Léonbitch Kengo wa Dondo n'a qu'à aller se rhabiller, la République n'a jamais eu besoin de lui.

2. Nzanga Mobutu, un nullard qui serait mieux de compter l'argent dans une banque que de se retrouver dans l'arène politique.

Nzanga Mobutu, un nullard autoproclamé opposant

A l'ombre d'un grand chène, rien ne pousse, dit-on. D'après certaines indiscrétions à Kinshasa, en Conseil des ministres, Nzanga Mobutu passait son temps à envoyer des SMS ! Dépensier, amateur de grands vins et de bonne chère il cherchait à vivre comme son père ! De son père Mobutu, dictateur et autocrate, François Nzanga n'a ni la face, enore moins l'étoffe. Son pater était d'un autre acabit: Un meneur d'hommes. A l'ombre d'un grand chène, rien ne pousse, dit-on. Qu'est-ce-qu'on pouvait attendre de François Nzanga Mobutu? Rien. Du reste, après ses études, lorsqu'il est entré dans la vie professionnelle, le monde bancaire, ce sont toujours les autres qui élaboraient et réfléchissaient pour lui. Il n'avait qu'à apposer la signature. Avec Nzanga, "Pauvre maréchal Mobutu, il n'a pas enfanté de léopard". "Tel père n'est pas nécessairement tel fils". Sa présence dans ce gouvernement n’aura pas laissé des traces indélébiles dans l’histoire politique du pays si ce n’est celle d’avoir été une potiche pour flatter l’ego d’une frange très minoritaire de la population. Il a déjà trahi la mémoire de son défunt père en travaillant avec le pouvoir de l’imposture. Le traître a beau servir son nouveau maître, il n’entrera jamais dans la confidence de ce dernier. Sa naïveté le fait maintenant mordre le doigt après avoir subi l’avanie de la révocation que son ancien maître venait de lui infliger le jour même de son retour à Kinshasa.

Son deal avec alias Joseph kabila a bien fonctionné. D'abord Nzanga Mobutu perçoit chaque mois 7000 dollars d'indemnités de son père. Les biens immobiliers de la République spolié par le vieux Maréchal Mobutu devait normalement revenir au pays pas aux héritiers Mobutu. Ce dernier était arrivé au pouvoir par un coup d'Etat en 1965, il n'avait pas un clou dans ses proches. Revenons à l'épisode du Villa de Mobutu à Savigny. La Confédération Suisse a épuisé la dernière possibilité encore ouverte de maintenir les avoirs bloqués. En l’état, le blocage des avoirs de Mobutu s’achèvera le 30 avril 2009, mettant fin à un feuilleton de 12 ans. Les avoirs en Suisse, 6,6 millions d’euros, de l’ex-chef d’Etat zaïrois Mobutu Sese Seko - bloqués depuis 1997 - reviendront finalement aux héritiers. On se rappelle qu’il y a quelques mois, une ONG dénommée "Coalition Fonds Mobutu gelés en Suisse (CFMS)" organisait un sit-in à Kinshasa, devant le ca-binet du vice-Premier minis-tre congolais François -Joseph Nzanga Mobutu, fils de l’ex-président Mobutu. La manifestation visait à exiger du gouvernement de la RDC la nomination d’un plénipoten-tiaire en vue de récupérer les fonds détournés par l’ex-dictateur avant le 15 décembre 2008. "L’objec-tif de cette manifestation était de sensibiliser les autorités congolaises pour le rapatriement des fonds de l’ancien Président Mobutu gelés en Suisse, à travers la nomination d’un plénipotenti-aire, comme cela avait été exigé par l’ancienne prési-dente de la Confédération Helvétique, Mme Micheline Calmy Ray" expliquait alors l’un des membre de l’association.


Paul Kahumbu s'exprime devant le palais de... par reveil-fm


Paul kahumbu parle de Savigny par reveil-fm


Paul Kahumbu s'exprime devant le palais de... par reveil-fm

Notons que le blocage des avoirs de Mobutu placés en Suisse par ses proches remonte à 1997, année durant laquelle la République démocratique du Congo (RDC) avait présenté une demande d’entraide judiciaire à plusieurs Etats, dont la Suisse. Faute d’éléments probants apportés par la RDC, l’Office fédéral de la justice a dû clore la procédure en décembre 2003. Le Conseil fédéral a alors ordonné le 15 décembre 2003 le blocage des avoirs. Ce blocage a été renouvelé plusieurs fois pour permettre de trouver une solution avec les différents acteurs impliqués. Le produit de la vente de la villa que Mobutu possédait à Savigny (canton de Vaud) fait partie des avoirs qui seront remis à la famille. En octobre 2001, cette villa avait été vendue aux enchères pour 3,1 millions de francs suisses (2,6 millions d’euros). Le Président Mobutu est décédé en septembre 1997 en exil au Maroc. Si aujourd’hui notre pays est dirigé par alias Joseph Kabila, il est une grande partie de Congolais eux-mêmes. Des personnages comme Nzanga Mobutu, Léonbitch Kengo wa Dondo, Edouard Mokolo wa Pombo, Antoine Gizenga, Lambert Mende Omalanga, le Vuvuzélateur ...ont courbé l'échine devant alias Joseph Kabila. Nzanga Mobutu à cause de l'argent avait préféré alias Joseph Kabila au président du MLC. Aujourd’hui, le dos au mur, il se voit déjà candidat à la succession de son maître. Après avoir vendu le pays aux mains des étrangers, le fils de Bobi essaie de se démarquer des autres traîtres pour prouver sa bonne volonté de faire sortir le Congo du gouffre. Non, c’est trop facile, le peuple congolais a beaucoup souffert de l’égoïsme et de la trahison de ses fils et filles qui ont accepté de travailler et de propager les fausses mérites d'alias Joseph Kabila en acceptant les miettes que cet assassin rwandais jette par terre. Le Congo est humilié à cause de ces opportunistes. Il est temps que le peuple trouve une lueur d’espoir en soutenant un candidat crédible, honnête et intelligent au sommet de notre beau et grand pays. Le temps de tous ces charognards est révolu. Nous disons NON à tous les traîtres. Le peuple ne vous fait pas confiance. Allez vous faire voir ailleurs et non pas au Congo !

