Énumérer une énième fois toutes les erreurs, tous les mensonges commis par nos gouvernants lors de cet épisode covid serait fastidieux, d'autant que l'on en découvre chaque jour. Je préfère essayer de comprendre pourquoi comme d'autres ailleurs il s'enferre dans un processus sans issue qui finira par lui retomber dessus. J'ai néanmoins résumé ces erreurs en annexe en fin de billet (*)
On peut se tromper. Avant de m'instruire, j'ai moi-même accepté en mars 2020 l'absurde confinement comme une mesure utile. Mais force aujourd'hui est de constater l'échec total de la stratégie gouvernementale : comment défendre un « tout-vaccin » qui conduit une proportion importante de vaccinés à l'hôpital (la moitié environ des décès covid), qui n'a pas protégé des 3ème, 4ème et 5ème vagues, qui y a possiblement contribué, et a piteusement abandonné en rase campagne 3 des 4 vaccins « parfaits » (Astra-Zeneca, Jansen, Moderna) . Enfin, comment accepter qu'à ce jour encore tout traitement de médecine ambulatoire ne soit ni conseillé ni promu, mais au contraire interdit alors que cette interdiction a coûté des milliers de vies, que des traitements efficaces existent, tandis que les vaccins OGM auraient dû n'être proposés, après information, qu'aux plus âgés et plus fragiles d'entre nous ?
Alors, oui, pourquoi ? Comment est on entrés dans cette séquence folle, en une fuite en avant aveugle et chaque jours plus liberticide pour ne pas dire totalitaire ? Et surtout, pourquoi ne peut-on en sortir ? Et pourquoi la planète entière ? (enfin, bon, disons surtout les pays riches, auxquels ce virus - très probablement sorti par accident d'un labo où le trafiquaient des docteurs Folamour - a eu le toupet de s'attaquer) Bonne question. Voyons voir, quels sont les motifs habituels de semblables folies ? Le fric, l'ambition, le pouvoir, la peur, le cul, nous sommes d'accord. Bon, excluons le cul, des enfants pourraient lire ce billet.
Le fric ? Évidemment. La séquence des 18 derniers mois transpire le fric, des conflits d'intérêt de certains soignants à la corruption institutionnalisée dans les grands laboratoires pharmaceutiques. Ceux-ci ont joué leur carte à fond,faisant payer aux environs de 20 euros – après avoir bénéficié de larges subventions du public - une dose de produit leur revenant à 3 euros et se payant même le luxe (ils doivent en rire encore) de nous imposer des augmentations de prix alors que leurs ventes et leurs marchés augmentaient. Et ils arrivent à sortir très sérieusement des études (les publicistes n'en croient pas leurs yeux) assurant que leurs produits protègent à 100% les enfants et adolescents contre les formes graves d'une maladie ...qu'ils ne feront jamais si on leur fiche la paix ! Félicitations.
L'ambition, la griserie du pouvoir ? Avec la peur de perdre son poste, et surtout de ne se singulariser en rien. Évidemment. Le plaisir pour certains d'accélérer leur carrière en soutenant la doxa, la peur pour d'autres de la freiner en ne la soutenant pas. Et quel plaisir de passer à la télé, d'où par bonheur tous les contradicteurs ont été éliminés (entendez-vous une seule voix discordante, une seule, sur les médias quels qu'ils soient ?) Et puis le mimétisme, la peur de mal faire face à des arguments d'autorité énoncés de façon péremptoire et définitive par de curieux scientifiques ayant évacuée toute notion de doute et de controverse...Et plus ils se trompent, plus ils s'enferrent, comme un menteur qui ne peut se dépêtrer de ses élucubrations, plus ils doivent en rajouter.
Mais pourquoi diable tous les dirigeants de tous les pays riches, tous en même temps ? Le poids des financeurs de l'OMS, fanatiques bien connus des vaccins, a pu incontestablement jouer. Les pays riches, tétanisés par une peur quasi millénariste ont embrayé, l'implication de chacun consolidant l'implication de tous. Les pays pauvres n'ont rien eu à dire, et tant mieux pour eux, les moins vaccinés sont ceux qui s'en sortent le mieux (plus jeunes, multi-immunisés, plus solides de par leur pauvreté) Quant à la Chine, elle n'a fait que suivre sa propension à l'autoritarisme centralisé. Et puis, elle avait sans doute à se faire pardonner la très vraisemblable fuite accidentelle d'un virus quelque peu honteux...
