Emilie Mugabo - Il y a 6 h
https://www.facebook.com/100014860715591/videos/955667324938616/
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D'accord ?
Argumentum ad Personam, Reductio ad Hitlerium, procès en sorcellerie et procès staliniens tolérés dans le fil des commentaires, à fins pédagogiques.
« Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem. Ce dernier s’écarte de l’objet purement objectif pour s’attacher à ce que l’adversaire en a dit ou concédé. Mais quand on passe aux attaques personnelles, on délaisse complètement l’objet et on dirige ses attaques sur la personne de l’adversaire. On devient donc vexant, méchant, blessant, grossier. C’est un appel des facultés de l’esprit à celles du corps ou à l’animalité. Cette règle est très appréciée car chacun est capable de l’appliquer, et elle est donc souvent utilisée. La question se pose maintenant de savoir quelle parade peut être utilisée par l’adversaire. Car s’il procède de la même façon, on débouche sur une bagarre, un duel ou un procès en diffamation. » (Arthur Schopenhauer, "La dialectique éristique" - Ultime stratagème)
En prime - Petit recueil de 25 moisissures argumentatives pour concours de mauvaise foi
Moisissures institutionnelles, moisissures d'État moisi.