Le hasard, certains n'y croient pas, je finirai par croire que oui.
Mais, je ne suis qu'un hasardeux assemblage de gènes, comme vous, et je ne suis que le produit de sensations, qui manquent cruellement à d'autres.
A ceux qui disent que certains ont du sang sur les mains, ou à ceux qui s'aventurent en comparant ce site aux années trente, je vais juste aller plus loin, allons pas si loin que ça sur l'échelle des temps immémoriaux, jusqu'à Platon!
Bah, certains d'entre eux, je veux, sans les nommer, ceux qui gouvernent.........ceux en poste de responsabilité.......... la fine fleur de la France, ben oui, pas très gaussien, plutôt avec des cases en moins, mais ils sont peuples.....
Oui, certains ont bien dû avoir, non pas du sang sur les mains, ce genre de besogne trouve sa juste mesure dans des conflits armés, comme en terre afghane, ou 14 18, je ne rentrerai pas dans le cours de science po, sur la construction de l'ennemi, passons, ou sur la découverte du griffonnage, que dis-je de la taille en coupe réglée sur le statut des juifs français, l'histoire parle souvent après un silence.
Les militaires, vaste programme,sauf que je préfère garder mes grosses bombes, ça calme tout le monde..........mais ça coûte des ronds de calamars grillés et quand les deux géants se disent prêt à désarmer, pour ma part je garderai mes bombinettes, car jusqu'à preuve du contraire, vu l'état mental des donneurs d'ordre, vaut mieux que ces donneurs d'ordre aient le sentiment que s'ils appuient, c'est dans les heures qui suivront qu'ils crameront. Petits détails psychologiques, grandes conséquences tactiques! C'est fou ce double effet, vous trouvez pas?
Je m'éloigne, abrégeons.
Ouvrons Platon, ah oui Platon, pourtant je ne suis pas philosophe, mais bon, admettons que la seule chose que j'ai comprise a suffie à me mener à trouver ce livre, c'est extraordinaire............" de La République, par Georges LEROUX, Ed Flammarion page 452."
" les petits méfaits, repris-je, sont petits quand on les compare aux grands, et tous ces maux, quand on pense à la misère et au malheur causés à la cité par un tyran, n'arrivent pas, comme on dit, à la hauteur de la cible!
Mais quand les gens de cette espèce prolifèrent dans la cité, eux et la compagnie de ceux qui les suivent, et quand ils prennent conscience du nombre qu'ils représentent dans la cité, alors ce sont eux qui donnent naissance au tyran, avec le soutien du peuple stupide. Et lui, plus que les autres, porte en son âme le tyran le plus achevé et le plus imposant qu'il soit.
- C'est probable, dit-il, puisqu'il serait en effet celui qui possède le plus de dispositions tyranniques.
- Les choses iront ainsi si les gens capitulent de leur plein gré, mais si la cité ne cède pas, alors de la même manière qu'il a châtié à leur heure ses pères et mère, le tyran le fera de même pour sa patrie, s'il en a le pouvoir: il y introduira ses nouveaux compagnons et leur servira cette matrie chérie, pour parler comme les Crétois, cette patrie qu'il dominera et entretiendra. Tel est bien le terme ultime que poursuit le désir d'un pareil homme.
- Oui, dit-il, c'est en tout point cela."
Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existés est purement fortuite, je tiens donc à le préciser. Mais avançons, avançons dans le temps, pour savoir, comprendre les méthodes, et surtout comprendre qu'en fait le débat des retraites resservi depuis.....15 années donne à penser sur les rouages du pouvoir, puisque la seule augmentation des salaires suffit à clôturer et équilibrer tous les comptes.
Michel Foucault, "Surveiller et punir", pp 52. 53, éd. Gallimard
" l'exécution publique, aussi hâtive et quotidienne qu'elle soit, s'insère dans toute la série des grands rituels du pouvoir éclipsé et restauré (..) par dessus le crime qui a méprisé le souverain, elle déploie aux yeux de tous une force invisible. Son but est moins de rétablir un équilibre que de faire jouer jusqu'à un point extrême, la dyssimétrie entre le sujet qui a osé violé la loi, et le souverain tout-puissant qui fait valoir sa force. Si la répartition du dommage privé occasionné par le délit doit être bien proportionnée, si le sentence doit être équitable, l'exécution de la peine est faite pour donner non pas le spectacle de la mesure, mais celui du déséquilibre et de l'excès; il doit y avoir dans cette liturgie de la peine, une affirmation emphatique du pouvoir"
On pense au procès de la banque d'affaire française, au procès Clearstream, ou encore à cette arrestation à New York d'un homme ayant constitué des pyramides.
Le chemin est souvent semé d'embûches, mais c'est parfois chez les autres, une fois décryptés, que les choses se compliquent, car l'histoire se répète, mais parfois elle amorce des pétards, qui font de jolis feu de bengale.
Parce que nous le savons bien, alors que d'autres avaient pensé devoir nous faire l'injure de remplacer ce verbe par un autre, qui au cours des temps immémoriaux se répètent aussi et finissent par souffrance psychologique à craquer sous le poids des mesures, car un kilo € ça parle un milliard aussi, et l'histoire se souvient que les salaires dans les années 70 étaient de 1 à 40.
Une cité endormie pourra vivre avec peu, mais sans le savoir, sans la recherche ou toute forme de questions attenantes aux autres, sans le partage des richesses, cette cité est sur la voie de la chute ou de la déconstruction.
Ce que ne tolère pas par dessus tout les pouvoirs, enfin s'il leur en reste, c'est la Novoctetévolution, qu'ils ne peuvent pas suivre, c'est une sorte de glasnost à la française, grâce à l'invention par le Cern du Web.
C'est à nous de voir, ou de penser en écrivant, et bienvenu au site anglais......la chasse est OUVERTE.