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Billet de blog 2 octobre 2015

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Mais quel gâchis...

Le Parti de l'écologie politique sombre aujourd'hui dans une crise fatale quelques mois à peine après avoir célébré son quarantième anniversaire.Les tensions qui existaient depuis longtemps au sein du mouvement écologiste sont en passe de devenir une fracture. Comment avons nous pu en arriver là ?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

L’an dernier beaucoup nous nous sommes retrouvés à l’occasion des quarante bougies du mouvement écologiste[1]. Politiques et associatifs, militant(e)s d’EELV et ancien(ne)s des Verts se revoyaient pour partager souvenirs et espérances[2]. Les médias n’ont pas été indifférents à cet événement. Des articles plutôt bien vus ont circulé[3]. Cétait là une reconnaissance sociale que nous attendions depuis longtemps. Une reconnaissance qui tranchait avec les commentaires souvent acerbes sur les rivalités de pouvoir et l’image souvent trouble que le mouvement écologiste donne de lui-même.

Cette aurore ne dura qu’un temps. Le refus des ministres d’Ayrault d’intégrer le gouvernement Valls jeta un trouble profond dans les rangs écologistes[4]. Subitement la stratégie classique d’alliance privilégiée avec le PS était remise en cause. Le parti opérait un virage à 90° à rebours de la participation d’une grande majorité de ses élus dans des exécutifs locaux dans les régions et les municipalités encore à gauche. Dans le mouvement associatif, cœur du mouvement écologiste, cette bifurcation soudaine surprit. A l’heure où chacun s’afférait pour peser sur la loi de transition énergétique et hâter le vote de la loi sur la biodiversité, le retrait de l’exécutif national laissait un gout amer. D’aucuns se demandaient déjà si des ambitions individuelles ne venaient pas contrarier l’ambition collective de peser sur les choix et les orientations de l’Etat.

Une fois les débats parlementaires sur la loi de transition passés les tensions refirent surface. Les élections départementales, début 2015, marquent le début d’une crise dont on voit aujourd’hui les conséquences. Les tensions anciennes au sein d’EELV se sont transformées en fracture. Les départs se multiplient à mesure que les courants dits « de gauche » poussent le parti en dehors de son lit[5]. D’aucuns pourraient voir là un mouvement de balancier vers une radicalité nécessaire. Rien n’est moins sûr. L’écologie est fragilisée par le jeu sordide des ambitions individuelles. Le Parti est touché par une crise intellectuelle et morale que décrit très justement Alain Lipietz, dans un texte dont la lecture est indispensable[6]. « La politique des postes a complètement évincé la politique des contenus. »

Force est de reconnaitre avec Alexandre Jurado que « les Verts aujourd’hui ne savent pas où ils vont parce qu’ils ne savent pas où ils sont[7] ». Faute d’une réelle élaboration stratégique en interne et d’une capacité à intégrer différentes pratiques, le parti de l’écologie se déchire. Ses principaux cadres avouent même qu’ils sont complètement paumés[8]. Là où certains, non sans arrière-pensées sordides, voient une trahison et évoquent une « stratégie de harcèlement[9] » existe un profond malaise. Malaise suscité par un changement de cap trop brusque, trop soudain et surtout trop éloigné de la culture écologiste pour faire consensus. Un changement de cap qui n’est pas étranger aux caprices d’une personne qui, après avoir promu une « droitisation » à marche forcée, se découvre aujourd’hui une passion soudaine pour le Front de Gauche…

En effet aujourd’hui partent ceux et celles qui ont offerts la victoire à Cécile Duflot à la Rochelle en 2011[10] puis à Caen en 2013[11]. « La firme » explose. Le courant « réaliste », appelé longtemps voynétiste, rompt avec la « famille duflotiste », son allié contre le courant de Dany Cohn-Bendit.

En aucun cas on peut dire que Jean-Vincent Placé ou de Rugy trahissent qui que ce soit. Ils ne font que persévérer dans leur être. L’un comme l’autre ont toujours été des écolos réformistes partisans de l’alliance privilégiée avec le PS. Ligne peu rock n’roll s’il en est, mais qui a eu le mérite d’offrir un débouché politique national aux pratiques et aux positionnements du plus grand nombre des élus locaux actifs dans des majorités « de gauche ». Ainsi Conseils fédéraux après conseils fédéraux, les écolos réformistes ont pu compter sur des votes favorables même si parfois ils n’hésitaient pas à faire part de quelques doutes[12]. L’important in fine était alors de maximiser les possibilités de peser sur les politiques publiques en y injectant un peu d’écologie.

