Les rumeurs vont bon train : ce seraient bien les non vaccinés qui auraient fait sortir le sars-cov2 du laboratoire de Wuhan, après l'avoir trafiqué pour être les seuls à ne pas en souffrir. Ils auraient, que dis-je ils auraient, ils ont organisé la dissémination du virus dans suffisamment de containers et de bateaux de croisière pour inonder la planète entière. Infiltrés dans les services sanitaires, ils ont – c'est prouvé – détruit ce qui restait de masques non périmés et des tests diagnostics.
Soyons sérieux : les premiers responsables sont les docteurs Folamour qui trafiquent des virus "augmentés" dans divers labos, la fuite accidentelle étant l'hypothèse qui s'avère chaque jour la plus vraisemblable. La direction de la santé et les ministres concernés, je n'insiste pas. Le président de la république bien entendu, qui a choisi de tout régenter sous couvert d'un conseil de défense opaque et de prendre seul, absolument seul, des décisions soufflées par des conseillers plombés pour beaucoup de conflits d'intérêt. Le ministre VERAN surtout, qui a osé interdire tout traitement hors hôpital à l'énoncé de la fake news la plus énorme des deux dernières années, l'article criminel du Lancet de mai 2020 ; et surtout de ne pas avoir ordonné la reprise des expérimentations dès que la fake news a été démasquée.
Souvenons nous des premières journées de vaccination dans les ehpad, on se posait la question du consentement éclairé des vaccinés à venir : trop compliqué, ils ne comprendront pas, ça prendrait du temps. Une fois les médecins de ville écartés (avec leur passivité complice) alors qu'ils étaient les seuls à connaître les patients et à pouvoir les conseiller en connaissance de cause, on a eu ces vaccinodromes fonctionnant en toute illégalité par rapport au droit interne et international concernant l'indispensable consentement éclairé : deux questions posées, êtes vous enceinte, êtes-vous allergique, et une seule explication, les vaccins sont formidables, les concepteurs ont été géniaux en un temps réduit, il n'y a aucun effet secondaire. Le tout soupoudré de trois mensonges, l'immunité collective sera atteinte et nous libèrera du virus, seule la vaccination peut nous y conduire, et la vaccination protège les autres.
La réalité est toute autre : Les vaccins parfaits Astra-Zeneca, Janssen, Spoutnik et Moderna ne sont plus parfaits. Il y a eu des morts (la plupart en parfaite santé avant vaccin), mais chut, le rapport bénéfice-risque reste très favorable (surtout pour les décès dus aux vaccins, cela va de soi). La vaccination n'est pas stérilisante et ne protège donc pas les autres, ce qui disqualifie le pass dit sanitaire, et la vaccination des enfants et ados (qui n'en avaient nul besoin, qui ne protègent personne une fois vaccinés , et que l'on aurait dû laisser libres de se contaminer, condition d'une bien meilleur immunité personnelle et collective)
Enfin, il semble bien que la situation actuelle ne fasse que confirmer l'échec de la politique du tout vaccin : on ne peut pas annoncer sans arrêt de nouvelles vagues cataclysmiques et vanter la réussite du vaccin ! Tandis que les prévisions sont éhontément surévaluées pour pousser à la vaccination, que les évaluations au quotidien sont insincères, alignant des chiffres de tests positifs sans intérêt et complètement déconnectés de la gravité réelle et bien moindre des formes graves ou mortelles, et en trichant scandaleusement sur des comparaisons vaccinés-non vaccinés biaisées par le fait que l'on ne teste, en gros, que les non vaccinés.
Plus grave, les doubles vaccinés arrivent en nombre aux urgences. Les statistiques sont encore ici faussement rassurantes et mensongères : comme les vaccinés qui viennent mourir à l'hôpital ne sont pas testés (le diagnostic pouvant se faire sur le seul scanner thoracique et la clinique), ils ne sont pas décomptés « covid ». Alors que là où des mesures sincères sont effectuées, (Angers, Ecosse, Pays-Bas...) la moitié au moins des décès survient aujourd'hui chez des vaccinés deux doses. Certes nous dit-on, mais ceux-là étaient vieux et bourrés de comorbidités. Ah bon ? Je croyais que c'étaient justement ceux-là même qui étaient les cibles privilégiés que le vaccin était censé protéger...
Devant ce fiasco, le pouvoir nous sert la baisse de l'immunité (sur le seul dosage des anticorps, ce qui est possible, mais oubliant la possibilité d'une immunité cellulaire active et mémoire) avec comme seul remède, une troisième dose ...de vaccin fabriqué à partir de la souche Wuhan, vieille de deux ans et qui ne circule plus : oserait-on vacciner contre la grippe avec le vaccin d'il y a deux ans ?
Mais il ya pire : on s'est aperçu que la protéine Spike, qui permet l'entrée du virus dans les cellules et sa replication en se fixant aux récepteurs ACE2 est toxique par elle même même isolée (sans le restant du virus), pouvant entrainer à la fois des orages d'hyperinflammation et surtout des troubles de la coagulation partout où il y a des récepteurs ACE2, c'est à dire à peu près partout dans l'organisme. Or c'est cette protéine Spike que l'on fait fabriquer par nos cellules à partir de l'ARN qui en détient le secret de fabrication, et que l'on injecte par la vaccination. Autrement dit on nous fait fabriquer un poison potentiellement mortel, en espérant que l'ayant repéré comme étranger, on le détruise. Il est fort possible que ce soit le cas pour certains, qui seront donc protégés contre l'intrusion du covid et de sa protéine Spike. Mais il est tout à fait possible que d'autres, à l'immunité un peu lente, laissent la protéine fabriquée par nous mêmes voyager allègrement et disséminer ses effets délétères, jusqu'à des complications graves ou la mort. On parle de rémanence de la protéine possible durant 15 jours voire plus. Avec la possibilité évoquée par certains de la retransmettre par voie aérienne aux proches du vacciné !...
Ce qui pourrait expliquer d'une part la proportion importante d'effets secondaires voire de décès liés à la vaccination (nier les effets secondaires sous prétexte qu'il peut s'agir d'une simple coïncidence est insincère, d'autant qu'ils surviennent surtout chez les 18-64 ans, cf études de pharmaco-vigilance pays bas par exemple) voire la survenue de symptômes chez un nombre non négligeable de proches de vaccinés !
En conclusion, vaccination qui a une efficacité moindre qu'annoncé, effets secondaires sous-estimés, décès directement liés au vaccin, dangerosité possible des vaccinés, vaccination abusive des moins de 40 ans, voire criminelle pour les enfants et ados, la barque du pouvoir est lourdement chargée. Et il est misérable d'en rendre responsable les non vaccinés. Cette recherche d'un bouc émissaire ne saurait être acceptée. En espérant qu'elle ne débouche pas sur des manifestations d'une légitime colère.
Frédéric PIC
Pau