On nous parle souvent du gaz de schiste dont l’exploitation est, pour le moment interdite en France. On parle moins souvent du gaz de houille. Mon ami Charles Soubeyran, heureux habitant de Martel, dans le Lot me demande de relayer le travail mené par le « collectif "Non au gaz de schiste et au gaz de houille" de Martel ».
Je reproduis ci-dessous leur Note pour la mobilisation de l’opinion publique dans le Lot et le texte qu’ils ont rédigé sur l’importance des ressources archéologiques dans la zone dite du « permis de Brive ».
On peut consulter leur blog à l’adresse suivante :
non.au.permis.de.brive.over-blog.com
ou leur écrire : martel.nonaugazdeschiste@gmail.com
Note sur la mobilisation de l'opinion publique dans le Lot.
Inquiets de l'annonce de la demande faite par la société Hexagon d'obtenir un permis de recherche (dit Permis de Brive) pour le gaz de houille, quelques habitants de la région de Martel se sont réunis en décembre 2012 et ont appelé à une réunion pour constituer un collectif en Janvier. Cette première réunion fut un franc succès malgré la neige et le verglas.
Dans la foulée de nombreuses réunions-débats ont été organisées dans les villages du nord du Lot.
C'est près de 15 réunions qui ont eu lieu. Elles ont regroupé en moyenne entre 10 et 15% des habitants. Les maires et des conseillers municipaux y assistent, annoncent publiquement leur opposition.
Parallèlement une pétition papier et en ligne est lancée. Cette pétition a reçu à ce jour plus de 12000 signatures. Le plus intéressant étant que 90% environ des signataires sont de la région concernée par la demande de permis même si des personnalités apportent leur soutien, ainsi : Patrick Sébastien (habitant de Martel), le grand architecte Claude Parent (de l'Académie des Beaux Arts) les journalistes Bruno Masure, Laurent Cayrol, les écrivains Robert Littel, Jean-Marie Laclavetine, Jean-Loup Trassard, les photographes Jean-Luc Chapin ( Prix Natura 2012), Mario del Curto, les filles de Robert Doisneau, etc... De grands préhistoriens, géologues ,hydrogéologues, spéléologues ont tenu à faire connaître leur avis, soit par écrit, soit lors de la Table Ronde organisée à Turenne le 1er juin. D'anciens résistants de la dernière guerre ont également tenu à nous communiquer des textes de rejet du permis.
Rapidement les médias s'intéressent à l'affaire ( 35 articles publiés jusqu'au 10 juin dans la presse écrite, dont certains à la une et accompagnés d'affiches d'annonces pour les marchands de journaux, également plusieurs passages sur FR3 régional dont un au national, ainsi que des interviews de représentants du collectif sur les radios locales : Décibel, Antenne d'Oc).
Récemment un autre collectif : Collectif du Nord-Est du Lot s'est créé et se coordonne avec celui de Martel. Les réunions qu'il a organisées sont, elles aussi, importantes.
Il faut bien comprendre que la nature de cette opposition est très large, plurielle et déterminée:
-large, car elle couvre maintenant tous les villages du Lot concernés, dans chaque village les conseils municipaux ont voté des motions demandant le rejet de la demande,
- plurielle par la composition sociale des opposants, agriculteurs, commerçants, retraités, personnes vivant de l'industrie touristique, jeunes et vieux. On peut parler d'un mouvement unanime et transversal où chaque habitant se sent concerné quelque puisse être par ailleurs son opinion politique et son origine sociale.
-déterminée, si l'on en prend pour preuve le nombre de personnes qui se sont déplacées à Brive et Sarlat, lors des manifestations des 8 et 9 juin. ( Plus de 3000 personnes).
La nature de cette opinion s'explique par :
-un attachement profond à leur région, attachement partagé par les touristes qui y viennent et reviennent régulièrement.
- un désir de défendre toutes les richesses de la région, qu'elles soient préhistoriques, archéologiques ou naturelles; économiques ( élevage, trufficulture, productions fruitières, légumes, fromages, vins, etc.), touristiques, ressources en eaux.