Or chacun peut reconnaître que ce peu d’écologie c’est déjà trop pour les tenants du « redressement productif ». Dès septembre 2012, une question revient ainsi en boucle sur le devant de la scène médiatique : « les écolos peuvent-ils rester au gouvernement[13] ? » Ce qui était au début un trouble est devenu un doute rapidement. L’opération César donne à voir les intentions réelles du président Hollande. Dans la stricte continuité du « l’écologie ça suffit » de Sarkozy, la tête de l’exécutif d’Etat tient à cantonner les écologistes à des fonctions très subalternes et surtout les tenir à l’écart des grands choix stratégiques. Le piège de l’accord du 15 novembre 2011[14] se referme sur EELV. Les parlementaires, en première ligne, se trouvent dans une situation très inconfortable. La réaction d’Eva Sas à la publication du Rapport de la commission Mobilité 21 donne à voir ce malaise[15]. Il est décidément bien difficile d’être dedans quand ses convictions profondes poussent à dénoncer un marché de dupe et des trahisons quotidiennes…

Un fossé s’est creusé progressivement entre les aspirations du mouvement écologiste et le social-libéralisme de François Hollande rendant impossible la poursuite de la présence au gouvernement. Mais aurait-il fallu que cela soit débattu, que les conditions d’un soutien sans participation soient étudiées, que le retrait de l’exécutif ne soit pas attribué à une affaire de personne. L’aurore de Grenoble ne peut cacher que l’année 2014 fut une année sombre pour le mouvement écologiste. Et ce n’est pas la si modeste loi de transition qui peut compenser une impression générale de confusion et d’échec[16]. Tous les indicateurs donnent à voir qu’à mi-mandat le bilan du soutien des écologistes à l’aventure hollandienne est plus que modeste.

Depuis le parti se déchire comme lorsque Dominique Voynet était ministre de Lionel Jospin. Les « réalistes » emmenés par François de Rugy jugent ce bilan pas si mauvais au vu des conditions objectives et des rapports de force. L’opposition « de gauche », dont les antinucléaires, ne cache pas sa déception et exprime ce qu’il faut bien appeler une colère. Entre les deux, les duflotistes naviguent à vue. Après avoir soutenu la loi lors de la première lecture à l’Assemblée[17], Cécile Duflot elle-même change de posture quelques mois plus tard[18] alors que quelques améliorations ont été apportées au texte originel[19]. La posture l’emporte décidément sur la prise de position… et au final, la transition écologique est gelée.

Si chacun convient que le compte n’y est pas, personne ne s’accorde sur la stratégie à mettre en œuvre pour sortir de l’ornière. Les réalistes ne proposent rien d’autres que de faire profil bas, et de laisser la tempête passer, espérant que la COP 21 et les élections régionales amèneront l’exécutif à remettre un peu de vert dans les politiques publiques. A Notre-Dame-des-Landes en juillet 2014, s’opère une curieuse fusion entre les courants de « gauche » d’EELV et la « famille duflotiste ». Un nouveau courant émerge, Rebondir, dont l’ambition est de constituer un nouvel axe politique associant EELV et le Front de Gauche. Seul le courant « fondi » appelle de ses vœux un respect du principe d’autonomie contractuelle, c’est-à-dire à l’affirmation de la singularité écologiste sur la scène publique. On se croirait revenu au milieu des années 1990 quand ces trois options faisaient déjà débat[20]. Le parti écologiste ne sait plus trop où aller ni comment s’y rendre faute de vouloir en dernier recours porter ce paradigme nouveau dans le jeu politique. 