Lorsque la nouvelle fut connue, peu de temps avant le second tour de l'élection présidentielle de 2006 en RDC, elle fut reçue comme une mauvaise plaisanterie par les uns et comme un véritable cataclysme par les autres. François-Joseph Nzanga Mobutu, fils du maréchal Mobutu Sese Seko, signant un accord politique avec Joseph Kabila, fils du tombeur de son père ! Le candidat de l'Union des démocrates mobutistes (Udemo), dont c'étaient les premiers pas en politique, était arrivé en quatrième position au premier tour. Ne voulant soutenir son beau-frère et néanmoins ennemi intime Jean-Pierre Bemba, il ne lui restait plus que l'union avec le président sortant.

Le grand public l'avait découvert en 1997, aux côtés de son père malade. Il avait 27 ans et faisait office de conseiller en communication du maréchal. Quand ce dernier est renversé, en mai 1997, il l'accompagne dans son exil au Maroc. Il revient au pays une première fois, en 2001, pour rencontrer Joseph Kabila et parler des conditions de rapatriement du corps de son père - un dossier toujours en souffrance. Puis en 2004, pour récupérer quelques biens familiaux détenus par certains dignitaires du nouveau régime... et sonder le terrain pour une carrière politique. On connaît la suite. Après la présidentielle de 2006, le ministre d'État à l'Agriculture dans le premier gouvernement devient un an plus tard vice-Premier ministre avant de prendre le portefeuille de l'Emploi, du Travail et de la Prévoyance sociale. En mars 2011, coup de théâtre : Kabila le révoque pour... absentéisme !

Caïd, fourbe, roublard, grand requin, Modeste Mutinga Mutuishayi est un prédateur et mangeur à tous les râteliers

Opportuniste jusque dans sa calvitie, corrompu jusqu'à la moelle épinière, Modeste Mutinga Mutuishayi est l'oeuvre d'alias Joseph Kabila. Pauvre type, dribbleur patenté, c'est l'incapacitaire de kingakati qui a fait de lui ce qu'il est aujourd'hui. Nommé par alias Joseph Kabila à la présidence de la fameuse Haute Autorité des Médias (HAM), Modeste Mutinga Mutuishayi s'est révélé être un loup contre les chiens de garde: les journalistes. Autocrate, prédateur de la liberté de la presse, Modeste Mutinga Mutuishayi a excellé par le musellement des journalistes, des médias et des opposants politiques. Pire le chauve de Ngaba, habitué aux "Mayi ya Mabulu" a eu l'outrecuidance d'annuler le débat démocratique inscrit dans la Constitution de la transition qui devait opposer alias Joseph Kabila à Jean-Pierre Bemba, lors de l'élection Louis Michel 2006. Il n'a jamais été élu au Kasaï Occidental. Pour le récompenser c'est alias Joseph Kabila qui l'a fait nommer "Rapporteur au Sénat". Inconscient de la République, il joue à l'équilibriste. Modeste Mutinga Mutuishayi attaque alias Joseph Kabila dans son journal qui tire à 2000 exemplaires, pendant qu'il est à la mangeoire. Modeste Mutinga Mutuishayi est l'un des apparatchiks du régime totalitaire qui sévit en République démocratique du Congo. Mammouth joséphiste, il est l'homme d'alias Joseph Kabila. Pourquoi veut-il tromper sa propre conscience et les congolais qu'il est opposant ? L'histoire retiendra que pour sortir de sa misère, Modeste Mutinga Mutuishayi s'est fait corrompre par alias Joseph Kabila pour soutenir un régime tortionnaire et priver les congolais de la démocratie. Modeste Mutinga Muituishayi est aussi dangereux que les Léonbitch Kengo, Antoine Gizenga...qui pour un petit confort personnel ont privé les Congolais de la démocratie en les abrutissant.

Les imposteurs, opportunistes, mangecrates ont pris en otage la République démocratique du Congo. Croire aux balivernes des fourbes, roublards, caïds...C'est devenir somnambule ! Rêver debout, c'est ce que nous refusons à Réveil FM international avec des politicailleurs chauves-souris, des "Ngembo" !

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