Pour moi, le jazz est comme une respiration dans un monde de brutes épaisses.
Parfois, je jure, parfois oui j'en ai plus que marre, mais il reste le jazz, comme les jazz messenger's " march in Europe".
Si l'Amérique avait été l'Amérique comme le disait le décédé Jo, paix à son âme et à toutes celles qui sont les miennes, nous aurions eu un autre monde. L'Amérique est l'évanescence de l'Europe passée, " vieux continent". L'Europe c'est nous, le traité de la monnaie unique et je plaide pour un désarmement, " Messieurs les Anglais tiraient les premiers", et rien ne changera pour la Présidentielle, telle qu'elle se présente sur les ondes de la voix de son maître.
Ainsi, Parker, mort à 37 ans, et non 27 ans ou 30, incarne pour moi le ciel. Son lyrisme est sans égal. C'est le bebop. Rappel, le jazz signifiait " la fange" et que ce soit Duke Ellington, Count Basie, et surtout le contre bassiste ayant écrit le plus long morceau de musique jamais inventé, vous l'aurez reconnu, ces personnes se battaient pour leur peau, au sens propre et figuré. Je n'évoquerai pas le cas de Sonny Rollins.
Charlie Parker c'est le ciel. Miles est la Terre, et Coltrane entre les deux.
 
                 
             
            