Mais que dire de ceux qui tolèrent, qui acceptent ? Comment des médecins acceptent-ils que l'on contraigne à la vaccination un contaminé spontané, alors que l'on sait d'une part que son immunité est bien meilleure (pas de rechute contrairement aux vaccinés) et surtout que c'est dangereux. Comment acceptent-ils de vacciner des enfants non concernés par la maladie, avec un vaccin non altruiste qui ne protège donc personne ? Où est passée leur éthique ? Il y a là une démission qui à l'évidence favorise les menées du tout petit nombre qui prétend décider pour tous. Et comment des mères de famille peuvent-elles vacciner leurs enfants la peur au ventre ? Qu'en est-il des enseignants, des éducateurs qui acceptent sans barguigner des protocoles kafkaïens ? Comment expliquer cette passivité, pour ne pas dire cette servitude volontairement subie ? Élémentaire : La peur, voilà l'arme terrible des pouvoirs qui se savent dans l'erreur, la peur . Et il est vrai que la propagande gouvernementale est telle, permanente, répétitive, quasi hypnotique, accompagnée d'une telle violence répressive, d'un tel sadisme, que plus l'on attend, plus on tarde à se réveiller et plus se conforte l'hubris destructrice de nos gouvernants : « obéissez aveuglément, ou je vous réduirai à rien »
Mais il ya peut-être une autre cause, plus profonde, plus inconsciente, qui expliquerait que tous les dirigeants se soient fourvoyés en même temps et s’agrippent à leurs errements : Une menace existentielle pèse sur l'humanité, ils la connaissent, c'est le réchauffement climatique. Or ils ont démissionné collectivement face à ce défi, ils ont refusé de le voir, ils l'ont rejeté car trop douloureux à expliciter. D'autant que leurs politiques n'ont fait qu'aggraver le problème. Comme ils ont refusé de voir les dangers que représente la montée monstrueuse des inégalité. Trop gros pour les petites ambitions des petits hommes (femmes) qu'ils sont. Trop de renoncements, trop de modifications drastiques à proposer, Ils n'ont pas été et ne sont pas à la hauteur de leurs responsabilités. Ils savent qu'ils nous font courir, par manque de courage, à notre perte collective. Ils savent qu'ils sont nuls (nulles, ne nous mettons pas à dos les féministes), et qu'ils seront jugés. Alors ils se retournent vers un problème à leur portée, pour faire diversion et surtout qui pourra leur permettre de mettre à jour leurs seules capacités, celle de contraindre, de montrer leurs muscles, de faire preuve d'autoritarisme en lieu et place d'autorité, de mouvement de mentons et de serrements de vis en lieu et place d'empathie, afin de redorer leur blason : le covid leur est une aubaine propre à ravaler leur honte, ils vont l'exploiter jusqu'à la corde. « Comment, un virus ? Mais ne craignez rien, nous sommes là ». Et pleuvent les milliards (740 pour les entreprises ici contre 19 pour l'hôpital, tandis que rentes et dividendes explosent, et que s'abonnent les pauvres à la soupe populaire) et les lois liberticides. Enfin ils peuvent agir, enfin ils agissent, « voyez, nous nous mobilisons, nous sommes sur tous les fronts, nous décidons, nous organisons, nous sommes indispensables : nous sommes en guerre mais vos chefs sont là et bien là ». On ne pourra rien leur reprocher. Pathétique. Après quoi ils auront probablement le culot de nous dire, lorsque la pandémie aura reflué d'elle même, malgré eux « Oui, c'est vrai, nous avons été rudes, mais il le fallait, pour votre bien, et grâce à nous nous nous en sommes sortis »
Et le réchauffement climatique attendra. Et les inégalités prospèreront. Mais nous n'oublierons pas. Ils ne pourront faire diversion ni nous illusionner longtemps. Et nos enfants, j'espère, nous aideront à nous débarrasser de cette horde de nuisibles. Alors, on s'y colle ?
Dr Frédéric PIC
Pau
* ce qui vraiment ne colle pas :
Les conflits d'intérêt, l'enfermement mortifère des malades avec interdiction de tout traitement hors hôpital, la validation par le ministre VERAN du plus énorme bobard complotiste de la séquence, je veux parler de l'article éhontément mensonger et crapuleux du Lancet discréditant le protocole Raoult, la validation de pseudo-vaccins OGM après des études bâclées et leur promotion-propagande comme seule et unique solution. Les contraintes infantilisantes, contradictoires et sans support rationnel, la vaccination de masse sans le moindre suivi en jetant aux orties l'indispensable consentement éclairé, la dénégation absurde de leurs graves et nombreux effets indésirables (par l'intermédiaire en particulier de la toxicité directe de la protéine Spike, mais pas que...). Enfin les mensonges d'état : « vaccinez-vous pour protéger les autres, les vaccinés sont moins contagieux, ces vaccins sont parfaits, cette vaccination est une phase III en grandeur réelle (comment oser proférer une telle aberration?) l'immunité collective ne peut passer que par eux, il n'y aura jamais de pass, la vaccination ne sera jamais obligatoire », etc.., appuyés sur les études et prévisions volontairement trompeuses rédigées par certains membres du Conseil Scientifique à leur propre demande et validées – on n'est jamais si bien servi que – par eux-mêmes sous couverture de l'insoupçonnable Institut Pasteur. En cultivant la peur par d'incessantes prédictions apocalyptiques, en truquant les informations, en faisant par exemple passer des cas positifs ( dont de très nombreux faux positifs) pour des malades...Et en faisant passer des lois liberticides en s'appuyant sur des études si peu crédibles qu'elles sont retirées quelques jours plus tard... tandis que la loi, elle, est maintenue.
Mais surtout, l'impensable et le plus terrible, stigmatiser les enfants et adolescents en les culpabilisant comme principaux vecteurs de mort, puis en les brutalisant avec une violence inouïe, les contraignant à des tests répétés, l'éloignement scolaire, à une vaccination enfin totalement inutile et malheureusement dangereuse, leurs parents obtempérant la peur au ventre pour ne pas priver leur progéniture d'une vie normale ; Consentement arraché sous le chantage aux activités, limité à un seul parent (avec déchéance donc de l'autre) puis scandaleusement par le seul ado lui-même. Ne parlons pas de la vaccination des femmes enceintes, le summum du summum de l'expérimentation humaine, ni de la stigmatisation comme boucs émissaires des non vaccinés et /ou des contradicteurs insultés, humiliés, virés sans ressources, leur parole criminalisée, probablement bientôt sanctionnés financièrement et pourquoi pas parqués, nous y viendrons sûrement, le pass actuel étant déjà l'équivalent d'une astreinte à résidence sous bracelet électronique. Enfin, le must face à une maladie, l'interdiction absolue de traiter faite aux médecins de ville qui ont malheureusement obtempéré à cette invraisemblable injonction.
On le voit, la liste est longue