"J'aime, la nuit sait. Nos chemins détournés pour dire j'aime. Compréhension limpide, qui peut attendre quelque chose de différent? Mais qu'est-ce cela? Pourquoi seules les mémoires nous conduisent-elles ? Pour vivre, presque à la moitié de la lumière de tes yeux. Puis-je tout prendre ? Puis me prendre ? La prison de pierre de mes rêves comme la nouvelle eau du ciel.
Ce sot, me regardant, faisant quelque chose pour lui même, se questionnant à jamais lui même, en vain. Viens ! Ce jeux orgiaque dans la nuit, le regardant nu, désirant. Abris, voyage, nuit.
Cependant nous le connaissons, l'univers l'a rompu, c'est bien s' il a utilisé le mot « je suis », c'est seulement parce que « je suis » est quelque chose qu'il connait, meilleur que les autres. Peux tu sentir la compréhension? Pas de chute en cette dure époque signifie, l'âge de l’exhibition, la décision flottante, l'architecture du temps, les journées entre elle, le monde...Le temps est seulement une possibilité...donnons nous la main du temps mon ami."
Carlos Osuna (1954-2002) traduit de l'espagnol par GJ 1982