Tout porte à croire que l’histoire se répète. Il n’est rien. Les écarts se creusent et de nouveaux agencements se dessinent. Si tous conviennent que les élections régionales sont un enjeu particulièrement important pour le mouvement écologiste[21], une configuration inédite se présente aujourd’hui[22].L’autonomie difficilement conquise après la période voynetiste de fait recule[23]. Dans trois régions au moins, le parti écologiste ira devant les urnes aux côtés du PCF. A la suite des élections départementales, des militants font le choix d’une alliance « contre nature » avec une force politique qui n’a jamais caché son appréciation très paradoxale des questions environnementales[24]. Pour beaucoup de militants associatifs, ce choix est difficilement compréhensible pour ne pas dire choquant. Il n’y a pas une semaine sans qu’en CODERST, en CDAC, en CLI, en CDCEA ou dans les commissions de suivi de site on se heurte aux communistes ou à leurs avatars syndicaux et associatifs. La protection de l’environnement ou la défense de la santé publique sont perpétuellement suspectées de menacer l’emploi voire même la croissance…

L’expérience de la Coalition Climat 21 n’est guère plus enthousiasmant. La propension a oublié le nucléaire n’a d’égale que le mépris pour les enjeux locaux du changement climatique[25]. D’aucuns se rependent en déclarations de bonnes intentions pour dénoncer les ravages au loin de la crise climatique sans jamais avoir fait beaucoup ici pour en atténuer les causes et proposer des mesures d’adaptation. Alors on tape sur le charbon, cible facile[26]. Mais peu s’attaque au scandale de l’agriculture productiviste grand responsable du changement climatique. La volonté de forger envers et contre tout une grande alliance nourrit une nullité du discours et indigence des pratiques. Il ne faudrait tout de même pas vexer la CGT dont certains attendent les gros bataillons le 29 novembre. Il ne faudrait pas non plus trop critiquer la politique d’un gouvernement qui accorde le statut de de « grande cause nationale » à la communion des ONG écolo et du mouvement social[27]

Et pendant ce temps-là, le productivisme le plus anachronique a libre court. La stratégie nationale bas-carbone soumise à consultation du public fin aout est des plus modestes[28]. Même la très nucléocrate CGT ne cache pas ses réserves[29]. L’ambiguïté des propositions sur la taxation du carbone gène les ONG[30]. Le PLF 2016 n’est guère plus enthousiasmant[31]. Mais personne ne communique vraiment sur tous ces sujets. Plutôt que de permettre aux gens d’ici de s’emparer de leur destin d'aucuns préfèrent jouer sur la corde sensible privilégiant les ravages lointains du changement climatique à ses conséquences locales[32]. A croire que plus les enjeux sont immédiats et concrets plus la tendance à les esquiver est forte.

D'aucuns redouteraient-ils une réappropriation du politique par la multitude ? La manière dont a été conduite ici en Seine-Maritime la campagne des élections départementales en début d'année le laisse craindre. Tel est le problème majeur posé par le mariage forcé entre cultures écolos et cultures communistes en cette période de mobilisation climatique.

En effet l’alliance des écolos et des communistes n’est pas forcément fructueuse. Un petit exemple dieppois permet de prendre la mesure de limites de la chose. Lors de l’élection municipale, la promesse avait été faite d’intégrer des énergies renouvelables dans le mixe électrique consommé par la commune. Un an plus tard, une décision est prise. Mais comme par hasard le marché public échappe à Enercoop Normandie. La municipalité préfère servir son allié historique, EDF, que d’offrir un débouché aux énergies citoyennes[33]. Si cela n’est pas du greenwashing, je ne sais pas ce que c’est d’autant plus qu’aucun objectif effectif de baisse des consommations n’est affiché. On est là très loin d’une démarché écologiste.

Comment s’étonner dès lors que beaucoup de militant(e)s se défient d’une alliance rouge et verte étendue au PCF ? Comment s’étonner dès lors que certains en arrivent même à redouter une simple ouverture à des courants écolos du Front de gauche ? Beaucoup savent à quel point il est difficile ne serait-ce que de communiquer avec certains cadres de la gauche de la gauche. Le flingage en bonne et due forme de la Loi Brottes sur la tarification progressive de l’électricité[34] par l’union du PCF et de l’UMP reste dans toutes les mémoires[35]… sans parler évidemment du vote surprenant contre l’éolien dénoncé très justement par Mathieu Agostini[36] ou de quelques sorties des plus surprenantes lors des débats sur la loi de transition. Dès qu’un problème concret de politique publique se pose, les divergences ne tardent jamais à s’exprimer.

