Primes et bonus dans le BTP et concessions autoroutières
Antoine Zacharias, le patron de Vinci, avait prétendu justifier les dizaines de millions d'euros de primes et d'euros de primes et bonus à l'occasion de son départ de la société de BTP par le fait qu'il avait mené à bien le rachat d'Autoroutes de France.
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Antoine Zacharias, le patron de Vinci, avait prétendu justifier les dizaines de millions d'euros de primes et d'euros de primes et bonus à l'occasion de son départ de la société de BTP par le fait qu'il avait mené à bien le rachat d'Autoroutes de France. Une telle justifitication est la démonstration d'une rémunération de l'influence auprès des décideurs publics ayant permis l'achat d'une concession qui est une machine à cash ponctionnant de façon excessive les utilisateurs d'autoroute. Difficile d'analyser une telle rémunération autrement que le prix du réseau d'influence. Aux côtés d'Antoine Zacharias apparait d'ailleurs la société de communication DGM.
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