Je me permets de publier cette tribune à la demande de son auteur. Les nombreux conflits qui se développent en France conduisent certains secteurs politiques et syndicaux à une crise de clarification. Quelle sera la politique à suivre ? Est la question de nombreux secteurs des organisations syndicales. De la même manière que les gilets jaunes, qui recherchent la voie la plus démocratique et la plus représentative à suivre. D'autre part, les partis politiques en pleine crise d'identité politique et idéologique, qui les à séparer de la réalité sociales et politique que vivent les citoyens français. Comme les coupoles du gouvernement composé que des professionnels, classes aisées et bureaucrates, ont pris le pouvoir. Ignorants de la réalité et les vrais besoins sociaux et immédiats du peuple Français.
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                    Et allons-y la fanfare franchement insoumise ! Claire Bouthillon
Il a choisi son moment dans une lente maturation, en surfant sur les événements et les pressions difficiles, toujours à bonne distance d’analyse, remplissant son contrat de porte-parole sur les plateaux et dans ses publications sans sortir des contenus officiels, sans faire transparaitre le calvaire enduré. Il fût retenu aussi beaucoup par une loyauté sans faille mais mal récompensée envers Jean-Luc Mélenchon. Ces circonstances qu’il décrit fort bien sont avant tout politiques, qui ont dévoyé l’ADN de ses valeurs, les miennes, les nôtres quasiment à tous et toutes, en respect d’un axe clair et défini dans l’Avenir en Commun. Ce qu’il a porté d’indépendantisme, de fond républicain et laïque par-dessus un programme économiquement et socialement compétent fourni par les insoumis, a permis d’élargir notre socle naturel aux élections présidentielles de 2017. Il n’en fera jamais l’inventaire ni n’invoquera un droit de propriété dans son abnégation habituelle à la cause collective, que je ne trouve que chez les « grands ». Ce sens supérieur du bien commun, voire de l’Etat, que je ne sens plus chez celui qu’il a surtout servi, et qui en définitive, se sert de nous quand ça lui va bien #perquisitions, quand le reste du temps, on est « gazeux ». Un exemple aujourd’hui révélateur :
Jean-Luc Mélenchon Compte certifié @JLMelenchon
« Ras-le-bol des médias qui nous grillent la moitié de notre temps de parole à nous faire commenter les déclarations personnelles de tel ou tel des 500 000 insoumis ».