- une exigence, celle de préserver les ressources en eau dont le sous-sol est le garant en la forme, depuis des millénaires, et pour lesquelles il est demandé l'application du principe de précaution.
Pour conclure c'est un profond sentiment de colère qui est ressenti et que seul le rejet du permis pourra faire cesser. Il faut que les autorités en tiennent compte et écoutent la voix de la population.
Le 12 juin 2013
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LA PREHISTOIRE
DANS LA ZONE DU “PERMIS DE BRIVE”
Le périmètre de prospection du “permis de Brive”, s'il évite soigneusement des zones aussi célèbres que la Vallée de la Vézère, les environs des Eyzies-de-Tayac, les Grottes de Lascaux, Font de Gaume etc, s’attaque à une région dans laquelle un siècle et demi d’archéologie a révélé un nombre très important de sites paléolithiques. Mais surtout, la richesse de ce qui est connu, les découvertes récentes, montrent qu’il existe potentiellement dans cette région un riche patrimoine préhistorique encore inconnu. Aussi, dans cette abondance, nous nous limiterons à un rapide inventaire.LES SITES PALEOLITHIQUES ET NEOLITHIQUES SUR LE PÉRIMÈTRE
Cette région est habitée depuis plusieurs centaines de millénaires. De très nombreuses cavités recèlent les vestiges de ces multiples occupations, tant en restes fauniques, qu’en traces humaines, voire en restes d’hominidés fossiles.
Les cavités paléontologiques
La plus importante et la plus emblématique est “Les Abîmes de La Fage” (commune de Noailles, Corrèze), au sud de Brive, dans le nord du Causse de Martel, et que l’on date d’environ 200 000 ans. La faune qui a été recueillie par une équipe de l’Université de Lyon, sous la direction du Professeur Louis David comporte plus de 200 espèces qui sont une référence primordiale pour l’Europe de cette époque. Une abondante littérature, nationale et internationale lui est consacrée.
Cependant, ce n’est pas la seule cavité qui a été explorée ; on peut citer : Jaurens (commune de Nespouls, Corrèze), Baudran (commune de Nespouls, Corrèze), Pech Pialat (commune d’Estival, Corrèze), Siréjol (commune de Gignac, Lot), toutes appartenant au Causse de Martel. La présence de cavités karstiques dans cette région nous permet de postuler qu’il existe encore un potentiel énorme.
Les sites du Paléolithique moyen (200 000 à 35 000 ans)
La “Bouffia Bonneval” à La Chapelle-aux-Saints (Corrèze) a livré au début du XXème siècle un squelette de Néandertalien. Cet exemplaire est mondialement connu. Son excellent état de conservation en a fait le type de référence pour ce type humain. Il est également le premier exemplaire fossile trouvé dans une sépulture. En raison du fait que cet ensemble a été reconnu il y a plus d’un siècle, à une époque où l’archéologie était encore balbutiante, de nouvelles fouilles sont menées dans ce site depuis près de quinze ans.
Si ce site est le plus prestigieux, il est loin d’être le seul. Dans le semis de sites répertoriés de cette époque situés dans la zone de prospection de la société Hexagon, (au moins une cinquantaine), il faut au moins citer Le Coustal (commune de Noailles, Corrèze), Chez Pourré (commune de Brive).
Les sites du Paléolithique supérieur (35 000 à 10 000 ans)
Pour cette époque, la région de Brive (Corrèze) présente le plus riche ensemble de sites préhistoriques d’Europe après celui des Eyzies-de-Tayac, soit une cinquantaine de sites déjà connus : Noailles, Coumba del Bouïtou, Font-Yves, Font-Robert, Dufour, Chanlat, Bouyssonie récemment découvert et actuellement en cours de fouille, etc. Parmi ceux-ci on compte deux grottes ornées : Puyjarrige (commune de Brive, Corrèze) et Le Moulin de Laguenay (commune de Lissac-sur-Couze, Corrèze).
La vallée de la Dordogne recèle également de nombreux sites du Paléolithique supérieur. Certains, au sud-ouest de Sarlat sont dans la zone du “Permis de Brive” avec surtout “Le Flageolet” (commune de Bézenac, Dordogne), ou à sa limite la série de grottes du massif du Conte au débouché de la vallée du Céou (commune de Cénac-Saint-Julien, Dordogne).
