Quand solidarité entre génocides, bourreaux, tortionnaires et réactionnaires est plus forte que les démocrates.

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La demande de la levée de l’immunité présidentielle de Jimmy Morales, auprès de la Cour suprême par la ministre de Justice Thelma Aldana, qui a demandé vendredi 25 août 2017. Pour investiguer d’ou ils vient l’argent qu’il dépense pour ça campagne à la présidence.
D’autre part Jimmy Morales, a annoncé dans la même semaine, qu’il souhaitait expulser Ivan Velasquez, enquêteur mandaté par l’ONU, pour diriger la Commission internationale contre l’impunité au Guatemala, suite a la grande quantité de gens disparu ou assassine sans jamais avoir enquêter de la part du gouvernement. Situation semblable au Mexico et des outres pays d’Amérique central qui sont complètement gère para la CIA, et en Europe jamais nous avons entendu parler.
Les spécialistes d’Amérique Latine, ils reçoivent l'ordre de parler plus au sujet du Venezuela.
Seulement au Mexico il y a 103e journaliste tuée depuis 2000, d’après l’organisation de lutte pour les droits de l’homme Article 19. La CIA soutien alors les cartels. Le problème du narcotrafic s’explique par l’immense pauvreté qui règne au Mexique. L’économie parallèle offre de nombreux emplois tandis que le chômage ne cesse de se développer.

Les pays qui vivent actuellement sous des dictatures
Égypte, Mauritanie, Maroc, Soudan, Érythrée, Éthiopie, Djibouti, Tchad, Guinée, Équatorial, Angola, Swaziland, Cameroun, Zimbabwe, République démocratique du Congo, République du Congo, Gabon
Arabie Saudia, Émirats Arabes Uni, Iran, Laos, Vietnam, Népal, Pakistan, Oman, Thaïlandais, Azerbaiyán, Kayasan, Ouzbékistan, Kirghizstan y Turkménistan.
Quand il n’ai pas un gouvernement de droite, ou appelé «démocratique »
L’aveuglément de une grande quantité de journalistes occidentales, l’anti russe, fait qui ils parlent plus de Venezuela ou Bêchard Alazard, que du véritable problème. L’aveuglement, la stupidité, l’ignorance, l’arrogance des certains journalistes de se croire donneurs de leçons alors qu’ils sont toujours à la traîne de l’information. Le dogmatisme, le sectarisme, l’antirusse, l’anti communisme primaire les ont dissociés de plus en plus de la réalité du monde, en oubliant que la profession de journaliste est un métier d’équilibre à travers l’information pour une société de liberté, pas pour être manipulé.

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Dan un article publie dans le monde le 12/07/2012.
En Guatemala
« Selon la Commission pour la vérité historique (Commission para el esclarecimiento historico, CEH), créée sous les auspices des Nations unies après la signature des accords de paix de 1996, au moins 626 villages mayas ont été victimes de massacres et détruits durant la guerre civile. Environ 1,5 million de personnes, pour la plupart amérindiennes, ont été déplacées, et 150 000 ont dû se réfugier au Mexique voisin. L'enquête de la CEH a montré que l'armée et les paramilitaires des "patrouilles d'autodéfense civile" (PAC) étaient responsables de 93 % des actes de violence, et les mouvements de guérilla regroupés au sein de l'Union révolutionnaire nationale guatémaltèque (URNG), de 3 %. Plus de 83 % des 200 000 personnes assassinées et disparues appartenaient aux différentes ethnies mayas.

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Tant le rapport de la CEH que celui de la Commission pour la reconstitution de la mémoire historique mise en place par l'Église catholique ont qualifié les crimes de l’armée d'actes génocidaires". La Cour interaméricaine des droits de l'homme (CIDH), instance rattachée à l'Organisation des États américains, a confirmé cette qualification dans plusieurs arrêts depuis 2004. Les autorités guatémaltèques, elles, ont toujours nié l'existence d'un génocide.
La Grande Révolte indienne (Robert Laffont, 2009), le sociologue Yvon Le Bot conclut que les années les plus sanglantes du conflit guatémaltèque peuvent être qualifiées de "guerre de massacres à connotation génocidaire".
Quand solidarité entre génocides, bourreaux, tortionnaires et réactionnaires est plus forte que les démocrates.
Guillermo Saavedra