Chaque fois que on parle de l’humanisme on pense au comportement de l’être humain, et au notre comportement, qui elle même es dissocie de l’ensemble de notre entourage et environnement.
En fait, l’humanisme prend l’humanité à la foi dans son sens concret et en tant que qualité abstrait, comme modelé central.
Mais il ne tente pas d’établir sur cette base un ensemble rigide des règles destines a guider les êtres humains dans tous leurs jugements et action.
Si notre humanité se développe à travers notre relation avec les autres, l’individualisme débridé revient au contraire à couper les liens.
La reconnaissance et le respect de la existence des autres se manifestent à travers notre capacité à maîtriser et à retenir nos désirs personnels et dans l’interaction entre êtres humains.
A l’inverse, l’individualisme poussé à l’extrême est porteur d’une intolérable vacuité, et l’instabilité et l’insécurité qui le caractérisent prouvent à quel point il est étranger a un mode de vie normal. Il est en définitive incompatible avec nous efforts pour mettre en valeur l’humanité.
Mon vécu dans le domaine humaniste, mon montre a quelle point l’être humain extériorise a l’autre faisant abstraction, quant il s’agite du pouvoir. La violence collective qui apporte des énormes souffrances à la société, le populisme, la démagogie, et la dictature.
Pour beaucoup des gens engage dans ce lutte a été la prison puis la torture pour a la fin fusille en blanc, son des châtiment que nous avons souffert dans ça propre chère et a la limite de l’être humain.
Tout cela pour anéantir une pense en primant la barbarie et la force a la raison.
Cella sont les piège de l’extrémisme prêts à profiter de la faiblesse et de la folie présents en tout chacun, attisant des tendances aussi destructrices que la haine, la colère, la jalousie ou l’arrogance.
Ce genre de dogmatisme se emploi à rabaisser, affaiblir et aliéner l’esprit humain. Il est justement aux antipodes de l’humanisme.
Je croie que se laisser intimider et s’avoir vaincus peut être l’équivalent de renoncer à ça propre humanité.
Je fait c’est description pour montrer la caricature monstrueuse dans laquelle tombent les gens séduits par l’esprit d’abstraction, de la divergence irréconciliable entre leurs idées et les réalités vécues par les personnes ordinaires.
Quand on permet à des idées désincarnées de nous détourner et de nous séparer du monde des réalités concrètes, on fini pour le payer cher et de façon inattendue, les abstractions de l’idéologie peuvent l’emporter même sur les liens d’amour entre parents et enfants.
Je voudrais dire que par rapport au comportement humain l’universalité de Montaigne dépassait les limites des cultures et ethnies particulières.
La distinction entre le civilisé et le barbare qui sous-tendit des siècles de colonialisme et que représentait une réalité indiscutable aux yeux de la plupart des Européens, était pour lui une invention absurde. Sa description des populations autochtones du Brésil est audacieuse, juste et imprégnée d’une grande chaleur humaine. Il dit :
« Nous les pouvons donc bien appeler barbares, eu égard aux règles de la raison, mais non pas eu égard à nous qui les surpassons en toute sorte de barbarie ».
Montaigne était totalement libéré de toutes discrimination et préjugé fonde sur les différences nationales et ethniques qui, aujourd’hui encore, continuent à attirer tant de gens.
Le fanatisme et le dogmatisme revêtent plusieurs formes. Certains peuvent être prompts à les associer aux religions monothéistes, alors qu’en fait ils apparaissent dans l’éventail de tous les domaines d’activité humaine.
On peut dire que jusqu’à un certain point, toute idéologie concrétise une orthodoxie ou manière figée d’appréhender le monde. Voilà pourquoi, je crois que nous devons par conséquent développer une meilleure compréhension des aspects tant positifs que négatifs de telles orthodoxies, ou les concept en « Isme ».
Tant qu’une orthodoxie peut tenir de normes pour diriger les actions des êtres humains vers des buts constructifs, elle est positive. Mais il est possible que de tell notions en « Isme » se mettent à enchaîner la pensée et le jugement du peuple, qui en définitive est libre.
Quand cette tendance échappe à tout contrôle, les notions abstraites en « Isme » peuvent finir pour enchaîner dans la servitude de la vie humaine.
Le fanatisme survient quand cet aspect destructeur s’accroît hors de tout proportion inimaginable. Il peut mener une situation où la vie humaine est absurdement dévaluée, l’objective est la mort, la sienne propre que celle des outres arrive à être glorifie, comme ce les attentats ou bombes humaines.
Ce qui explique la folie, la violence collective montre que notre siècle vie un procès idéologique et des massacres sans précédent.
Au contraire de ces orthodoxies, ou idéologies en « Ismes », le trait le plus marquant de l’humanisme est que ne cherche pas à fournir des normes de conduite définies de l’extérieur. Il met l’accent sur le fonctionnement libre et spontané de l’esprit humain.
L’esprit d’abstraction défini pour le philosophe Gabriel Marcel, pour définir le processus essentiellement destructeur par lequel nos conceptions sont détachées de réalités concrètes. Il dit par exemple ; qu’on ne peut s’engager dans une guerre que si on refuse au préalable d’admettre la nature individuelle et l’humanité de l’ennemi, le réduisant ainsi à un concept abstrait. En d’autres termes l’esprit d’abstraction n’est pas de valeur neutre. Il est invariablement accompagné d’un caractère passionnel de rejet et de sentiment qui entraîne une réduction dépréciatrice. Ce qui signifie que une fois les gens transformés en concepts abstraits on peut les traites comme des inférieurs sans valeurs, voire comme des êtres nuisibles qu’il faut éliminer. C’est à dire, les personnes, dans la plénitude de leur humanité, n’existent plus.
Depuis un certain temps, de plus en plus de voix s’élèvent pour déclarer que les droits ne sont pas seulement intrinsèques aux êtres humains mais qu’ils s’entendent aux animaux, aux plantes, et les êtres non sensitif tels que les montagnes, les rivières et la terre même. C’est à dire reconnaître la nature non comme un objet d’exploitation mais comme détentrice des droits, représenta un changement fondamental pour la civilisation humaine.
Les différences sectaires, dogmatiques, idéologiques, et aussi culturelles et ethniques, ne sont jamais absolues al instar des règles et de l’organisation de la société humaine, sont toutes relatives : elles doivent être considérée comme des concepts souples et fluides en une réévaluation constante pour servir les besoin de l’humain et de l’humanité.
Je suis convaincu que l’essence et la pratique de l’humanisme s’expriment dans un dialogue sincère de personne à personne. Que se dialogue réside dans la diplomatie et dans des organisations comme la notre ou les ondes de choc de l’échange se multiplient se propagent. Le dialogue a le pouvoir de générer un profond changement capable de réorienter, peu a peu un grand parti de la société.
Même si nos efforts en apparence modestes, je crois suffisant pour changer la direction du courant de notre époque. Nous somme le petit volet mobile attaché aux ailes d’un grand avion où a la quille d’un bateau. Comme un gouvernail d’un bateau qui peut être manouvre sans assistance par une seule personne, permet ainsi à un lourd vaisseau de changer de cap, l’humanisme est capable de jouer un rôle similaire, en modifiant l’orientation de la société mondiale, pour la création des êtres humain et non de robots humain pour le travail.
Guillermo Saavedra