Cela commence comme une rumeur, née vers 1980 au Québec dans l’esprit d’une féministe canadienne, Linda McLeod. A l’époque elle avait sorti, un peu par hasard, sans étude ou enquête vraiment sérieuse, qu’une femme sur dix au Québec subirait de la violence de la part de son conjoint.

Nombre de ces hommes pris dans une machine à broyer ont étudié les chiffres, les enquêtes, et ont constaté un fait aberrant: 300.000 femmes battues par années, pour 1.750.000 femmes en couple environ, cela signifiait qu’en 6 ans toute la population féminine y passait et que donc tous les hommes étaient des salauds. (en réalité il y a moins de 4'000 condamnations par année) L’improbabilité du chiffre ne faisait pas peur aux féministes de la Belle province, particulièrement délirantes et parlant de lutte des classes à propos du couple. Des millions de dollars ont été ponctionnée sur les finances de l’Etat pour subventionner des centres pour femmes battues dont aucun jamais n’a donné ses chiffres de fréquentation ni les justificatifs de ses dépenses. En moyenne 500 millions de dollars canadiens par année!!! La mafia fémino-marxiste était en place et les idéologue étaient grassement payées pour développer leur guerre aux hommes.
Puis en 2004, grâce à une nouvelle loi permettant d’accéder aux sources de toute information officielle un groupe de chercheurs a mis en évidence que le chiffre de McLeod ne reposait sur rien. Ce que confirme le Ministère de la Justice dans un courrier suite à la demande sur l’origine et les sources dudit chiffre (cliquer sur l'image).