La vallée de la Vézère, aux alentours de Terrasson en Dordogne, possède aussi un ensemble important de sites préhistoriques. C’est le cas dans la commune de Terrasson : Jolivet, Lachaud, Pouzet ; dans la commune du Lardin-Saint-Lazare : le très important site de Badegoule ; dans la commune de Saint-Rabier : Le Peyrat.
Les dolmens et tumulus du Causse de Martel
Il s’agit là d’un semis de monuments mégalithiques, dolmens, tumulus appartenant au Néolithique et aux Ages des Métaux réparti sur tout le Causse de Martel. Les plus fortes concentrations se trouvent en Corrèze, dans les communes de Saint-Cernin-de-Larche, Noailles, Nespouls ; dans le Lot, dans les communes de Cressensac, Lachapelle-Auzac, Souillac. Ce patrimoine est particulièrement fragile dans la mesure où il est très disséminé et donc encore mal connu et étudié.
Le site de Puy d’Issolu-Uxellodunum
Toujours dans les limites du Permis de Brive, la butte témoin du Puy d’Issolu dominant la vallée de la Dordogne (commune de Vayrac et Saint-Denis-près-Martel) a été habitée pendant plus de cinquante mille ans par des groupes paléolithiques qui venaient s’y approvisionner en silex et y laissèrent d’importants gisements de plein air (habitats, ateliers de taille). Plus tard, en 51 avant JC, il fut le théâtre du célèbre siège d’Uxellodunum dirigé par Jules César en personne. Grâce à des fouilles récentes, nous savons aujourd’hui, sans conteste, que celle-ci a eu lieu autour de la fontaine de Loulié, dans la commune de Saint-Denis-lès-Martel. Après plus d’un siècle de recherches, le ministère de la culture vient d’apporter une aide financière à la mise en valeur pédagogique et touristique du site.
Les grands travaux récents (autoroute A20, Aérodrome de Brive - Vallée de la Dordogne, golf de Brive) ont d’ailleurs révélé plusieurs occupations d’époques très diverses. Certains ont fait l’objet de fouilles de sauvetage de la part de l’INRAP. Ce qui démontre, si cela était encore nécessaire, que toute la zone du Permis de Brive est très sensible du point de vue de la Préhistoire.
LES GROTTES ORNÉES PALEOLITHIQUES SUR LE PÉRIMÈTRE
Le territoire d’exploration et d’extraction du Permis de Brive s’étend sur le nord du Quercy et l’est du Périgord.
Dans cette zone géographique, deux groupements de grottes ornées paléolithiques - l’un en Quercy et l’autre en Périgord - entrent en contact. Ces deux groupements sont parmi les plus célèbres et les plus importants foyers d’art pariétal de France, ils comportent même certains des sites d’art préhistoriques les plus anciens et les plus prestigieux du monde (Lascaux, Cussac, Font de Gaume, Pech-Merle, etc.).
Dans cette zone de contact, chaque cavité ornée de peintures, gravures ou bas-reliefs, est d’une importance archéologique majeure pour tenter de délimiter les aires respectives de l’art premier du Périgord et de l’art premier du Quercy et pour tenter de mieux comprendre les relations que ces deux centres artistiques ont entretenues au long des millénaires de l’âge glaciaire. (Lorblanchet 2006, 2010).
Des grottes ornées préhistoriques menacées par l’exploration et l’extraction de gaz
Dans le territoire prévu pour les explorations-extractions de gaz par la société Hexagon - et dans l’état actuel des connaissances - 5 cavités ornées paléolithiques peuvent être recensées :
- 1) La grotte du Moulin de Laguenay (Lissac-sur-Couze, Corrèze) dans le calcaire du nord du causse de Martel, comporte des ponctuations rouges et des mains négatives associées à des outils et un foyer daté au radiocarbone de 26 700 ans +/-380 (Pigeaud et Primault 2007, Lorblanchet 2010).
