En France : L’extrême-droite, la droite dure et la droite soft du gouvernement Hollande
La droite soft (appelée la gauche) est en train de créer une dictature et un État policier. Une droite « soft », qui donne en permanence des certificats de bonne conduit à la droite dure. Les analyses de Freedom House étaient obligées de constater une évolution négative, et plus généralement en ce qui concerne le respect des droits fondamentaux dans les législations. Le parlement européen vient d’adopter une résolution pour protéger les lanceurs d’alerte et en même temps condamnant les textes de surveillance pris par les États membres dont la France de Hollande.
Ce qui est grave, que des personnes comme Valls et Hollande dont plus de 70% des Français ne veulent plus leur politique, ce même gouvernement est train d’amener la France vers une voie sans issue avec un État policier. Il y a derrière chaque citoyen un système dictatorial soft avec le risque de voir un parti de droite prendre le pouvoir.
Avec la priorité accordée à la sécurité nationale, ces dernières années le parlement à adopté cinq lois pour justifier la restriction des droits et des libertés, comme la Loi sur la prévention du terrorisme qui permet de surveiller 67 millions de Français, au lieu de 5 mille terroristes. Loi qui est liée à la programmation militaire.
La géolocalisation, en plus de la loi sur les renseignements, et la dernière trouvaille, la loi sur la surveillance Internationale qui vient d’être votée par le Sénat.
Loi qui consiste au blocage des sites sur décision administrative, c’est à dire un système privé.
Il est incompréhensible qu’il y ait un Parti socialiste subordonné au gouvernement à un tel point. Un parti avec une commission politique et un comité central, qui est incapable de faire une analyse de la situation politique tant en France qu’à l’International. Voir l’OTAN et les graves risques de conflit mondial.
C’est aussi bizarre que les medias soient incapables d’informer ou dénoncer sur la véritable réalité que nous sommes en train de vivre.
On dirait qu’il existe deux France.
Quand on ouvre les journaux ou regarde la plupart des gros titres affichés auprès des marchands de journaux, on peut s’apercevoir que les medias vivent dans un autre monde. C’est comme s’il ne se passait rien dans le globe. Alors qu’ il y a la Guerre au Pakistan, en Afghanistan, en Syrie, en Irak, en Turquie côté Kurde, en Palestine, en Libye, au Nigeria, au Tchad, au Congo, au Burkina Faso, au Soudan, au Yémen, en Somalie, etc…
Le terrorisme des pays riches vers les pays pauvres, qui veulent leur imposer à coup de bombes une démocratie contrôlée, avec une économie dépendante, n’hésite pas à utiliser la force.
L’aveuglement, la stupidité, l’ignorance, l’arrogance de certains journalistes français de se croire donneurs de leçons, alors qu’ils sont toujours à la traîne de l’information.
Le très haut niveau de dogmatisme, de sectarisme, de l’antirusse, de plus l’anti- communisme primaire.
On peut le déceler dans certaines émissions de télévision ou radio, quand les journalistes nous montrent leur pensée.
Alors que la formation des journalistes consiste à dire le « Comment, Quand et le Pourquoi », ceux-là mêmes oublient toujours le « Pourquoi ». Oubliant que la profession de journaliste est un métier d’équilibre à travers l’information pour une société de liberté et justice sociale.
Même situation avec les banlieues, avec les usines, avec les travailleurs, les licenciements, avec les chômeurs. C’est la France inconnue par les medias, des peuples en souffrances, des multitudes sans logement, une population qui ne croit plus aux promesses politiques de ce vendeur de bonheur ou escroc du social.
Comme le dit le philosophe Michel Onfray : « Cette mafia qui se réclame de la gauche » (ou droite soft). » Oui !!! Et qui gouverne en donnant des attestations de bonne conduite à la droite dure et le Medef.
L’autre France, celle des des gens très bien placés.
Des élus très ignorants de la France qui souffre, ceux-là même qui gouvernent, des patrons qui soustraient de l’argent aux travailleurs pour se payer des salaires faramineux.
Les valeurs comme la sécurité de l’emploi et les avantages des salariés passent naturellement au deuxième rang après la poursuite du profit.
Quant un salarié veut toucher son salaire, il doit payer la banque chaque fois qu’il en a besoin. Les millions de salariés et dont l’Etat les oblige à avoir un compte bancaire, payent chaque mois une partie du salaire au banquier, ainsi que les agios en fin de mois. Sans considérer la carte Bleu, le chéquier et nus tout petit augmentation de salaire vont aussi a la banque.
On peut voir les énormes gains des banquiers en regardant leurs étonnantes constructions d’énormes et très riches bâtiments payés avec l’argent des ouvriers.
Par contre les patrons, c’est tout le contraire.
C’est la banque qui les paye en intérêts pour garder leurs « énormes salaires ».
Quand le premier ministre dit « qu’il aime l’entreprise », nous les travailleurs aussi on aime l’entreprise. Mais une entreprise qui produit pour grandir le pays, pour une entreprise sans surexploitation ni intérimaires. Une entreprise qui profite à tous les salariés, qui respecte le travail et est reconnaissante envers les efforts de tous.
Je suis sûr que cela n’est pas la même entreprise dont parle monsieur Valls.
Quant nous avons Elu monsieur le président Hollande, nous voulions un gouvernement de gauche, pas une droite « soft ».
Quand nous avons Elu monsieur le président Hollande nous voulions une autre société.
Quand nous avons Elu monsieur le président Hollande nous voulions une Intégrité et justice sociale pour les travailleurs.
Guillermo Saavedra