
Toomaj Salehi, le vaillant artiste iranien, se retrouve aujourd'hui confronté à une sentence des plus grotesques : la condamnation à mort de la part d'un régime répressif qui redoute sa voix dissidente et sa plume accusatrice.
Son crime aux yeux des autorités : oser défier l'ordre établi, dénoncer les injustices et mettre en lumière les abus de pouvoir.

La peine de mort qui pèse sur Toomaj Salehi souligne la violence extrême exercée par un État autoritaire contre toute forme d'expression libre et contestataire. Elle met en évidence le courage extraordinaire de Salehi, pris pour cible pour avoir simplement exercé son droit à la libre pensée et à la création artistique.
Au-delà de son statut d'artiste dissident, Toomaj Salehi incarne désormais la lutte pour la liberté d'expression et la défense des droits humains face à un système répressif impitoyable. Son injuste condamnation à mort constitue un appel à la vigilance de la communauté internationale et un rappel que des artistes comme lui risquent leur vie pour défendre des principes universels de justice et de dignité humaine.
Au travers de l'histoire tragique de Toomaj Salehi, se profile le portrait d'un artiste courageux sacrifié sur l'autel de l'injustice. Son cas souligne l'urgence de la mobilisation pour sa libération et pour celle de tous les autres artistes retenus en otage par des régimes oppressifs.
Il met en lumière la responsabilité morale qui incombe à chacun de défendre les droits fondamentaux et de travailler ensemble pour un monde où la créativité et la liberté artistique ne sont plus menacées de mort.