Les faits. Le détenu N.S. se trouve désormais sous la surveillance de deux officiers de police présents 24h sur 24 dans une cellule voisine de la sienne. Plusieurs hypothèses pour tenter de justifier cette décision logique après le cambriolage du Louvre. Le ministre de la justice ....
- aurait-il peur qu'après avoir été enlevé à l'affection des siens, le plus précieux bijou de la démocratie française le soit également aux murs de sa cellule ( et des trois salles de gymnastique ) ?
- aurait-il peur que Louis, successeur de la maison Sarkozy dénonce dans les médias son imperitie et les risques présentés par les dizaines de black blocs qui étaient rassemblés lundi matin devant le domicile de l'ancien président, pour hurler leur haine. Les complicités dont ils bénéficient parmi le personnel rendraient en effet très facile de commettre l'irréparable.
- aurait-il peur d'avoir à diffuser une "Alerte enlèvement du petit Nicolas" ?
Le president B. Lemaire de la cour des mécomptes de la république assure que le coût de ces mesures ( salaires, indemnités et frais d'hébergement des quatre officiers de police, maintien des non-privilèges accordés aux anciens chefs de l'état, transport d'un ministre au grand coeur et de son escorte entre la place Vendôme et la rue de la Santé aux fins d'effectuer une visite amicale (*) ) n'obérera pas les conditions subies par les autres détenus.
Communiqué de Mme Carla B. S. veuve temporaire, dévastée par le chagrin pour dénoncer les manoeuvres des salopards(*) du service météo de Mediapart.. "Depuis que mon mari est incarcéré, la tempête Benjamin est annoncée le long de la côté Atlantique. Comment est-il possible, se plaint-elle qu'elle ne soit pas baptisé "Nicolas" ? Pourtant, comme catastrophe naturelle, il a fait ses preuves !".
(*) vous n'allez pas me censurer tout de même ?
Résumé des épisodes précédents....