Cela ne veut pas dire que des coopérations ponctuelles puissent avoir lieu. Des communistes et des écologistes se retrouvent parfois côtes à côtes contre des mêmes causes et peuvent proposer des solutions convergentes. Ce fut le cas à Rouen en 2013 quand des élus communistes ont rejoint la mobilisation contre le Contournement Est de la métropole normande[37]. Mais d’ici à concevoir des alliances de premier tour, il y a un pas. Un pas que beaucoup n’acceptent pas.

Les positions du mouvement écologiste et du mouvement communiste sont très distinctes, voire même trop distinctes, pour nourrir une confusion préjudiciable à une bonne intelligibilité des enjeux politiques. Ainsi en Haute-Normandie, le PCF a décidé de partir en autonomie pour les régionales. Pour la deuxième fois, le maire de Dieppe, Sébastien Jumel, emmène son parti devant les urnes en développant une ligne « anti-austérité » qu’il assume depuis des années[38]. C’est là un acte de cohérence politique qui l’honore. Dans le même temps le mouvement écologiste a fait le choix de l’autonomie[39] en s’ouvrant sur la société civile dans la continuité de 2009 et 2010. Deux possibilités, deux visions, deux modes d’action se présentent donc aux électeurs. Une alternative que ceux et celles qui ont fait le choix de la convergence rouge et verte ne pourront garantir.

*

Somme toute, le choix des militants qui ont souhaité élargir le modèle grenoblois au PCF est des plus aventureux. Je crains qu’ils n’aient pas mesuré les conséquences au sein du mouvement écologistes de cette bifurcation. Elle est ressentie par beaucoup comme une trahison à la ligne à laquelle ils s’étaient ralliés en 2009 (Eric Loiselet en est un parfait exemple[40]). A trop tirer sur l’élastique, il a donc fini par lâcher !

Il serait temps que le parti écologiste fasse preuve de continuité et ne cède plus aux caprices de la « princesse de Villeneuve Saint-Georges » en quête d’un destin présidentielle. L’autonomie contractuelle[41] devrait rester la boussole de tous les écologistes. Une autonomie qui peut être enrichie de rouge comme c’est le cas à Grenoble puisqu’aujourd’hui bon nombre d’entre nous militent au PG ou à Ensemble !, au MEI, CAP 21 et ailleurs…. Mais une autonomie qui ne cherche pas à déborder du camp écologiste. Des alliances de premier tour avec le PCF ne valent pas mieux que des alliances de premier tour avec le PS.

L’écologie n’en sort pas grandie. Elle s’en trouve même affaiblie au vu du départ d’ami(e)s de longue date comme Christophe et Barbara dans la Somme… J'espère que ce retrait ne durera qu'un temps. L’autonomie n’est pas l’ennemi du « réalisme ». Elle en est même la condition fondamentale. C’est une façon toute écologiste de concilier l’audace d’un imaginaire et l’efficience d’une pratique. C’est en tout cas ainsi que nous avons toujours essayer d’articuler action institutionnelle et actions de terrain.

Reste qu’aujourd’hui le mouvement n’a jamais été aussi éclaté alors que les tâches qui nous incombent n’ont jamais été aussi grandes. Le seul mot qui me vient à l’esprit pour décrire cette situation absurde est : « quel gâchis ! »


[1] http://www.ina.fr/contenus-editoriaux/articles-editoriaux/40-ans-de-lutte-ecologique/

[2] https://www.youtube.com/watch?v=_rQVK6eB7d0 http://eelv.fr/eelv_widget/40-ans-de-lecologie-politique/

[3] http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/10/27/01016-20141027ARTFIG00191-du-larzac-au-barrage-de-sivens-40-ans-de-luttes-ecologiques.php ; http://www.huffingtonpost.fr/2014/08/21/journees-dete-eelv-dix-personnalites-40-ans-ecologie-politique_n_5695092.html

[4] http://www.liberation.fr/politiques/2014/04/01/canfin-et-duflot-une-demission-faute-de-visibilite_992187

[5] http://lelab.europe1.fr/lhemorragie-se-poursuit-a-eelv-avec-deux-nouveaux-departs-2514965 ; http://www.liberation.fr/politiques/2015/09/30/la-deputee-barbara-pompili-quitte-a-son-tour-ee-lv_1393866

[6] http://lipietz.net/IMG/pdf/Crises_EELV-2.pdf

[7] http://www.reporterre.net/Les-Verts-ne-savent-pas-ou-ils-vont-parce-qu-ils-ne-savent-pas-ou-ils-sont

