Dans son livre "La Stratégie du choc", Naomi Klein expose la doctrine du "capitalisme du désastre". Cette stratégie perverse utilise le chaos et la désorientation provoqués par des chocs - qu'ils soient naturels ou provoqués - pour imposer des politiques ultralibérales. Privatisations à outrance, démantèlement des services publics, réduction des droits sociaux... La liste des méfaits est longue.
Warenn Buffett chantre du capitalisme débridé écrivait « il y a une lutte des classes, bien sûr, mais c’est ma classe, celle des riches, qui fait la guerre. Et nous gagnons »
Exemples d’actualité : Macron va-t-en-guerre pour que le peuple oublie les désastreuses lois sur la retraite, la pauvreté, la loi immigration.
Benjamin Nétanyahou qui était en conflit avec son peuple profite du génocide qu'il est en train de perpétrer contre les palestiniens pour se refaire une virginité
Noam Chomsky, pour sa part, n'hésite pas à qualifier les interventions militaires occidentales de "crimes d'agression". Il souligne que ces interventions, loin de protéger les populations, ne font qu'aggraver les conflits et engendrer davantage de chaos.
En réalité, la guerre n'est pas une fatalité. Elle est le résultat de choix politiques délibérés, Toujours motivés par des intérêts économiques et géopolitiques. Derrière les discours humanitaires et les justifications sécuritaires se cache une réalité impitoyable : la guerre profite à une minorité au détriment de la majorité. Comme le disait Paul Valéry « la guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas »
Alors que les sirènes hurlent et que les bombes pleuvent partout dans le monde et maintenant en Europe, il est de notre devoir de refuser la logique du chaos et de la guerre. Il est temps de dire NON aux profiteurs du désastre et de construire un monde de paix et de justice.
RÉVEILLON NOUS !