Malaysia Flight MH370 May Have Landed Somewhere Else, Says International Search Team : Search May Have to Start Over
L'avion n'est peut-être pas là où nous l'avons cherché indique un des membres de l'équipe internationale de recherche, il ne s'est peut-être pas crashé dans le Sud de l'Océan Indien.
C'est ce qu'indique le journal Malaysien " New Strait Times " , relatant les propos d'un membre de l'équipe de recherche Internationale.
Cet article paru il y a quelques jours fait une bonne synthèse des événements qui se se sont déroulés depuis la tragique disparition du 777 de la Malaysia, voici déjà 45 jours, en termes de collaboration avec les autres nations impliquées ou non dans les recherches.
- “The thought of it landing somewhere else is not impossible, as we have not found a single debris that could be linked to MH370.
- “However, the possibility of a specific country hiding the plane when more than 20 nations are searching for it, seems absurd,” the sources said, adding that one possibility was that the flight had crashed landed in a remote location.
Cette fois-ci et clairement, l'absence de découverte du moindre débris relatif à l'avion est un argument fort et logique avancé par les autorités de recherches pour statuer que l'avion n'a pas fini sa course dans l'océan Indien, et que par conséquent il a pu atterrir quelque part ailleurs.
Néanmoins l'ultime précaution est prise malgré tout de dire qu'alors que 20 nations sont engagées dans les recherches, il semble absurde qu'un pays spécifique puisse cacher l'avion...
Pour autant c'est dit !
Comme il est dit, que dès le début, la commission d'enquête Malaisienne entourée des experts d'Inmarsat et du " United Kingdom Air Accidents Investigation Branch " ( AAIB ), a dû faire confiance aux enregistrement d'un satellite de communication, celui d'Inmarsat bien sûr, qui n'étaient pas en mesure de
fournir des renseignement précis qui puissent indiquer la direction prise par l'avion.
L'avion s'est posé ailleurs, c'est dorénavant l'hypothèse qui semble prédominer.
Certes une dernière possibilité demeure celle que l'avion se soit crashé dans un endroit isolé (sur le continent), mais diplomatiquement le
" Investigation Team " commence à demander des comptes.
La Malaisie n'a pas obtenu tous les renseignements désirés, ( loin s'en faut ) et elle demande aux pays qui pourraient donner des informations cruciales de bien vouloir le faire...
Il s'agit pour le plus important, des images radar enregistrées par les radar primaires, ou de données satellites, et le point épineux est que nombre de ces données touchent à la Sécurité des pays concernés d'où bien entendu nombre de réticences ...
Les États Unis en tête, on déclaré qu'ils ne possédaient aucune donnée susceptible d'aider à l'enquête et se sont pour autant refusé à fournir leur données brutes.
On est ici, et enfin, après 45 jours face aux véritables enjeux ceux des guerres souterraines et du terrorisme.