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Des témoins dignes de foi et certains indicateurs, moins honorables mais néanmoins crédibles selon des proches de l'enquête qui ont souhaité ne pas se faire connaître, ces témoins donc pensent avoir identifié le commanditaire : des employés du musée se souviennent d'un jeune homme venant régulièrement touner autour de la vitrine abritant la couronne de Napoléon en psalmodiant des « je la veux », « je l'aurai » et autres « il me la faut » tandis qu'une dame venait régulièrement l'arracher à sa fascination en lui disant d'être raisonnable et que plus tard, peut-être, quand il serait grand...
Un des plus anciens gardiens du musée affirme même avoir noté une ressemblance avec un enfant faisant sur une plage du nord de la France – ce souvenir l'avait marqué - des châteaux de sable en forme de couronne.
Quoiqu'il en soit, l'enquête avance, un portrait robot du suspect a pu être élaboré, il aurait été aperçu dernièrement dans le 8ème, aux alentours de la rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Affaire à suivre...
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