HOLLANDE UN PRESIDENT DIGNE.
François Hollande, a plié en quatre Nicolas Sarkozy, qui était fébrile, peu sûr de lui, se prenant les pieds dans le tapis des chiffres, déclamant des absurdités du genre 'il y a plus d'immigration illégale que légale', chiffrant à 10 % l'augmentation du pouvoir d'achat des fonctionnaires" a jugé Jean-Luc Mélenchon à l'issue du débat mercredi soir.
"Je crois que Nicolas Sarkozy a commencé à intérioriser la défaite. Il faisait pitié, il se débattait, il trépignait, il s'agitait. On avait le sentiment qu'il perdait pied. Hollande était au niveau du combat et Sarkozy n'y était pas. Passé les deux trois premières minutes où ça tournait en rond et où on s'ennuyait mortellement, après, l'autre a commencé à se débattre et à couler. Il n'y a pas eu de match en fait", a-t-il asséné.
La violence des paroles, la haine, l’ignorance, l’avidité et la souffrance, c’est invité avec le candidat Sarkozy.
En tant que tel, fausse tous les aspects de l'existence, du mode de vie aux valeurs familiales, l'éthique et nationales. En d'autres termes, ce type d'ignorance volontaire peut être trouvé dans tous les systèmes de valeurs, de modes de vie et des vues de la nature qui place de l'individu dans un conflit incontrôlable avec les principes mêmes qui prennent en charge leur propre existence.
Nous le voyons aujourd'hui, où l'impact de la cupidité incontrôlée va au-delà du niveau individuel, crée des disparités économiques entre les groupes raciaux et ethniques et entre les pays dans le monde. L'avidité des pays industrialisés a privé les gens des pays en développement des conditions pour répondre à leurs besoins de base. La cupidité de la race humaine manipule par le Neoliberalisme, d'autre part, portent atteinte au droit d'exister avec les autres êtres vivants.
Guillermo Saavedra