
Hengameh Hoveyda
Chercheuse en politique
paris - France
Sa biographie
Hengameh Hoveyda, née le 7 décembre 1978 à Téhéran, est une chercheuse, écrivaine et militante politique iranienne vivant à Paris. Ses travaux portent sur l’histoire contemporaine et la sociologie politique, avec un intérêt particulier pour la violence d’État et la répression politique.
En raison de1…
son activisme en Iran, elle a été condamnée à une peine de prison avec sursis. Elle est également l’autrice de plusieurs recueils de poésie et livres en persan, avec des écrits traduits dans différentes langues.
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Parrhèsia : chroniques d'Hengameh Hoveyda
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Ses billets de blog
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Pakhshan Azizi : agir depuis les marges face à la machine de l’élimination
La Cour suprême iranienne a rejeté la deuxième demande de révision du procès de Pakhshan Azizi, condamnée à mort. Ce refus n’est pas simplement une décision judiciaire, mais un acte symbolique du fonctionnement d’un système où le droit n’est qu’une façade pour légitimer l’élimination des voix qui défient l’ordre établi. -
Le bourreau s’est éteint. La mémoire brûle encore.
Membre du « comité de la mort » de 1988 en Iran, Hossein Ali Nayyeri est mort sans jamais avoir été jugé. -
Quand “souhaiter l’exécution” devient la langue des monarchistes iraniens
Lorsqu'une universitaire iranienne établie en France, régulièrement invitée par les médias en tant qu’experte de l’Iran, en vient publiquement à regretter qu’un prisonnier politique iranien ait échappé à l’exécution, elle expose dangereusement les voix dissidentes à l’intérieur de l’Iran à davantage de répression. -
Nahid Shirpisheh : Une mère en prison, un régime sous accusation
Condamnée à cinq ans de prison pour avoir demandé justice, Nahid Shirpisheh, mère de Pouya Bakhtiari, subit l’isolement et la torture psychologique. Après une tentative de suicide, elle est plus que jamais en danger. La République islamique peut-elle encore cacher ses crimes ? -
Lettre de Sepideh Gholian depuis la prison d'Evin à Téhéran
Ils ont peur de la voix de ces femmes, car ils savent qu'une voix née d'un siècle d'oppression a fait écho dans les rues. Ils savent que « Jin, Jiyan, Azadî » (Femme, Vie, Liberté) n'est pas un simple slogan ; c'est une chaîne qui lie les mains aux mains et les voix aux voix.
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le 29 octobre 2022
Une Chaîne humaine pour soutenir la révolte du peuple iranien