Nos élites viennent de nous concocter un nouveau néologisme pour qualifier la politique gouvernementale : la ralidarité.
Après la rilance, théorie économique consistant à instaurer une rigueur économique sans précédent pour relancer la croissance, voici venu le temps de la ralidarité qui est un principe fort simple, il s'agit d'instituer un racisme d'état stigmatisant certains groupes sociaux permettant ainsi d'augmenter la solidarité entre les citoyens.
Certains intellectuels, comme Eric Besson, se placent plutôt dans le sillage du ralidisme, qui serait un courant ayant émergé de lui-même en 2007. Une tribune de Frédéric Lefebvre ce matin, chef de file des ralidaires, lui répond replaçant la ralidarité dans son contexte historique et culturel, la xénophobie. Le débat reste entièrement ouvert.
Cette théorie brillante n'est que le corollaire de l'intépulsion, politique menée courageusement depuis plusieurs années, qui n'est autre que
l'intégration à la société française des personnes immigrées par l'explusion de ces dernières hors des frontières françaises. Concept novateur, mais porteur d'espoir et de progès pour les générations à venir.
En attendant l'impustice se porte à merveille, cette théorie judiciaire révolutionnaire qui promet l'impunité à une certaine frange de la population pour mieux garantir une égale justice pour tous. Pour mener cette émancipation judiciaire à son terme il faudrait bien entendu supprimer le juge d'instruction, qui ne permet pas actuellement d'assurer pleinement l'impustice.
