Le monde entier a perdu la raison, comme emporté par une nouvelle peur millénariste aussi absurde qu'incontrôlable. Après un temps d'angoisse initial compréhensible et générateur d'erreurs légitimes, un zeste de sang-froid et de réflexion aurait dû nous déciller : la maladie ne tuant grosso modo qu'au delà de 65 ans, on aurait pu envisager de vacciner malgré les aléas liés à ces OGM expérimentaux cette seule tranche d'âge et les porteurs de comorbidités en laissant tous les autres se contaminer et s'immuniser naturellement, et surtout traiter, traiter, traiter dès le début des symptômes. Au lieu de quoi : enfermement de malades laissés à l'abandon, médecins interdits de traiter hors hôpital, mise sur le marché de « vaccins » OGM après des études scandaleusement bâclées, autorisation immédiate et inconditionnelle de médicaments dangereux, inefficaces et très chers, interdiction de traitements sûrs, éprouvés et bon marché après avoir avalisé comme probant l'article crapuleux du Lancet (plus complotiste que lui – et que le ministre VERAN donc – tu meurs). Organisation enfin par le pouvoir d'une peur irraisonnée d'un danger artificiellement surdimensionné pour prétendre in fine nous en avoir sauvé. En gonflant le nombre des décès imputables au SEUL virus, en permettant des tests incluant de très nombreux faux positifs, et en faisant passer ces derniers, autre message éhontément mensonger, pour des malades alors qu'il ne s'agit que de porteurs sains (40000 "contaminés", ça impressionne forcément 200 fois plus que 200 entrées en réanimation, soit 2 par département)
Mais surtout cette invraisemblable défaite et soumission face aux lobbies pharmaceutiques et leurs relais médicaux. Et cette croyance quasi moyenâgeuse au tout vaccin miraculeux prétendant écraser, quelle suffisance, un virus (bien plus malin que lui) dont il était incapable de limiter la circulation, ce que l'on a su très tôt mais que l'on a préféré ignorer et surtout masquer sous le mensonge éhonté du « vaccinez-vous par solidarité» tout en diffusant sans vergogne des prévisions apocalyptiques et truquées – il faudra bien que les responsables s'en expliquent un jour -. Ainsi de la publication bidonnée de l'Institut Pasteur du 20 juin 2021 qui a servi de prétexte à la loi inique du 5 août nous condamnant à un an de pass sanitaire et d'obligations vaccinales aussi totalitaires que médicalement absurdes.. Cette publication (« les non vaccinés sont 12 fois plus contaminants que les vaccinés ») a été retirée et le « 12 fois » mensonger remplacé par un « 4 fois » qui l'est tout autant, mais la loi, elle, n'a pas été retirée. Les auteurs de l'article, jamais publié et pour cause, aucune revue ne l'aurait accepté, siègent en nombre au conseil scientifique et l'ont ainsi définitivement déconsidéré, en même temps qu'eux-mêmes.
Passons sur les absurdités et incohérences des ouvertures, fermetures, réouvertures et refermetures, ici mais pas là, là mais pas ici, tout le temps mais juste un moment, pour les uns mais pas pour les autres et réciproquement, à l'église pour les touristes mais pas pour les croyants (forcément protégés !), attention au reconfinement si vous n'êtes pas sages, alors que l'on sait pertinemment qu'il n'en est nul besoin. Ce pouvoir nous prend pour des crétins, il est temps d'y mettre le holà. Et surtout de mettre fin à la violence tous azimuts, en particulier celle qui est employée vis à vis des enfants et adolescents : Non il ne faut pas vacciner nos ados la peur au ventre pour leur permettre de vivre normalement, alors qu'ils sont sans le moindre danger face au virus et que se multiplient les remontées d'accidents graves, voire de décès potentiellement imputables aux « vaccins ». Et surtout il faut fiche une paix définitive aux enfants, les laisser tous, absolument tous à l'école et au collège, et cesser de leur imposer un masque au quotidien et l'épreuve d'une cruauté invraisemblable de deux tests par semaine et surtout un vaccin dont ils n'ont ici absolument aucun besoin (tandis que les parlementaires qui l'ont décidé se sont, eux, exonérés du pass). Parents, enseignants, soignants, vous êtes sous hypnose ou quoi ?, réveillez-vous !
Mais si nos gouvernants ont fait preuve d'une violence particulière (comment ose-t-ils dire qu'ils luttent contre la pandémie en licenciant sans indemnité des soignants ou en humiliant et en réduisant au stade de parias et en criminalisant ceux qui refusent d'obéir aveuglément à leurs injonctions?), la folie semble avoir gagné la planète, du moins la planète riche, celle sur laquelle les puissances d'argent et big pharma savent avoir tout pouvoir : si ce n'était aussi pathétique, on rirait de voir interdits de stade ou de compétitions des millions de sportifs, voire de champions en pleine force de leur jeunesse être contraints de se vacciner sans la moindre justification médicale, y compris (première mondiale dans l'histoire de la médecine) après avoir été contaminés, ce qui est le meilleur moyen de leur provoquer un covid grave (demandez son avis à jérémy Chardy).
Mais surtout, on s'étrangle de les voir se soumettre et se laisser conduire à l'abattoir sans barguigner, tandis que leurs médecins traitants (où sont-ils, où est passée leur éthique?) se résignent dans un terrible « courage fuyons et ne faisons surtout aucune vague ». Victoire d'une propagande digne de la Pravda ou de Enver Hodja, mais surtout défaite en rase campagne d'une profession qui a selon moi honteusement abandonné ses patients aux seuls traitements hospitaliers des formes graves en oubliant leur rôle essentiel de premier barrage à la maladie.
Quant à ce brave Omicron, il tuera peut-être comme le covid a tué des déjà très malades pour la plupart morts AVEC lui mais non pas DE lui. Peut-être même de sa seule virulence une part infinitésimale de ceux qu'il croisera. Mais il est proprement effarant de lire et d'entendre de partout, médias, sommités médicales, interviewers et interviewés, futurs malades bien portants, à longueur de journée : « mais au moins, sera-t-il sensible au vaccin ? » alors que l'on aurait dû entendre et lire : « mais au fait, est-il réellement dangereux et y a-t-il moyen de le soigner ? » (ça viendra peu-être, mais pour l'instant zéro mort, il a l'air plutôt sympa. En fait, s'il doit remplacer un Delta déjà moins mortel, il aura bien fait son boulot de virus : épargner le plus de vies possibles pour avoir le maximum de terreau humain pour survivre et se repliquer)
Mais non, vive ce vaccin parfaitement sûr et efficace (sauf l'Astra-Zeneca, le Jansen et bientôt le Moderna tout de même, plus si sûrs que ça mais chut), ce vaccin si parfait donc qu'il ne nous a protégé ni de la 3ème ni de la 4ème ni de la 5ème poussée, toutes plus fulgurants (faux, évidemment) les unes que les autres (s'ils ne les a pas aggravées, ce qui est possible) . D'où mon souhait d'un fou-rire libérateur, aussi contagieux que parait-être cet Omicron (les multiplicatifs vont bientôt manquer aux cassandres) et qui pourrait être notre meilleur médicament à la fois contre lui, contre la bêtise ambiante et contre un pouvoir qui nous ment avec un seul espoir, nous faire croire, quand cette pandémie aura spontanément pris son régime discret de croisière, que c'est lui qui nous en aura délivré.
Mais nous saurons ce qu'il en est réellement, et nous n'oublierons pas,
Frédéric PIC
médecin retraité
Pau