Il existe en Iran tout un réseau actif de membres du PMOI/MEK (Parti des Moudjahidines du Peuple Iranien) qui s’est employé à diffuser des infos pour mener une campagne en faveur du boycott des élections. Ces gens ont placardé les murs des villes d’affiches de propagande encourageant les Iraniens à voter en faveur d’un « renversement du régime ». D’autres cris de ralliement scandaient le nom de Maryam Radjavi.
Tous ces slogans font véritablement partie d'une stratégie visant à proposer au peuple d’Iran une autre alternative au régime oppressif en place et à refuser la désignation officielle de meurtriers comme candidats présidentiels. Le PMOI/MEK constitue le plus grand groupe d'opposition à la dictature et fait partie d'une vaste coalition connue sous le nom de Conseil National de la Résistance de l'Iran (CNRI). La coalition a son siège social à Paris et exerce plusieurs activités visant à révéler les méfaits du régime envers son propre peuple et à la communauté internationale.
Une bonne partie du travail consiste à échanger des informations sur les activités nucléaires de l'Iran et à les rendre accessibles aux diverses puissances du monde favorables aux sanctions et qui souhaitent ramener les dirigeants iraniens à la table des négociations, avec l’objectif d’affaiblir la dictature en dénonçant notamment des tentatives de déstabilisation de la région effectuées grâce à des provocations militaires.
L'Iran a été qualifié d'exportateur de terrorisme et d'intégrisme, ce qui a immédiatement jeté un froid entre le régime et la communauté internationale dans son ensemble. Le travail du CNRI de par ses connexions en Iran et dans le monde a également permis de dénoncer la corruption du régime et son impact sur le peuple.
Des efforts ont également été déployés pour souligner les violations des droits humains, à l’aide de publications de témoignages de personnes emprisonnées, de rapports sur les victimes d’exécutions, de tortures ou de procès arbitraires.
Les activités du CNRI s’exposent néanmoins à des risques élevés. Ceux qui sont pris la main dans le sac risquent des sanctions sévères pour « rébellion et menace envers la sécurité nationale », qui remettent en question la survie du régime. Pourtant, malgré les risques encourus, nombreux sont ceux qui continuent à concevoir des affiches, des dépliants et des bannières suspendues ou accrochées pour que les passants puissent les voir, avant d’être arrêtés et de voir leur travail réduit à néant par les forces de sécurité.
Le régime souhaite écarter la menace d’un nouveau soulèvement comme celui qui avait eu lieu en 2009 à l’occasion des élections, et paraît déterminé à intimider le peuple iranien pour éviter que soient traduits en justice les Mollahs au pouvoir. Mais les iraniens commencent à ouvrir les yeux et le PMOI/MEK, entre autres groupes, sentent que le moment est venu de mettre le régime face à ses responsabilités pour les crimes commis envers le pays et la société iranienne dans son ensemble.Il existe en Iran tout un réseau actif de membres du PMOI/MEK (Parti des Moudjahidines du Peuple Iranien) qui s’est employé à diffuser des infos pour mener une campagne en faveur du boycott des élections. Ces gens ont placardé les murs des villes d’affiches de propagande encourageant les Iraniens à voter en faveur d’un « renversement du régime ». D’autres cris de ralliement scandaient le nom de Maryam Radjavi.
Tous ces slogans font véritablement partie d'une stratégie visant à proposer au peuple d’Iran une autre alternative au régime oppressif en place et à refuser la désignation officielle de meurtriers comme candidats présidentiels. Le PMOI/MEK constitue le plus grand groupe d'opposition à la dictature et fait partie d'une vaste coalition connue sous le nom de Conseil National de la Résistance de l'Iran (CNRI). La coalition a son siège social à Paris et exerce plusieurs activités visant à révéler les méfaits du régime envers son propre peuple et à la communauté internationale.
Une bonne partie du travail consiste à échanger des informations sur les activités nucléaires de l'Iran et à les rendre accessibles aux diverses puissances du monde favorables aux sanctions et qui souhaitent ramener les dirigeants iraniens à la table des négociations, avec l’objectif d’affaiblir la dictature en dénonçant notamment des tentatives de déstabilisation de la région effectuées grâce à des provocations militaires.
L'Iran a été qualifié d'exportateur de terrorisme et d'intégrisme, ce qui a immédiatement jeté un froid entre le régime et la communauté internationale dans son ensemble. Le travail du CNRI de par ses connexions en Iran et dans le monde a également permis de dénoncer la corruption du régime et son impact sur le peuple.
Des efforts ont également été déployés pour souligner les violations des droits humains, à l’aide de publications de témoignages de personnes emprisonnées, de rapports sur les victimes d’exécutions, de tortures ou de procès arbitraires.
Les activités du CNRI s’exposent néanmoins à des risques élevés. Ceux qui sont pris la main dans le sac risquent des sanctions sévères pour « rébellion et menace envers la sécurité nationale », qui remettent en question la survie du régime. Pourtant, malgré les risques encourus, nombreux sont ceux qui continuent à concevoir des affiches, des dépliants et des bannières suspendues ou accrochées pour que les passants puissent les voir, avant d’être arrêtés et de voir leur travail réduit à néant par les forces de sécurité.
Le régime souhaite écarter la menace d’un nouveau soulèvement comme celui qui avait eu lieu en 2009 à l’occasion des élections, et paraît déterminé à intimider le peuple iranien pour éviter que soient traduits en justice les Mollahs au pouvoir. Mais les iraniens commencent à ouvrir les yeux et le PMOI/MEK, entre autres groupes, sentent que le moment est venu de mettre le régime face à ses responsabilités pour les crimes commis envers le pays et la société iranienne dans son ensemble.