Témoin de la guerre de libération de l’Algérie, comme appelé (de juin 1961 à mars 1962), affecté à la Villa Susini, j’ai eu l’occasion de constater de très nombreuses exactions commises dans cette période par l’Armée Française (en particulier la torture), des crimes contre l’Humanité, des crimes de guerre, des crimes d’Etat dont la France porte la terrible responsabilité.
A l’exemple du Président des riches qui considère que le versement d’allocations aux personnes les plus démunies est un pognon de dingue, un député versaillais, Jean-Noél BARROT, rendait compte publiquement, le 2 juillet, de son mandat, un an après son élection.
Mon intervention Place Maurice Audin à Paris du 11 juin 2018
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Le 11 juin 1957, il y a 61 ans Maurice Audin était arrêté chez lui par un commando de Parachutistes et il ne réapparaitra jamais.
Le 18 juin 2014, le Président de la République François Hollande, dans un communiqué déclarait : "Mais les documents et les témoignages dont nous disposons aujourd’hui sont suffisamment nombreux et concordants pour infirmer la thèse de l’évasion qui avait été avancée à l’époque. M. AUDIN ne s’est pas évadé. Il est mort durant sa détention."
Selon la presse algérienne, unanime, Emmanuel Macron est attendu de pied ferme en Algérie le 6 décembre 2017, et tout spécialement sur les questions de mémoire.