- 2) L’abri sous roche de Puy Jarrige II (commune de Brive, Corrèze). Ce site présente un intérêt particulier par sa situation dans les grès du Bassin de Brive, et par le fait qu’il s’agit d’un abri-sous-roche (et non d’une grotte) contenant un habitat de l’Aurignacien et du Gravettien associé au moins à trois gravures pariétales de chevaux et bison paléolithiques, que leur style, comme pour les décors de la grotte du Moulin de Laguenay, rattache à l’art gravettien des grottes quercinoises. (Raynal, Demars, Mazières, Malissen 1984).
- 3) La grotte de La Sudrie (Villac, Dordogne) petite cavité dans les grès identique par son type de site à l’abri de Puy Jarrige II, contenant plusieurs gravures pariétales paléolithiques dont un cervidé (Aujoulat 1884).
- 4) Grotte du Roc Pointu (Castels, Dordogne) petite cavité près de Saint Cyprien et de la vallée de La Dordogne, contenant une gravure de tête de bison paléolithique. (B. et G. Delluc 1984).
- 5) Grotte de Vézac (Dordogne) exactement sur la limite orientale de la zone du permis de Brive, cette cavité contient des mains négatives et des signes circulaires échancrés (Aujoulat 1984) d’âge gravettien (environ 25 000 ans). Cette cavité semble témoigner d’une extension de l’art pariétal quercinois vers l’ouest, en suivant le cours de la Dordogne (Lorblanchet 2006).
Un patrimoine précieux toujours en cours d’étude :
Ces cinq cavités mentionnées, bien que relativement modestes, sont scientifiquement très importantes en raison de leur situation stratégique entre les deux centres artistiques du Quercy et du Périgord ; elles sont importantes également par la diversité de leurs types de sites (grottes en milieu calcaire et abris-sous-roche dans les grès) et par l’originalité de certaines de leurs figurations (cercles échancrés de Vézac, tête de bison de face du Roc Pointu).
Pour la plupart elles sont encore insuffisamment étudiées. De nouvelles fouilles et de nouveaux relevés pariétaux sont programmés. Des générations futures de chercheurs y compléteront et reprendront les recherches avec des méthodes nouvelles.
De nouvelles connaissances seront acquises.
Ce territoire, que l’on envisage de livrer à l’exploration et l’extraction des gaz non conventionnels et aux risques de pollution inhérents à ce type d’activités, n’a certainement pas encore fourni la totalité des sites d’art pariétal qu’il possède et que l’on est en droit d’attendre en raison de la proximité des grandes concentrations de sites de la vallée de la Vézère et du Quercy central. Ce territoire est donc riche également de son potentiel de découvertes : la connaissance et la protection du patrimoine sont des données évolutives que chaque génération de préhistoriens et de spéléologues complète inlassablement.
La découverte très récente de grottes ornées d’importance majeure, comme celle de la grotte de Cussac (Cadouin, d’importance équivalente à celle de Lascaux) sur les marges de la zone du permis de Brive, montre que de grandes découvertes sont encore partout possibles.
Un patrimoine célèbre menacé :
La carte de la zone concernée par le permis de Brive montre, par ailleurs, que cette zone de prospection entoure la vallée de la Vézère, haut lieu de la préhistoire et du tourisme et s’approche à environ 5 kilomètres au Nord de la grotte de Lascaux et à 3 kilomètres au sud des grottes de Font-de-Gaume et des Combarelles ! cette proximité avec des sites mondialement célèbres est des plus inquiétante lorsque l’on sait que la technique d’exploration prévoit des forages verticaux et horizontaux sur de longues distance avec des risques constants de pollution.
Ainsi, il apparaît que le permis de Brive fait sans doute peser de lourdes menaces sur un des patrimoines les plus prestigieux et les plus fragiles de la France ; la vulnérabilité de ce patrimoine est démontrée par les graves problèmes de conservation que posent actuellement les peintures de Lascaux, mais qui existent en réalité dans toutes les grottes ornées, ouvertes ou non au public... Gardons-nous d’y ajouter de nouveaux problèmes de conservation liés à une extraction locale de gaz !Un patrimoine archéologique et paléontologique régional exceptionnel :
Le territoire du permis de Brive s’inscrit dans une des régions du sud-ouest européen, les plus anciennement habitées par l’homme et par des types humains différents. Dans cette région se sont accumulées des traces et vestiges d’occupation par l’homme, mais également par les animaux, pendant des dizaines et même des centaines de milliers d’années : partout le milieu naturel conserve des traces de ce passé.
