Toute enfant naît libre ou égal en droit, si un enfant est français, pourquoi un autre ne le serait pas? C'est écrit là.
Je comprends que dans la réalité légale, politique, d'aujourd'hui, c'est faux. Mais demain, ne seront-ils pas français ? Quand le seront-ils ?
Quand les parlementaires l'auront décidé !
Les parlementaires ont beau jeu de repousser toujours la faute sur les autres, sur la peur du FN, Erdogan, coronavirus, blablabla. Le Parlement de Paris ne respecte pas l'Égalité fondamentale parce qu'il ne veut pas le faire. Il est au pouvoir, lui, le Parlement.
Celui qui empêche cela ce n'est pas l'électeur, ce n'est pas l'UE. C'est eux.
Ma famille vient d'un coin de France dont le Parlement de Paris a fait d'elle française ou ennemie étrangère à sa guise, d'un trait de plume sanglant (plusieurs en fait).
La Moselle. Français un jour, casque à pointe le lendemain, casque toutes armes le surlendemain.
La classe politique est ainsi faite. Elle demande des sacrifices humains pour célébrer son pouvoir.
Les parlementaires privent de nos mots de nos droits, des populations fragiles qui demandent asile.
Les parlementaires les empêchent de passer, volontairement.
Nous n'avons pas le pouvoir de faire la loi, mais nous pouvons partager notre mot si des populations fragiles en ont besoin ?
Guerre des mots
J'aimerais bien que les journalistes qui savent que celle qui est derrière les barbelés est aussi française qu'eux, le disent, la qualifient ainsi. Pourquoi n'imposerait-il pas leur réalité par leurs mots ?
Quel serait le feu d'opposition à cette vérité? des inepties politiques ? parce qu'il n'est pas n'est là ou ici ? mais c'est où ici ?
Conquérir le monde d'un seul mot
Pour ceux qui ne sont pas avares de mots, ne serait-il pas possible de s'obliger à qualifier tout homme ou femme comme s'il était français.
Et si un homme de pouvoir, un peu malin, s'aperçoit du potentiel d'accroissement de son pouvoir à attribuer la nationalité française à toute l'humanité, formidable. Il serait le souverain immédiat de millions d'hommes et de femmes en plus, d'une trace de stylo. Bien-sûr, tous ne voudraient pas de ce mot, pour des raisons compréhensibles. Ils seront libres de s'en qualifier ou pas.
Partager des droits, des mots, ne coûte rien, sauf pour le Parlement, où l'on parle et où l'on ....