[8] http://lelab.europe1.fr/emmanuelle-cosse-se-dit-depassee-dans-society-sil-y-avait-un-podemos-en-france-ca-ne-serait-pas-avec-nous-2517261

[9] http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1429797-apres-rugy-et-place-pompili-quitte-eelv-ce-depart-obeit-a-une-strategie-de-harcelement.html

[10] http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Avant-la-primaire-d-EELV-le-triomphe-de-Cecile-Duflot-324983

[11] http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20131203.OBS7937/congres-eelv-le-recit-assassin-d-alain-lipietz.html

[12] http://www.lefigaro.fr/politique/2012/11/09/01002-20121109ARTFIG00334-place-que-faisons-nous-au-gouvernement.php

[13] http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/09/24/les-ecologistes-peuvent-ils-rester-au-gouvernement_1764367_823448.html

[14] http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/11/16/les-principaux-points-de-l-accord-ps-eelv_1604266_823448.html

[15] http://evasas.eelv.fr/reaction-au-rapport-commission-mobilite-21-deva-sas-depute-eelv-membre-de-la-commission/

[16] http://www.lepoint.fr/environnement/transition-energetique-les-satisfaits-et-les-decus-18-06-2014-1837447_1927.php

[17] http://eelv.fr/2014/10/16/transition-energetique-pourquoi-nous-avons-dit-oui/

[18] http://www.parismatch.com/Actu/Politique/Entre-Segolene-Royal-et-Cecile-Duflot-la-guerre-est-declaree-725786

[19] http://transitionenergetique.org/transitiometre/index.html

[20] En 2012, suite à l'entrée au gouvernement de Cécile Duflot et Pascal Canfin, j'écrivais un long texte intitulé de quoi Cécile Duflot est elle le nom ? http://fr.calameo.com/read/00157497564099d7508a4

[21] http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1349173-pour-eelv-la-reconquete-passe-par-les-regionales-2015-pas-par-la-presidentielle-2017.html

[22] http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/10/01/elections-regionales-les-ecologistes-y-vont-sans-le-ps_4779602_4355770.html

[23] http://lipietz.net/spip.php?article3041

[24] http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/180215/malgre-le-nucleaire-nous-tendre-la-main

[25] http://www.contretemps.eu/interviews/injustices-climatiques#.Vg1TR9axkTI.facebook

[26] http://blogs.mediapart.fr/blog/guillaume-blavette/010615/le-charbon-une-cible-facile

[27] http://www.gouvernement.fr/partage/4053-coalition-climat-21-grande-cause-nationale-pour-l-annee-2015

[28] http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-de-strategie-nationale-bas-carbone-et-de-a1117.html

[29] http://www.cgt.fr/La-strategie-bas-carbone-pour.html

[30] http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/06/16/la-france-devoile-sa-strategie-bas-carbone_4655466_3244.html

[31] http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250269556721&cid=1250269556469

[32] http://eelv.fr/2015/06/25/video-le-forum-climat-initie-par-eelv/

[33] http://www.paris-normandie.fr/detail_communes/articles/4132348/dieppe--30-sites-de-la-ville-passent-a-l-energie-renouvelable#.Vg6Vs3p_NBc

[34] http://www.arnaudgossement.com/archive/2012/09/07/tarification-progressive-de-l-energie-analyse-de-la-proposit.html

[35] http://www.actu-environnement.com/ae/news/energie-proposition-loi-Brottes-tarification-progressive-eolien-irrecevabilite-motion-16907.php4 ; http://www.liberation.fr/politiques/2012/10/31/le-senat-rejette-la-tarification-progressive-de-l-energie_857202

[36] http://blogs.mediapart.fr/blog/mathieu-agostini/071012/alors-le-front-de-gauche-ecolo-ou-pas

[37] http://ville-oissel.fr/La-mairie/Dossier-special/Le-contournement-Est-de-Rouen

[38] http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/4011783/regionales-2015--sebastien-jumel-le-maire-communiste-de-dieppe-se-lance-dans-la-bataille-electorale#.Vg6gUnp_NBc

[39] http://normandieecologie.fr/

[40] http://www.liberation.fr/politiques/2009/10/19/le-socialiste-eric-loiselet-rejoint-europe-ecologie_588731

[41] http://www.lesverts.fr/spip.php?article310

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