Dans ce milieu karstique, l’abondance des grottes et des cavités de toutes sortes a favorisé l’accumulation de vestiges différents au cours d’un très long passé, des faunes disparues - des grands félins aux Mégacéros - des premières sépultures de l’humanité par l’Homme de Néandertal, aux traces de la guerre des Gaules ou de l’époque féodale.
Les principales régions du monde, Amérique, Canada, Australie etc. qui exploitent les gaz des schiste et de houille ne possèdent ni une ancienneté comparable du peuplement humain ni une telle richesse et diversité de leur patrimoine archéologique. L’Australie même, compte très peu de cavités profondes : les sites archéologiques y abondent mais ils sont des sites de plein air facilement repérables (habitats, abris sous roche ornés etc.).
La région du permis de Brive présente donc cette particularité unique de posséder un patrimoine archéologique et paléontologique multi-millénaire, à la fois souterrain et superficiel, par conséquent particulièrement vulnérable aux explorations et exploitations de gaz. Souhaitons qu’il ne soit pas sacrifié à l’exploitation d’une ressource éphémère et qu’il soit respecté et intégralement protégé.
Michel Lorblanchet
Directeur de recherches honoraire au CNRS
ex membre de la commission supérieure des Monuments Historiques - grottes ornées (Ministère de la Culture).
46200 Saint-Sozy.
Pierre-Yves Demars
Chargé de Recherche au CNRS en retraite
Docteur d’Etat ès Sciences
Président de Préhistoire du Sud-Ouest
19100 Brive
Bibliographie résumée :
Aujoulat N. 1984 : La grotte du Roc de Vézac, in "L’art des Cavernes", Ministère de la Culture, imprimerie Nationale, p. 242-244.
Aujoulat N. 1984 : La grotte de la Sudrie, in "L’art des Cavernes", Ministère de la Culture, imprimerie Nationale, p. 245-247.
Collectif1972 : Le gisement paléontologique pléistocène des Abîmes de la Fage à Noailles (Corrèze) I. Nouvelles archives du Muséum d’Histoire naturelle de Lyon, fasc. 10.
Collectif 1973 : Le gisement paléontologique pléistocène des Abîmes de la Fage à Noailles (Corrèze) II. Nlles archives du Muséum d’Histoire naturelle de Lyon, fasc. 11.
Collectif 1975 : Le gisement paléontologique pléistocène des Abîmes de la Fage à Noailles.
Collectif. 1998 : L’homme de La Chapelle-aux-Saints, Coédition Culture & Patrimoine en Limousin, 81 p.
Delluc B. et G. 1984 : La grotte du Roc Pointu, in "L’art des Cavernes", Ministère de la Culture, imprimerie Nationale, p. 98-97.
Demars P.-Y. 2011 : Préhistoire de la Corrèze, Edition des Mille Sources, 213 p.
Lorblanchet M. 2006 : Art, relations, territoires dans le Quercy paléolithique et les régions voisines, in Congrès International de l’UISPP, Lisbonne.
Lorblanchet M. 2010 : "L’art pariétal ; Grottes ornées du Quercy" Éditons du Rouergue 454 p.
Pigeaut R. et Primault J. 2007 : Une première date pour la grotte ornée du Moulin de Laguenay (Lissac-sur-Couze-Corrèze), in "Préhistoire du Sud-Ouest", n° 17, p. 161-163.
Raynal JP., Demars P.Y, Mazières G., Malissen B. 2007 : La grotte de Puy Jarrige II, in "L’art des Cavernes", Ministère de la Culture, imprimerie Nationale, p. 252-254
Rigaud J.-Ph. 1982 : Le Paléolithique en Périgord. Les données du Sud-Ouest sarladais et leurs implications, Thèse de Doctorat d’Etat ès Sciences, Un. Bordeaux I.