UN PRESIDENT SOCIALISTE AU SERVICE DE L’IMPERIALISME
« Nous, les pays du tiers monde, Ils veulent nous condamner à être des réalités économiques de deuxième catégorie avec des démocraties subordonnées pour toujours »
Salvador ALLENDE
Jamais la France n’a connu un président socialiste avec un gouvernment populiste et aussi réactionnaire et irresponsable, au risque de mettre le monde en guerre. Pourquoi ne pas utiliser les organismes internationaux normaux comme l’ONU ?
Dans de nombreux pays, la priorité accordée à la sécurité nationale ces dernières années a favorisé un accroissement de l’effort de l’armement. De plus en plus les préoccupations de sécurité intérieure sont exploitées pour justifier la restriction des droits et des libertés (Internet). Dans la même situation l’attention déployée par des pays où les banquiers font la loi avec l’appellé « Communauté Internationale », non pas la volonté de résoudre les véritables problèmes mondiaux, comme la pauvreté ou la dégradation de l’environnement, ces pays on détourné leurs objectifs.
Ce monde déchiré par le terrorisme et les frappes de représailles, par les conflits fondés sur différences ethniques et religieuses, à mesure que les gouvernements renforcent les mesures de sécurité pour prévenir les attentas terroristes, la vie des citoyens ordinaires est remplie d’un sentiment de peur et d’insécurité véhiculé par les medias qui elles mêmes sont contrôlées par le capital, malgré la responsabilité des journalistes qui ont l’obligation morale comme principal élément qui est celui de défendre la vérité.
D’un point de vue, l’aggravation des menaces pour la vie et la dignité des populations constitue une autre conséquence tragique du terrorisme et des efforts pour l’éradiquer à coup de bombes qui constitue une autre forme de terreur, et non pas par la voie diplomatique avec l’appui de l’opinion publique qui est aussi une autre grande puissance.
Il règne un sentiment de vulnérabilité devant lequel même les actions militaires les plus offensives sont impuissantes. Malgré les promesses apparentes, la globalisation montre en fait peu de signes qui vont dans le sens d’une nouvelle éthique mondiale, elle n’est plus que de l’expansionnisme économique, avec le culte primitif de la richesse monétaire et des conflits et guerres régionales vers un grand risque de guerre mondiale.
Plus la misère se développe dans les pays du tiers monde, plus le terrorisme sera présent dans les pays riches. Les Etats Unis, l’Europe sont responsables de « Crime contre l’humanité », le cumul de richesse par la banque à un niveau mondial, l’exploitation de plus en plus sauvage par le capital qui fait payer les plus misérables pour s’enrichir et le non respect à l’environnement qui ne reconnaît pas la nature comme détentrice des droits, montre que le capital est l’ennemi de l’être humain.
L’extermination, la terreur et la misère de la survie pour les plus misérables est la responsabilité des pays capitalistes.
Selon l’UNICEF et l’ONU, 29 000 enfants de moins de cinq ans meurent chaque minute, tous les jours, et particulièrement de causes qui pourraient être évitées.
Plus de 70% de près de 11 millions de décès d'enfants qui surviennent chaque année sont attribuables à six causes: la diarrhée, le paludisme, les infections néonatales, la pneumonie, un accouchement prématuré ou un manque d'oxygène à la naissance pour cause de misère.
Ces décès surviennent principalement dans les pays en développement. Un enfant éthiopien est 30 fois plus susceptible de mourir à l'âge de cinq ans qu'un enfant d'Europe occidentale. Parmi les décès d'enfants en Asie du Sud et Centrale, le plus grand nombre de décès néonatals surviennent alors que dans l'Afrique subsaharienne les taux les plus élevés sont enregistrés. Deux tiers des décès surviennent dans seulement 10 pays dans le monde, cela c’est plus que le terrorisme ce l’extermination des êtres humains.
Guillermo Saavedra